Al-Qaïda en Irak

Le 11 septembre 2001 fut un jour noir pour les Etats-Unis, le jour où une organisation a réussi à atteindre le centre de l’économie Américaine : Le World Trade Center, a New York. Cet attentas fut organisé et revendiqué par Al-Qaïda, fessant près de 3 000 morts. [pic] La réponse des Etats-Unis est brutale et directe, il déclare la guerre au terrorisme. Déclaration de George W. Bush, Le 11 Septembre 2001 « Ces actes meurtriers à grande

Les attentats du 11 septembre 2001 (communément appelés 11-Septembre, ou 9/11 en anglais) sont quatre attentats-suicides perpétrés le même jour aux États-Unis, à quelques heures d'intervalle, par des membres du réseau djihadiste islamiste Al-Qaïda[1], visant des bâtiments symboliques du nord-est du pays et faisant 2 973 victimes. Au matin du mardi 11 septembre 2001, dix-neuf terroristes détournent quatre avions de ligne. Deux avions sont projetés sur les tours jumelles du World Trade Center (WTC)

A) Etats et acteurs institutionnels B) Acteurs non institutionnels III) Vers une nouvelle polarité complexe et fragile A) Une coalition contre l’hégémon B) Naissance d’un bloc « furtif » : Al Qaida et le terrorisme En Novembre 1989, le mur de Berlin entraînant dans sa chute la fin de la guerre froide tandis qu’en 1991, la dissolution du bloc amène la fin de la bipolarisation qui opposait depuis la fin de la seconde guerre mondiale le bloc

peuple de Palestine et du Liban, j'ai alors eu cette idée ») et s'est félicité de leur tenue. Après les attentats du 11 septembre 2001, le président des États-Unis George W. Bush déclenche une guerre en Afghanistan dans le but déclaré d'anéantir Al-Qaida. Depuis 2001, le gouvernement américain offre 25 millions de dollars pour toute information conduisant directement à sa capture, et une prime additionnelle de deux millions de dollars est offerte conjointement par la « Air Line Pilots Association

ChampHGGSPNiveauTerminaleQuestionnementThème 2 : Faire la guerre, faire la paix : formes de conflits et modes de résolution.Chapitre 1 : La dimension politique de la guerre : des conflits interétatiques aux enjeux internationaux.Capacités travaillées : - Analyser, interroger, adopter une démarche réflexive. - S’exprimer à l’oral Pour la période retenue, le thème oppose deux façons de concevoir la guerre et de la faire . Ces deux façons sont fortement liées

déplace les troupes Irakiennes a la frontière du Koweït. Déroulement : -Invasion du koweit En 1990, l'Irak accuse officiellement le Koweït d'avoir volé du pétrole irakien par forage oblique Le 25 juillet 1990, l'ambassadeur américain en Irak, April Glaspie, demande au gouvernement irakien les raisons du déploiement massive a la frontière koweïtienne et déclare que « nous n'avons pas d'opinion sur les conflits arabo-arabes ». L'ambassadeur informe Saddam Hussein que « les États-Unis n'ont

(la Sunna).  CHIITES : minoritaires de l’Islam (nombreux en Iran et Irak) nés d’une trés ancienne scission d’avec les Sunnites.  CHIITES :  CHIITES :  CHOC PETROLIER : 1973 et 1979, par 2 fois l’OPEP augmentent fortement et brutalement le prix du pétrole.  CHOC PETROLIER :  CHOC PETROLIER :  AL QAÏDA : mouvement islamiste et terroriste créé par Ben Laden en 1993, auteur de nombreux attentats dont les  AL QAÏDA :  AL QAÏDA : attaques du « 11 septembre ».  AUTORITE PALESTINIENNE : nom donné

et Al Qaïda. Aussi est-ce une des principales motivations et causes de la politique extérieure américaine depuis dix ans. Il nous faut décrypter cet évènement majeur du début de siècle : son contexte, ses conséquences internationales, sa résonance encore dix ans après et son interprétation pour le moins controversée. Revenons sur cette décennie marquée par le 11 septembre. Les attentats du 11 septembre 2001 Les attentats ont été menés par 19 terroristes au total faisant partie d’Al Qaïda ou de

conseiller adjoint à la défense nationale, présentait son programme de lutte contre l'islam radical. Sa préface est signée Barack Obama. "Les communautés américano-musulmanes dont les enfants, les familles et les voisins sont ciblés par le recrutement d'Al-Qaida sont souvent aussi les mieux positionnées pour prendre la tête" de la lutte contre le terrorisme, écrit le président. M. Ramadan entend s'inscrire dans ce volontarisme. "La Constitution et la démocratie sauvent ce pays de ses mauvais penchants ; ce

d'anciens militaires libyens, n'ont montré ni sens tactique ni cohésion. Les éléments les plus combatifs ont été les membres du Groupe islamiste combattant libyen (GICL) – la branche locale d'Al-Qaïda - passés par les camps d'Afghanistan[->15], ayant déjà combattu les forces de Kadhafi et les Américains en Irak[->16]. Mais, sans le soutien occidental, il y a longtemps que les insurgés auraient été anéantis. Aussi, il est illusoire de croire[->17] qu'ils aient pu, seuls, parvenir[->18] à renverser[->19]