Alain Agir Propos Sur Le Bonheur

Le bonheur est, d’habitude, assimilé à un état de satisfaction, un état de bien-être, de tranquillité. Je suis heureux quand je peux profiter d’un bien acquis, en jouir sans l’angoisse d’en être privé, me reposer sur la certitude que l’objet de mon désir est à moi, qu’il me comble… Mais peut-on alors réellement parler de bonheur, et surtout, de quel bonheur parle-t-on ? Car posséder ce que je désire aussitôt que je le désire, si souhaitable que cela paraisse, n’est-ce pas me condamner à toujours

20ème siècle, et plus encore en ce début de 21ème est apparu une tendance, qui, jusque-là était reservée qu’à une certaine classe de la population : la consommation intensive. Elle a malheureusement remplacé beaucoup de notions plus pures. Mais selon Alain de Botton, si les hommes consomment ainsi, c’est parce qu’ils ont le sentiment de ne plus pouvoir faire bouger le monde. Dans un premier temps, il serait intéressant d’envisager cette idée de « changer le monde» sous plusieurs angles, et par la suite

6 ~ LE BONHEUR. INTRODUCTION : Le bonheur est-il le bien suprême ? Quel est le but que doit poursuivre mon existence ? Quel sens dois-je donner à ma vie ? À quoi dois-je aspirer ? À toutes ces questions, la réponse ordinaire est : le bonheur. Le bonheur serait donc le bien suprême de mon existence, son but ultime. Achille dans L’Iliade aurait fait le mauvais choix en préférant une vie glorieuse à une vie heureuse. Cette conclusion supposerait qu’il faudrait sacrifier tout au bonheur, y compris

Sujet : Le bonheur Le bonheur se caractérise en général comme un état de plénitude, de satisfaction mentale et corporelle. C'est un état durable de sérénité et de tranquillité. De prime abord, nous constatons que le bonheur, plus particulièrement sa recherche est une préoccupation universelle. Tous les hommes souhaitent avoir accès au bonheur, à être heureux, déjà pendant l'antiquité on ne cache pas le primat du bonheur dans la recherche philosophique. Selon notre définition du bonheur, il se distinguerait

Faut-il préférer la vérité au bonheur ? Tout homme est déterminé par la recherche de son bonheur, c’est-à-dire l’atteinte d’un état de conscience pleinement satisfait. Ainsi, pour les eudémonistes, il s’agit de la fin dernière, de l’objectif que tout individu cherche à atteindre et par là même de ce qui détermine ses actes et constitue le moteur de son effort. Le bonheur est la seule chose dont la poursuite est une fin en soi car comme l’affirme Pascal, « Tout les hommes recherchent d’être heureux

choix sur ce que l'on n'est ou ce qui nous entourne. Alain dit dans Propos, que "Penser, c'est dire non" que c'est constamment se remettre en question , se combattre soit meme. Pour lui, lorsque nous devons répondre a une question, la réponse sera dans tous les cas une négation, un refus quelque soit le problème posé. Dans le cas contraire d'une affirmation, d'après Alain, l'homme ne pense pas. Mais comment comprendre le point de vue de Alain ? Cela voudrait dire que nous devons tout refuser pour

n’existent pas toutes faites, la société est à inventer : faire tenir les hommes ensemble ne va pas de soi. C’est dire l’importance de l’éducation, de la discipline, de la politesse…de la maîtrise de soi. (Il convient de savoir se tenir). Le philosophe Alain dit volontiers toute l’importance de la cérémonie, de la fonction, du costume : « Le costume est loi, et toute loi plaît comme un costume ». Entendez par là que l’improvisation, l’irrésolution, le laisser-aller peuvent irriter comme le montre le

Cours 1.1 – Le bonheur, le désir Plan de travail I – Tester ses connaissances A. Exercices – Adresse internet : http://goo.gl/BjCHYu B. Questions de cours 1/ Quelle distinction conceptuelle peut-on faire entre le bonheur et le plaisir ? 2/ Que signifie l'idée de Kant selon laquelle le bonheur est un “idéal, non de la raison, mais de l'imagination” ? 3/ Que signifie l'image du tonneau percé que propose Platon ? 4/ Quelle distinction conceptuelle peut-on faire entre le besoin et l'envie ? 5/ Qu'est-ce

Étranger - Groupe I - Séries technologiques - Juin 1997 ALAIN, Propos sur le bonheur (30 novembre 1922). L'homme n'est heureux que de vouloir et d'inventer. Cela se voit dans le jeu de cartes; il est clair, d'après les visages, que chacun contemple alors sa propre puissance de délibérer et de décider [...]. Même dans les jeux de hasard, le joueur a tout pouvoir de risquer ou de ne pas risquer; tantôt il ose, quel que soit le risque; tantôt il s'abstient, quelle que soit l'espérance; il

« Il n’y a pas de vrai bonheur dans l’égoïsme », disait George Sand. En effet, cette quête du bonheur pose la question de nos relations avec les autres, plus particulièrement à propos de son influence vis-à-vis de ceux qui nous entourent. Ainsi, si nous recherchons le bonheur, devons-nous tout faire pour y parvenir, au détriment d’autrui ? Autrement dit, le bonheur est-il un idéal égoïste ? Vouloir être heureux et agir en fonction de cette recherche du bonheur, cela signifie t-il pour autant être