Alain Fanatisme

convaincre la Maréchale du caractère néfaste de la religion. Il commence une véritable démonstration sur la religion puis il s'opère une véritable subversion des idées de la Maréchale. Cette partie du dialogue permet à Diderot d'exprimer sa haine du fanatisme religieux : la religion engendre la haine et fait plus de mal que de bien. Ainsi, il démet le préjugé selon lequel la foi est la condition et la garante de la morale. I) UN DIALOGUE ARGUMENTATIF SUR LA RELIGION A. Ce dialogue est une discussion

l'élève, d'où la fréquence de connecteur dans les réflexion de Candide (ainsi que Cunégonde) qui raisonne à la manière de Pangloss. Pangloss fait de Candide un esprit naïf, étroit et crédule condamne surtout le dogmatisme (fanatisme philosophique) tout comme il condamne le fanatisme religieux (dans Candide ; Inquisition, Jésuites?) 3/parodie de certains genres littéraires : Rabelais :- titre : clin d'’il à Gargantua que l'on pense que VOLTAIRE a lu peu avant de commencer à écrire Candide. - RABELAIS

dans la défense des Sirven victimes de l’intolérance de la foule. Or pour le philosophe des Lumières qu’est Voltaire l’intolérance est intolérable il écrivait souvent qu’il fallait « écraser l’infâme » l’infâme étant cette même intolérance et le fanatisme. 2) La lutte contre l’intolérance Que ce soit dans Candide ou dans Le Traité sur la tolérance publié d’ailleurs à l’occasion de l’affaire Calas, Voltaire a toujours fait de la lutte contre toute sorte d’intolérance son combat, son leitmotiv.

Diderot lui présente. La fiction amène donc à s'interroger sur le relativisme de sa société. Enfin, la description d'une fiction permet d'apporter un regard autre, extérieur, sur le présent de l'auteur. Thomas More, dans Utopie, critique ainsi le fanatisme religieux et l'absence de liberté religieuse, par le biais de la description d'un lieu imaginaire idéal. Le procédé du regard éloigné est également utilisé par Lahontan dans Dialogues avec un sauvage. L'auteur place ainsi ses idées dans la bouche

Pangloss . Voltaire refuse de trouver dans le raisonnement optimiste une consolation face a la souffrance et la mort.les optimistes pour voltaire sont comme Pangloss, égoïstes et veulent avant tout s’entendre parler. + L’intolérance et le fanatisme religieux : Voltaire dénonce l’hypocrisie des autorités religieuses qui profitaient à l’époque du pouvoir et exploitaient le peuple. +l’esclavage et les abus de colonisation : L’exploitation de l’homme par l’homme est un des abus qui font

siècle a été un grand siècle pour la traduction. LA TRADUCTION ET LA « LÉGENDE NOIRE » DE L’Espagne La légende noire espagnole est une expression désignant une perception négative de l’histoire de l’Espagne, associant le pays avec l’intolérance, le fanatisme religieux et l’obscurantisme. La Légende noire fait référence à une « campagne » promue par l’Angleterre, la Hollande et la France pour discréditer l’Espagne et le Portugal. Le but était d’affaiblir l’Espagne et le Portugal pour que l’Angleterre

Traité sur la tolérance de Voltaire est un texte qui a été écrit après l'injustice subit par Jean Calvas , protestant faussement accusé et exécuté pour le meurtre de sont fils. Voltaire invite à la tolérance entre les religions et remet en cause le fanatisme religieux, cela dénonce une injustice, permet une ouverture d'esprit des gens et peut rendre une société plus pacifiste. Dans Réfutation d'Helvétius, Diderot exprime sont désaccord par rapport à une annotation d'Helvétius qui était « le gouvernement

effet la figure de l’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser. Symbole des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le progrès et la tolérance. Il est cependant déiste et son idéal reste celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Il agit d’ailleurs auprès des élites éclairées de l’Europe des Lumières en se servant

la figure de l’intellectuel engagé au service de la vérité, de la justice et de la liberté de penser. Il est un symbole des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour le progrès et la tolérance. Il est cependant déiste et son idéal reste celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». De son imposante œuvre littéraire, on lit aujourd'hui essentiellement ses écrits

moment où Zadig devient suffisamment célèbre. On en déduit une critique du pouvoir absolu. L’auteur nous fait comprendre qu’il souhaite une réforme du système politique. II. Satire de la religion et des croyances : Voltaire s’attaque au fanatisme religieux et à l’intolérance. a. Critique des prêtres : Il dénonce une Eglise qui détourne les véritables valeurs de la religion aux profits de ses intérêts personnels. En effet, on remarque sa dénonciation dans le chapitre XII «  les rendez-vous »