Alan Greenspan

chom naturel alors que l'inflation ne fait que croitre. Friedman compare alors l'effe de l'inflation a celui de la morphine " une dose de plus en plus forte est nécéssaire pour produire un effet stable" Faits contre le NAIRU 1990 quand Alan Greenspan, le brave homme, permit au taux de chômage de tomber en dessous des planchers successifs du Nairu: 6%, 5,5%, 5%, 4,5%, et enfin 4%. Il n'en est résulté aucune inflation Ces démontrations ont fait de lui, un fervent défenseur sur libélarisme

bancaires du pays à ne pas utiliser la devise électronique. Le cours du bitcoin, qui avait presque atteint les 900 €, chute brutalement. Dans la foulée, le même jour, la Banque de France publieune note assez hostile à Bitcoin. - 6 décembre : Alan Greenspan, ancien président de la Fed, et l'un des principaux responsables de la crise financière de 2007-2011 qui a entraîné le monde entier dans la récession, qualifie Bitcoin de "bulle spéculative". - 10 décembre : Apple interdit l'utilisation de

(effondrement du marché financier des valeurs technologiques aux Etats-Unis), aggravé par le choc des attentats terroristes du 11 Septembre. Cette crise a donné un coup d’arrêt brutal à la croissance américaine. La Federal Reserve, présidée par Alan Greenspan, avait alors brutalement baissé son taux directeur de 6,5% à 1,75% de janvier à décembre 2001, puis à 1% en juin 2003, niveau de taux le plus bas depuis 1958 ! L’intention était de procéder à une forte injection de liquidités pour éviter tout

des présidents de certaines banques centrales et en premier lieu de celui de la FED, la banque centrale américaine. Pour mémoire, pendant la période où Alan Greenspan était le président de la FED, on avait l'mpression qu'il gouvernait l'essentiel de l'économie mondiale par la simple puissance de sa parole. En modifiant les anticipations, Alan Greenspan agissait peut-être plus efficacement qu'en modifiant les taux courts aux Etats-Unis. Ce qu'on peut en retenir, c'est que la politique monétaire est

atteindre cebut n'était pas l'augmentation des salaires de cette classe sociale, mais la distribution de crédits avec un taux d'intérêts plus bas (peut être égal à 1), cette décision est prise par l'ancien président des réserves fédérales (FED) Alan Greenspan et ses collaborateurs. Les banques ou les établissements de crédit commençaient alors à distribuer de crédits (crédits immobiliers, crédits à la consommation, cartes de crédit…) à des ménages représentant d'importants risques d'insolvabilité,

(1985) et du Louvre (1987) organisent la baisse puis la stabilisation du dollar et représentent une véritable rupture de la politique du « benign neglect ». Cependant, le président Clinton, et surtout le nouveau directeur de la Réserve fédérale, Alan Greenspan, font à nouveau une utilisation plus subtile du dollar au service de l’hégémonie américaine. Du début au milieu des années 90, ils « jouent » le dollar faible, afin de favoriser la reprise économique et desserrer « l’étreinte du samouraï » japonais

ces trois dernières années prouve l’impasse de cette idéologie. Analysons tout d’abord son déroulement puis penchons nous sur l’impasse idéologique qu’elle dévoile. A/ Déroulement de la crise: Suite aux évènements du 11 Septembre 2001, Alan Greenspan alors président de la Réserve Fédérale des Etats Unis, avait baissé drastiquement son principal taux d'intérêt directeur afin d'éviter une récession. Il a ainsi laissé fortement augmenter la masse monétaire par une politique de taux d'intérêts

et réaliseront des privatisations bien plus amples et rapides que celles mises en œuvre dans les pays occidentaux. L’inégalité va exploser et se traduire par une paupérisation accélérée des populations. Vacalv Klaus a même attaqué publiquement Alan Greenspan l’accusant d’une faiblesse lamentable en matière de politqieu monétaire ! Pour finir, le paradigme néo-libéral deveint commun à la gauche et à la droite. Même la politique des gouvernements conduits par d’ex-communistes (comme en Pologne en 1993

aussi le vrai échec du système, il fallait qu'un entre eux le reconnaissait, une sorte de pape qui poussait les personnes à réaliser ce que s'était en traine de passer. Ce pape est Alan Greenspan , nommé par cinq présidents des États-Unis directeur général de la Federal Réserve. Greenspan fut une sorte de monarque sur le système dominant pour 19 ans, il est appelé l’ «Économiste des économistes», ou le «Maestro»

possibilités d'action budgétaire. Ainsi, la politique monétaire a eu tendance à prendre le pas sur les autres formes d'intervention publique. Il suffit de rappeler la conduite de la politique monétaire de la Federal reserve board et de son président Alan Greenspan pour s'en convaincre. Entre 1990 et 1993, la Fed a fait baisser son taux directeur de 7 % à 3 %. Cette forte baisse s'est traduite par une forte reprise de l'activité car les agents furent incités à emprunter pour investir ou consommer. La hausse