Alan Greenspan

lundi 21 janvier 2008, c'est le CAC 40, indice phare de la Bourse de Paris, qui chute de 6,83% . Ce krach avait été anticipé dès février 2007 sur le marché des options à la suite des avertissements du président de la Réserve fédérale américaine, Alan Greenspan [3]. Les prix de l'immobilier américain, sur douze mois, n'ont alors reculé que de 3%, mais cette baisse va ensuite s'amplifier à partir de l'été 2007. Entre temps, le CAC 40 poursuit sa progression et dépasse le seuil de 6.100 points en mai 2007

En longue période, la fréquence des crises financières (entendues comme crises bancaires ou de change) s’est accrue après 1971, c’est-à-dire depuis l’abandon du système de Bretton Woods qui régissait les relations internationales 6 En 1994, Alan Greenspan déclarait : « Rien dans la régulation fédérale ne la rend supérieure à la régulation des marchés ». Cité par A. Orléan (2009), De l’euphorie à la panique : penser la crise financière, Editions Rue d’Ulm, (p. 12) 7 Sur cette évolution voir notamment

Keynesian policy in history. Not only has adherence to Keyne’s principles not averted the current economic disaster, it it has greatly contributed to causing it. The Keynesian desire to manage aggregate demand, ignoring the long-run costs, pushed Alan Greenspan and Ben Bernanke to keep interest rates extremely low in 2002, fuelling excessive consumption by the household sector and excessive risk-taking by the financial sector. (…) If Keynesian principles and education are the cause of the current depression

milliards suite à une gestion du risque du papier commercial complètement défaillante, basée sur l’utilisation abusive de la note de crédit de ce produit structuré pour évaluer son risque de défaut. Le gouverneur de la banque centrale américaine Alan Greenspan a été particulièrement négligent en prononçant souvent des discours contradictoires sur les mérites et les risques associés à l’utilisation des produits dérivés et sur la capacité des marchés financiers à absorber les risques de façon efficace

monétaire dans la zone. Sa politique s’inscrit dans la politique économique globale visant l’atteinte des objectifs économiques au sens de Kaldor, avec toutefois une priorité accordée à la stabilité des prix. Laquelle stabilité est définie par Alan Greenspan (1989) comme une situation où « les variations attendues du niveau moyen des prix sont suffisamment faibles et graduelles pour ne pas influer sensiblement sur les décisions financières des entreprises et des ménages ». Cette stabilité des prix

les défenseurs du libéralisme sont restés nombreux, voire majoritaires, aux Etats-Unis, comme en témoignent les fortes réticences à utiliser l’argent des contribuables pour venir à la rescousse des institutions financières. Une interview d’Alan GREENSPAN 58 en date du 15/09/2008 sur la chaîne de télévision ABC exprimait cette réticence 59. Questionné sur ce que signifiait ces interventions étatiques dans l’économie et jusqu’où elles iraient, celui-ci répondait en substance qu’il s’agissait d’interventions

cela peut être modifiée via un facteur de baisse des dépenses et ainsi inciter le citoyen à réduire sa consommation d’émission de Co2 il me semble que les initiatives doivent se poursuivre dans ce sens. Conclusion Pour citer Alan Greenspan, ancien président de la Réserve fédérale des Etats-Unis et acteur de premier ordre dans la crise économique de 2008: « Si vous m’avez compris c’est que je me suis mal exprimé ». Cela résume également la compréhension que l’on peut avoir aujourd’hui

alimentând economia mondială. După grava criza produsă în tarile Asiei de Sud - Est, se pune problema unei reforme a pieţelor financiare pentru a nu cunoaşte o noua recesiune mondiala. Absurdă în urma cu un an, problema devine de mare actualitate. Alan Greenspan, preşedintele Rezervelor Federale propunea "modificarea practicilor şi instituţiilor pentru reducerea riscurilor sistemului". Problema care se pune consta în măsurile ce trebuie luate în ceea ce priveşte liberalizarea mişcărilor de capitaluri

l'administration Bush entretenaient des liens étroits avec les milieux d'affaires. Président en 1995 d'Halliburton, Dick Cheney assurera ainsi au géant de l'équipement pétrolier de mirobolants contrats. Dans son livre Le Temps des turbulences paru en 2007, Alan Greenspan, qui dirigea la Réserve fédérale de 1987 à 2006, n'a pas hésité à dire tout haut «ce que tout le monde sait: l'un des grands enjeux de la guerre d'Irak était le pétrole». 5) Irak : les autres mobiles d'une guerre Washington de notre correspondant

déflation qu’on redoute. Une crainte qui explique en grande partie la spirale infernale qui à partir du krach d’octobre 1987, a conduit le monde de bulle en bulle. Comme tous ses prédecesseurs à la tête de la Fed (Réserve fédérale américaine), Alan Greenspan a retenu les leçons de la crise de 1929 : si elle a été si grave, c’est parce que la banque centrale n’a pas ouvert le robinet des liquidités pour aider les banques et les investisseurs à se sortir sans trop de dégâts du plongeon de la Bourse