Alan Greenspan

la Grèce le fait de nos jours, et cela aboutit à une crise créée par ce plan de rigueur. Pour diminuer l’inflation, l’Argentine décida donc dans les années 90 de mettre en place une convertibilité dollar/peso. En 1992, le président de la FED Alan Greenspan décida de laisser le dollar se dévaluer ce qui était une très bonne chose pour l’économie argentine car plus de monnaie circulait dans le pays. Mais les choses se gâtèrent en 1998 : le dollar augmenta de manière brutale à cause de la bulle internet

followers was Alan Greenspan, Federal Reserve Chairman for 20 years, and the person most responsible for de-regulation of markets. He allowed the banking system to run amok, and bring down the world economy. Plutocratic Abuse and Criminal Activity Have Dominated Faced with the horrendous effects of his actions and inactions, Alan Greenspan, in late 2008, did admit his error in trusting financial leaders to act in the long term interest of themselves and their shareholders. What Greenspan missed was

en effet qu’il n’existe pas de relation simple, mais qu’il soit nécessaire de resituer les pratiques de GRH dans un contexte plus large, prenant en compte les spécificités de l’organisation et de son environnement. 1.1. Les politiques d’emploi Alan Greenspan, le président de la Fed, avait dénoncé au plus fort de la bulle financière récente l’exubérance (coupable) des marchés. Cette exubérance a pris des formes diverses, mais elle s’est manifestée lors des fréquentes opérations de restructuration qu’ont

a touché tous les métiers de la finance. Tous les acteurs ont, à des degrés divers, contribué de fait à cette débâcle, d’ailleurs prévue par de nombreux auteurs et même des autorités financières : il suffit de se rappeler des déclarations d’Alan Greenspan dès la fin de 1996 (« l’exubérance irrationnelle des marchés »). Il est également significatif que les deux derniers numéros de la revue de stabilité financière, éditée par la Banque de France, soient consacrés à la valorisation et à la liquidité

$ est encore décoté donc soutien aux exportations. Cela va donc permettre d’enclencher une reprise assez rapide dès 92 et on arrive à 4% de croissance en 94. Mais donc croissance importante donc risque d’inflation. Clinton, avec l’aide d’Alan Greenspan vont réussir à limiter l’inflation malgré cette croissance par des politiques monétaires très prudentes. *Europe et Japon touchés plus tardivement par la crise mais auront plus de mal à s’en sortir. En Europe, les pays ne réagissent pas du tout

atteindre ce but n'était pas l'augmentation des salaires de cette classe sociale, mais la distribution de crédits avec un taux d'intérêts plus bas (peut être égal à 1), cette décision est prise par l'ancien président des réserves fédérales (FED) Alan Greenspan et ses collaborateurs. Les banques ou les établissements de crédit commençaient alors à distribuer de crédits (crédits immobiliers, crédits à la consommation, cartes de crédit…) à des ménages représentant d'importants risques d'insolvabilité,

(car lors d’un prêt : prime de risque intégré donc taux d’intérêt élevé) et éviter que le taux de change du franc au sein du SME (Système Monétaire Européen) ne se détériore * Mouvement de désinflation (réduire) engagé par la Fed dirigé par Alan Greenspan, alors qu’elle était laxiste sur ce point jusqu’en 1979, mais avec le deuxième choc pétrolier, elle commence à mener une politique monétaire très sévère * Inflation est un vol de la propriété privée, déprécie la monnaie, détériore la compétitivité

stabilité internationale dans le processus de décision politique aux EtatsUnis, tant historiquement qu’au cours de la période récente. Par-delà la rupture du lien avec l’or au début des années soixante-dix, la gestion asymétrique du risque chère à Alan Greenspan n’avait par exemple pas complètement internalisé les effets internationaux de la fourniture de liquidité à bas prix. De la même manière, la Réserve Fédérale n’a sans doute pas internalisé les conséquences de sa seconde politique d’assouplissement

globalisation : ils affirment qu’une grande partie des dysfonctionnements attribués au Marché sont au contraire le résultat des mesures étatiques prises aux Etats-Unis notamment. Ainsi, la politique de bas taux d’intérêt et de baisse systématique menée par Alan Greenspan de 2000 à 2004 a contribué à créer une « bulle » ; de même, l’Etat américain à imposer aux prêteurs de répondre favorablement à tous les ménages, y compris les plus pauvres, d’où l’apparition des subprimes cherchant à protéger les établissements)

Sud Est asiatique. Dans le cadre du suivi des programmes, il observe de près les développements en Corée, aux Philippines et en Thaïlande. Il a même mis en place des bureaux de représentants résidents dans ces pays. Parmi les critique aux IFI : Alan Greenspan a affirmé que le FMI avait "sous-estimé" la profondeur de la crise asiatique et que sa réponse initiale à la crise avait été peu judicieuse. Milton Friedman a dit de l'intervention du FMI en Thaïlande, en Indonésie et en Asie : "sans le FMI, il