Alan Greenspan

de libéralisme mais par des distorsions du libre marché provoquées par les interventions de l’État. L’exemple le plus éloquent à ce sujet est celui de la politique monétaire expansionniste menée par le président de la Federal Reserv américaine, Alan Greenspan, pendant les année 2002-2006. En maintenant des taux d’intérêt très bas, pour favoriser l’accès à la propriété, la fed a contribué à aggraver la bulle d’endettement. On peut également citer l’exemple de Fannie Mae et de Freddy Mac, deux organismes

Internet et les gsm expliqueraient la croissance américaine dans les années 90, car ils rendent les travailleurs qui les utilisent plus productifs. D’autres insistent davantage sur le rôle de la politique économique. Sous la conduite de l’exprésident Alan Greenspan, les USA ont mené une politique monétaire plus souple, plus adaptée à la croissance économique que l’a fait l’Europe, laquelle est restée empêtrée dans la marche difficile vers l’unification monétaire. D’autres mettent enfin en exergue le rôle

S'il y a eu un abandon de la surveillance des agrégats monétaires, qui pourrait signifier une perte de prestige de la TQM dans la politique monétaire, c'est avant tout l'absence d'inflation, qui a fait abandonner cette politique de surveillance à Alan Greenspan. 4.2 Que reste-t-il de la loi de Say ? Même silencieuse, la TQM est toujours là, prête à resurgir. On ne peut pas en dire autant de la loi de Say. Henri Denis en 1999 a écrit « la loi de Say sera-t-elle enfin rejetée ? » 4.2.1 Les vestiges

avec la BCE sur la gestion du BCE et de la policy mix, demeure le facteur majeur de risque ! e) La BCE et la FED : deux visions différentes de l’économie A la surprise générale, les autorités monétaires américaines (la FED), et son président, Alan Greenspan ont annoncé le 18 avril 2001, une baisse d’un demi –point des taux directeurs. Les 12 membres du comité monétaire ont décidé à l’unanimité de ramener le taux des fonds fédéraux de 5% à 4,5%, et le taux d’escompte de 4,5% à 4%. En l’espace de trois

la baisse des Bourses et à ne pas laisser la qualité du crédit se détériorer dans l’ensemble de l’économie. L’action décisive fut menée le 17 septembre, jour de la réouverture de Wall Street. Le matin, avant l’ouverture officielle des marchés, Alan Greenspan annonça une baisse de 0,50% du taux des fonds fédéraux. Le plus cocasse fut la manière dont il a obtenu de la BCE qu’elle prenne la même décision. A 16 h 30 la BCE annonça une opération de refinancement sur le marché monétaire au taux de 4,25%

législatif|41| §2 - Les difficultés qui subsistent|42| Conclusion du chapitre 2|44| Conclusion générale|44| INTRODUCTION Au plus fort de la « bulle » spéculative qu’ont récemment connue les « valeurs internet » des bourses du monde entier, Alan Greenspan, Président de la Federal Reserve(La banque centrale américaine), s’était inquiété par une phrase restée célèbre de « l ’exubérance irrationnelle » des marchés financiers. Ses craintes se sont depuis lors révélées fondées. De même, comment expliquer

permettre aux États-Unis de maintenir leur leadership sur ces marchés en développement rapide7 ». Jusqu’à l’automne 2008, les CDS étaient présentés comme un produit nouveau qui offrait d’excellentes garanties contre les risques. C’est ainsi qu’Alan Greenspan, ex-directeur de la Réserve fédérale des États-Unis, écrivait en 2007 : « Un instrument de marché qui déplace le risque pour ces émetteurs de crédit fortement endettés peut se révéler d’un intérêt critique pour la stabilité économique, surtout dans

essentiel de l’inclure. La gravité perçue par les observateurs de la crise était très importante : les titres dans les journaux et dans les analyses étaient catastrophiques et emphatiques, et souvent on a comparé cette crise à celle de 1929. Alan Greenspan parle ainsi d’une crise la « plus importante depuis un siècle ». Or, on constate que si les conséquences de cette dernière sur l’économie ont été importantes, elles ne sont absolument pas comparables avec celle de 29 qui s’était traduite par une

politique macro-prudentielle ?  a) Abondance du crédit et crise mondiale Certains économistes estiment que la politique monétaire conduite par la Fed peut être considérée comme directement coresponsable du déclenchement de la crise des subprimes. Alan Greenspan, gouverneur de 1987 à 2006, a adopté une politique de taux bas afin de soutenir l'activité, notamment à la suite de l'explosion de la « bulle Internet » en 2000. Or, cette politique s'est poursuivie après 2004, alors que la production progressait

tournait autour de la terre. » C’est ensuite le nom de Benoît Mandelbrot qu’il cite comme étant capable de nous libérer de cette orthodoxie stérile. Quelques mois auparavant (le 23 octobre 2008), l’ancien directeur de la Fed (entre 1987 et 2006), Alan Greenspan, déclarait au cours d’une audition devant le Congrès : « Tout notre édifice intellectuel s’est effondré pendant l’été de l’année dernière », qui marque le début de la crise des subprimes. © Groupe Eyrolles 1. Patrick Hosking « "Wake up, Gentlemen"