Albert Frère

Le premier homme - Albert Camus Résumé de l'éditeur En somme, je vais parler de ceux que j'aimais", écrit A. Camus dans une note pour Le premier homme. Le projet de ce roman auquel il travaillait au moment de sa mort était ambitieux. Il avait dit un jour que les écrivains "gardent l'espoir de retrouver les secrets d'un art universel qui, à force d'humilité et de maîtrise, ressusciterait enfin les personnages dans leur chair et dans leur durée". Il avait jeté les bases de ce qui serait

1873, « il a flotté sur mon berceau, je veux qu’il ombrage ma tombe ») - La réforme intellectuelle et morale de la France, Renan (« crise allemande de la pensée française », titre d’un livre de Digeon) - création des Cercles catholiques d’ouvriers (Albert de Mun, René de la Tour du Pin) - création de l’Ecole libre des sciences politiques par Emile Boutmy 1872 - service militaire obligatoire pour tous (cinq ans) - discours de Léon Gambetta sur les « couches nouvelles » (à Grenoble) - Thiers :

paraissaient naturelles; il le fallait bien : je sentais en moi le terrain d'où elles fussent nées dans des circonstances pareilles2. » C'est par son professeur de philosophie Jean Grenier que Camus eut accès à Suétone, en 1932 : « Lorsque devant Albert Camus (en I re Supérieure) je citais et vantais les Vies des douze Césars de Suétone, je le faisais du point de vue romantique et d'annunzien. Le mot de Caligula condamnant coupables et innocents indistinctement : " Ils sont tous coupables ! " me

18 Antigone de Jean Anouilh 20 La Mort come choix de Vie 23 En attendant Godot, Samuel Becket 24 La Mort, une confrontation avec la solitude et l’inconnu 27 Le Roi se Meurt, Eugène Ionesco, 28 L’acceptation de la Mort 30 Les justes, Albert Camus, 31 Un sens à la Mort 33 La Nuit de Valognes, Eric-Emmanuel Schmitt, Acte 1 Scène 5 34 La Mort et le temps qui passe 35 Phèdre, Acte 5, scène 7, Racine, 36 La Mort dans les tragédies classiques 38 Les Mouches, l’Acte II scène 7,

Montalembert ou Albert de Mun, font voter des lois améliorant la condition des travailleurs. Jusqu'en 1864 cependant, toute action commune en vue d'améliorer le sort des travailleurs est interdite en vertu de la loi Le Chapelier (datant de 1791) et du code Napoléon. Il faut attendre 1884 (Loi Waldeck-Rousseau) pour que les syndicats soient enfin autorisés.Le syndicalisme chrétien naît en 1887 à l'initiative d'employés parisiens, groupés autour d'un frère des écoles chrétiennes, le Frère Hiéron. Face

premier extrait est d’Emile Zola qui est un auteur réaliste, il est intitulé : «Thérèse Raquin » il est publié en 1867 ; Le deuxième texte est « La condition humaine » écrite par André Malraux en 1933 ; Le dernier texte est un passage du roman de Albert Camus dont le titre est « L’étranger », il a été publié en 1942. Nous essayerons de mettre en évidence la description de la nature de ces trois extraits. Pour cela nous verrons la présence de cette nature, le procédé utilisé et comment celle-ci est

Lecture analytique de la scène du meurtre dans l'Etranger CAMUS, L'Etranger : le meurtre de l'Arabe.   Né à Alger en 1913,  dans un milieu modeste, et orphelin de père, Albert Camus connaît la pauvreté, la maladie (tuberculose) et enfin la guerre, en 1939. S'il n'a pas pris part à celle-ci en tant que combattant, son métier de journaliste et son départ pour la métropole lui ont permis d'y participer indirectement. Les prises de conscience induites par ces expériences douloureuses l'amènent à attacher

paraissaient naturelles; il le fallait bien : je sentais en moi le terrain d'où elles fussent nées dans des circonstances pareilles2. » C'est par son professeur de philosophie Jean Grenier que Camus eut accès à Suétone, en 1932 : « Lorsque devant Albert Camus (en I re Supérieure) je citais et vantais les Vies des douze Césars de Suétone, je le faisais du point de vue romantique et d'annunzien. Le mot de Caligula condamnant coupables et innocents indistinctement : " Ils sont tous coupables ! " me

dédier ce travail à ma tendre épouse que je remercie pour sa patience, à toute sa famille, à mes enfants : Aymen, Manal et Inas. A la mémoire de mes parents, mon frère Abdelkader, mon beau-père et ami zouaoui, que Dieu ait pitié de leurs âmes et les accueille dans son vaste paradis. A tous mes frères, neveux, nièces et belles-soeurs. A mon frère Abdelwahab qui a tracé les principaux repères de mon chemin sur la vie. A ma petite sœur Bouba. Je dédie ce travail aussi, à tous mes collègues, camarades et

Albert Cohen est né en 1895 à Corfou. Il entreprend une carrière de fonctionnaire international à Genève, mais il est représentant également pendant cette période représenatant de l’Agence juive pour la Palestine en Angleterre. En 1954, il refuse le poste d’ambassadeur d’Israël pour se consacrer à la littérature. Cette expérience fait partie intégrante de l'Oeuvre d'Albert Cohen, et montre son engagement en tant qu'homme dans le XXe siècle, avec ce que cela suppose de dramatique. Pourtant, en tant