Albert Ier

"convention", c’est-à-dire une assemblée chargée d’élaborer une nouvelle constitution. Tous les français âgés de 25 ans, domiciliés depuis un an, sont électeurs. En fait, le dixième seulement des électeurs inscrits, 700 000 personnes, une "minorité résolue" (Albert Mathiez), va participer aux élections. Dès sa première séance, le 21 septembre 1792, la Convention proclame la République. A cette date commence l’an I de la République. La Convention va s’atteler à la rédaction d’une nouvelle constitution, achevée

partisans de la Monarchie. Le parti de l'ordre était principalement divisé entre les légitimistes, favorables au comte de Chambord, petit-fils de Charles X et les orléanistes, partisans du comte de Paris, en faveur duquel le dernier Roi, Louis-Philippe Ier, avait abdiqué. Avec pour slogan "Ordre, Propriété, Religion", le projet des sympathisants du parti de l'ordre est de clore "l'Ere des Révolutions". Très puissant dans l'Assemblée nationale élue en avril 1848 (environ 250 sur 900, deuxième force politique

bien peu d’adeptes. b. Le concordat de 1801 La Révolution correspond donc à une rupture entre l’État français et le Pape, alors que jusque là les relations entre l’Église et l’État étaient régies par le Concordat de Bologne (établi par François Ier en 1516). La Révolution a donc rompu cet accord et il n’est plus question de revenir en arrière. Mais Bonaparte souhaite un retour à la paix intérieure dans tous les domaines et la religion lui semble être un élément central, d’autant que les guerres

signe qu'il se considère comme l'héritier de Napoléon premier après l'Aiglon, fils de Napoléon premier décédé à 21 ans qui n'a pas régné : Napoléon-François-Charles-Joseph Bonaparte fut néanmoins titré Duc de Reichstadt par son grand-père et François Ier d'Autriche et proclamé roi de Rome (Sénatus-consulte organique du 7 février 1810, article 7) puis « Napoléon II, empereur des français » par son père. On observe également le procédé de restauration en lisant la proclamation du 14 janvier 1852 « de

4) le consulat et l’empire (1799-1814) 3 consuls et 4 assemblées. Bonaparte devient 1er Consul (en 1799, pour 10 ans), puis consul à vie en 1802. En 1804, Bonaparte instaure l’empire : le fils de Bonaparte devrait lui succéder à sa mort. Napoléon Ier ne pourra pas réaliser cette ambition puisqu’en 1814 il subit de graves défaites militaires et il est exilé. Les monarchies européennes vont exiger que les Bourbons reviennent au pouvoir en France : la monarchie est restaurée. 5) la Restauration

Communes. Au 14è siècle, il existe en Angleterre un véritable Parlement composé de 2 chambres : le grand conseil se transforme en Chambre des Lords et la Chambre des Communes. Ce Parlement affirme ces pouvoirs progressivement * 3ème étape : Jacques Ier d’Angleterre 1603 Fin de la dynastie des Tudor. Les Stuart se trouvent au trône et reste jusqu’en 1714 ; Jacques d’Angleterre fils de Mary Stuart Queen of Scots accède au trône. Cette date de 1603 marque le début d’une crise en raison des prétentions

Chapitre 4 La question de l’Homme dans les genres de l’argumentation, du XVIe siècle à nos jours ...........229 Séquence 14 Les visages de l’Homme ................................................................231 Séquence 15 Parcours de lecteur : Albert Camus, La Peste, 1947 .....................258 Sommaire | Litterature.indb 3 3 06/09/11 11:52 Séquence 16 Les découvertes des voyageurs ......................................................270 Séquence 17 Histoire des arts : La photographie

Belgique, l'Italie, l'Allemagne... Toutes ces grandes puissances aujourd'hui sont au final nées tardivement au regard de l'histoire française, la France n'arrêtant pas de s'étendre dès la fin du XIXe siècle. C'est aussi le siècle des empires : Napoléon Ier, III, l'Empire austro-hongrois.... Le Congrès de Viennes également redéfinit les frontières des puissances européennes au lendemain de la chute de Napoléon ; mais ce siècle est de même le siècle des nationalismes, qui ont malgré tout participé à cette

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du travail, de l'individu, de l'entreprise). L'égalité est proclamée. Cet héritage révolutionnaire ne doit pas faire oublier « la part de chimère » (René Rémond). A la vieille de 1848, l'individualisme libéral souffre de quelques échecs. Napoléon Ier va tenter de les surmonter. Il façonne la société en la restructurant dans un esprit d'ordre et d'autorité. Il est l'auteur d'une œuvre de codification : 1804 : Code Civil 1807 : Code de Commerce 1808 : Code d'instruction criminelle