Alchimie Du Verbe

exprime l'angoisse, le désespoir, l'absurdité du monde, la solitude de l'individu face à l'univers, et ce qui est surréaliste, c'est que dans son œuvre prédomine l'insolite, le névrotique, le déconcertant, le refus de la logique, la désarticulation du verbe. Michaux invente des mots nouveaux, et il se fait quand même comprendre, parce que les mots nouveaux renvoient par la sonorité à des mots que l'on connaît. Les images dans cette poésie n'évoquent que le désarroi et le mouvement. Trois obsessions définissent

‘’profération’’ de la parole nous oriente vers le cheminement de son mouvement intérieur et à partir des outils dramaturgiques dont elle dispose. Minyana a lui-même défini son projet comme le projet de la  Nous adoptons le mot ‘’profération’’ qui vient du verbe proférer qui veut dire : articuler à haute voix, prononcer, dire (selon le dictionnaire Le Petit Robert). 14 14 représentation de la parole: « Mon projet, c’est la parole représentée15 ». C’est ainsi que nous nous concentrons dans notre étude

: « [Sur la poésie] je fis souffler un vent révolutionnaire » ? Commentaire : Du Bellay, « Sonnet XII », Les Regrets Page 1 sur 37 Sonia LE PAPE – 2009-2010 Contemplations - Mallarmé, « Plusieurs sonnets », Sonnet IV, Poésies - Rimbaud, « Alchimie du verbe », Une Saison en enfer NATHAN Interro des lycées 2008 Poète voyageur, poète voyant (STG – sept 2004) - Baudelaire, « Bohémiens en voyage », Les Fleurs du Mal - Apollinaire, « La Tzigane », Alcools - Aragon, « Je me souviens de cette ville » ou

« [Sur la poésie] je fis souffler un vent révolutionnaire » ? Commentaire : Du Bellay, « Sonnet XII », Les Regrets Page 1 sur 37 Sonia LE PAPE – 2009-2010 Contemplations - Mallarmé, « Plusieurs sonnets », Sonnet IV, Poésies - Rimbaud, « Alchimie du verbe », Une Saison en enfer NATHAN Interro des lycées 2008 Poète voyageur, poète voyant (STG – sept 2004) - Baudelaire, « Bohémiens en voyage », Les Fleurs du Mal - Apollinaire, « La Tzigane », Alcools - Aragon, « Je me souviens de cette ville » ou

pratiquant le rappel constant d’une position de force existante ou virtuelle (« si vous continuez à tenir ces propos, nous allons fermer les portes de l’usine »), ou « avec vos revendications, vous allez mettre la société par terre. ») ; *en faisant du verbe un instrument de pression, en pratiquant le procès d’intention, le harcèlement verbal, la monopolisation de la parole et en multipliant des déclarations maximalistes et idéologique ; *en s’attaquant aux personnes, à leur moralité et à leur probité

fort,  mais d'y croire jusqu'au bout... La douleur, c'est dans la tête. Moi, je t'ai dans la peau, comme une aiguille, mon héros. peu importe combien quelque chose nous blesse...Parfois, l'abandonner fait encore plus mal. "Il m'a oté le "i" du verbe aimer..."   Avant de porter un jugement sur le caractère, la vie de quelqu'un, mettez ses chaussures, parcourez son chemin, vivez son chagrin, ses doutes, ses fou-rires Parcourez les années qu'il a parcouru et trébuchez là où il a trébuché, relevez

pour lesquelles Ph.Jaccottet préfère les poèmes d'Airs. Le poème bref, désencombré de tout commentaire interne est pour lui un idéal car "c'est en lui que la lumière du monde transparaît la plus pure."[605] Et l'on remarque que le poète privilégie le verbe "transparaître". La poésie de Jaccottet ne se retranche donc pas de son référent mais veut en découler comme un aboutissement ou une filiation qui soit le plus naturel, la plus fidèle possible. L'attention passionnée à la lumière fait de celle-ci la

épique de la chanson de geste, le rappel de la sauvagerie animale joue son rôle. Ainsi, si le goupil est qualifié par l’hyperbole supposée laudative ( ?) et à fonction mémorielle « qui le secle engigne » et si son entrée en action est saluée par le verbe « fiert », habituellement employé dans le récit des combats retracés par la chanson de geste, la mêlée qui suit, et dont Pelé va faire les frais, n’a pas tout à fait la hauteur requise. D’abord le rat n’est pas un digne adversaire, ensuite il est clair

Mais comme il s'agit de théâtre, la référence de ce second langage est différente: la parole mythique plonge dans la société, dans une Histoire générale ; tandis que le langage expérimentalement reconstitué par Adamov ne peut doubler qu'un premier verbe individuel, en dépit de sa banalité. Je ne vois dans notre littérature théâtrale qu'un auteur dont on pourrait dire, dans une certaine mesure, qu'il a, lui aussi, construit son théâtre sur une libre prolifération des situations de langage : c'est Marivaux

concept d’évènement Définir de quoi relève la catégorie d’évènement s’avère être une tâche délicate. Aussi médiatisée et utilisée soit-elle, cette notion demeure assez floue. Son origine étymologique vient du latin eventus (évènement, résultat) et du verbe « Evenire » qui signifie dans un sens large : avoir un résultat, se produire, ce qui surgit, ce qui advient sur la scène du monde. L’évènement est « ce qui est arrivé ou ce qui arrivera, au sens étymologique d’issue »[129]. Dans un premier temps