Alcools Recueil Moderne

Apollinaire, AlcoolsApollinaire, Alcools« Crépuscule » « Crépuscule » présentationDédicace « A mademoiselle Marie Laurencin ». Il s’agit d’une jeune peintre avec qui Apollinaire a noué une liaison orageuse de 1905 à 1912. Le poème date de 1909. (le poème « Le pont Mirabeau » marque la fin de leur relation). Le poème est placé après un poème mystérieux, « Chantre » (le mot signifie « poète épique ou lyrique » mais également un chanteur dans un service religieux ou encore une personne qui célèbre qqqn

reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine        Vienne la nuit sonne l'heure      Les jours s'en vont je demeure Guillaume Apollinaire (1880 - 1918) LE PONT MIRABEAU [Apollinaire 1912] Alcools, dont le titre primitif était eau de vie est paru en 1913.Notre poème est le second du recueil. Il date de 1912, époque de la rupture avec Marie Laurencin ; Le pont Mirabeau a pour cadre Paris comme la Zone qui le précède. Et il est suivi par la chanson du mal-aimé qui traite aussi du thème de

Lou. Dans plusieurs de ses lettres se trouvaient des poèmes qui furent publiés telle que Ombre de mon amour, Poèmes à Lou. Il est mort le 9 novembre 1918 de la grippe espagnole à Paris. Son nom fait partie du Panthéon de Paris. Poésie :  Alcools, recueil de poèmes composés entre 1898 et 1913, Mercure de France, 1913.  Vitam impendere amori, illustré par André Rouveyre, Mercure de France, 1917. Calligrammes, poèmes de la paix et de la guerre 1913-1916, Mercure de France, 1918. Romans et

première moitié du XXe siècle. Il annonce le surréalisme dont il est l’inventeur du terme. Selon lui, la création poétique résulte de l’imagination, de l’intuition. Publié également en 1913 et n’obéissant à aucune règle apparente de construction, Alcools est un recueil qui place le renouvellement des formes poétiques au cœur de son projet. C’est l’absence de ponctuation sous l’influence de Blaise Cendrars, le recours au vers libre, l’utilisation de procédés de composition à la manière des peintres cubistes

« Le pont Mirabeau », Alcools de Guillaume Apollinaire Le poème « Le pont Mirabeau » est extrait du recueil Alcools paru en 1913. Apollinaire écrivit ce poème à sa rupture d’avec Marie Laurencin, relation amoureuse qui dura de 1907 à 1912. Ce pont était leur lieu de rencontre hebdomadaire. Apollinaire fait alors du pont Mirabeau le symbole de leur rupture. Il est un poète moderne restant néanmoins dans la mouvance de la Renaissance. Ce poème élégiaque sous forme de chanson utilise le thème

pouvoir 1936 : Front populaire en France 1936-1939 : Guerre civile d'Espagne 1939-1945 : Deuxième guerre mondiale, bombe de Hiroshima 1944 : IVè République 1958 : Vè République Histoire littéraire 1913 : Apollinaire, Alcools (commence la poésie moderne) 1913-1927 : Proust, A la recherche du temps perdu (renouvelle le roman) 1914-1918 : Guerre mondiale 1924 : Le surréalisme Breton, Manifeste du surréalisme Aragon, Eluard, Desnos... Poésie non-surréaliste : Valéry 1940 :

militaire, il est né le 25 août 1880 à Rome et mort pour la France le 9 novembre 1918 à Paris. CES POEMES : Alcools, recueil de poèmes composés entre 1898 et 1913, Mercure de France, 1913. Vitam impendere amori, illustré par André Rouveyre, Mercure de France, 1917. Calligrammes, poèmes de la paix et de la guerre 1913-1916, Mercure de France, 1918. Aquarelliste Il y a..., recueil posthume, Albert Messein, 1925. Ombre de mon amour, poèmes adressés à Louise de Coligny-Châtillon, Cailler, 1947

Le pont Mirabeau Le pont Mirabeau est un poème paru en 1913 dans le recueil Alcools. Il a été écrit par Guillaume Appolinaire. C’est un grand poète du 20e siècle qui a apporté un esprit nouveau à la poésie car il fait preuve de grande modernité dans ses poèmes. Le pont Mirabeau est un poème lyrique car le poète exprime des sentiments de tristesse parce qu’il évoque sa rupture amoureuse avec Maire Laurencin un peintre dont il était très amoureux. Guillaume Appolinaire n’a pas choisi ce

Apollinaire, Alcools, « Mai » Introduction Auteur et œuvre (voir feuille) Situation de l’extrait : « Mai » appartient aux poèmes rhénanes écrits en 1901-1902. Ce poème correspond à un épisode de sa vie : il a séjourné en Rhénanie comme précepteur d’un enfant, enfant dont la gouvernante était la maîtresse de Apollinaire pendant de nombreuses années. Dans le recueil Alcools, la Rhénanie évoquera toujours pour le poète le souvenir d’un amour malheureux. Sujet du poème : texte évoque une promenade

INTRODUCTION A LA POESIE MODERNE En guise d’ouverture : réponse de Mallarmé à Degas qui se plaignait de ne pas réussir à écrire des poèmes, alors qu’il avait des idées : « Ce n’est point avec des idées que l’on fait des vers … C’est avec des mots. » Autrement dit, le langage représente une matière à travailler, dans un geste esthétique[1], tout comme la peinture pour le peintre, le marbre ou la terre pour le sculpteur. Mais Mallarmé dépasse la conception parnassienne de «  l’art pour l’art »