Alexandre Ier

Confession d’un enfant du siècle (1836) G. Sand, Indiana (1832) Succès du roman historique Influence du Walter Scott Victor Hugo : Quatre-vingt treize (1874) et Notre-dame de Paris (1831) Le roman-feuilleton Gautier, Le roman de la momie (1858) Alexandre Dumas : Les trois mousquetaires (1844) et Le comte de Monte-cristo (1845) Le roman social George Sand Hugo, Les Misérables (1869)

Fiche pédagogique T E X T E S C L A S S I Q U E S Les trois mousquetaires Alexandre Dumas Introduction : L’intérêt pédagogique Fiche pédagogique réalisée par Philippe Delpeuch, professeur agrégé de lettres modernes. La présente fiche porte sur l’édition abrégée du roman. Cette version plus accessible à un élève de quatrième reste cependant au plus près du texte de Dumas et respecte le rythme de son récit. L’étude de quelques passages-clés

Présentation orale d’une œuvre écrite La Reine Margot, Alexandre Dumas 1) Les informations essentielles Le livre a été publié et a paru pour la première fois en 1845 par La Presse en roman-feuilleton (Un roman-feuilleton est un roman populaire dont la publication est faite par épisode dans un journal). Cette œuvre fait référence au genre réaliste qui est un mouvement artistique moderne apparu en France en 1850. Ce mouvement définit un type de littérature qui veut représenter le quotidien le

Il travaille à des affiches sur le thème de la grande guerre patriotique. Après guerre, Rodtchenko continue à publier des albums à la gloire de l'Union soviétique avec sa femme puis sa fille. 2/ Technique artistique de Rodtchenko Alexandre Rodtchenko utilisait la technique du photomontage pour réaliser ses couvertures de reportages. Le photomontage est un assemblage de photographies réalisé par collage (qui peut parfois être à nouveau photographié pour cacher les raccords). On peut

> 1 INTRODUCTION Alexandre Dumas est un célèbre écrivain français du XIXème siècle, c’est un auteur qui recherche le succès et l’argent, il va écrire des pièces de théâtre, puis des romans de différents genres. Son roman intitulé Pauline, parut en 1838, sera sans surprise aussi célèbre que ces autres œuvres. Ce récit est porté par trois narrateurs qui se concentrent sur l’histoire de Pauline, une mystérieuse et romantique jeune femme autour duquel plane un étrange secret, qui sera partagé

B. Le roman divertit ; il suscite l'évasion. Le personnage de roman est quelqu'un hors du commun qui suscite l'intérêt, qu'on admire. D'où la vogue du roman sentimental que dévore Emma Bovary (Cf Madame Bovary de Flaubert), du roman d'aventures (Alexandre Dumas, Le comte de Monte-Christo), du roman policier (Georges Simenon et le Commissaire Maigret, Maurice Leblanc et Arsène Lupin), du roman de science fiction (Isaac Azimov, Pierre Boulle et La planète des singes), du roman exotique avec un aventurier

Armée Alexandre ne laisse pas la Macédoine totalement dégarnie. Il donne à Antipatros, nommé régent en l’absence du roi, la moitié de la cavalerie macédonienne soit environ 1 500 hommes et 12 000 fantassins. Les effectifs au départ de l’expédition d’Asie sont d’environ 1 800 cavaliers, auxquels s’ajoutent un chiffre équivalent de cavaliers thessaliens et 600 autres recrutés dans les États grecs de la ligue de Corinthe. Alexandre, dans le prolongement de son père, révolutionne l'art de la guerre

à un duel et des meurtres. Puis, le drame romantique illustre la politique et les divergence d'opinions politiques. C'est ce que nous remarquons dans Léo Burckart, 1838, une pièce de théâtre fruit de la collaboration entre Gérard de Nerval et Alexandre Dumas. Ainsi, Léo Burckart, un professeur exilé pour ses théories libérales, est sommé par le nouveau souverain de mettre en œuvre son système de confédérations élaboré dans ses écrits. Après avoir vu que le drame romantique démasque et révèle

Alexandre III de Macédoine ( Ἀλέξανδρος Γ' ὁ Μακεδών / Aléxandros III ho Makedốn), né le 21 juillet 356 av. J.-C. à Pella, mort le 11 juin 323 av. J.-C. à Babylone, est un roi de Macédoine et l’un des personnages les plus célèbres de l’Antiquité. Fils de Philippe II, élève d’Aristote et roi de Macédoine à partir de 336 av. J.-C., il devient l’un des plus grands conquérants de l’histoire. Il fait de son petit royaume le maître de l’immense empire perse achéménide, s’avance jusqu’aux rives de l’Indus

tante » (symbole de la sagesse) ; « curé du lieu » (symbole religieux) et Madame de Tourvel (symbole de la morale austère). Le libertin se défis du monde, c’est un mégalomane. Valmont fait de l’ironie. En effet, il se moque du mariage, se prend pour Alexandre le Grand en employant des alexandrins (vers noble), donc il se défie lui-même. Il se moque aussi de la religion, effectivement, il va à l’église alors qu’il est athée : périphrase « la divinité que j’y adore ».