Alexandrin Sur La Mer

Nascita di venere de Verlaine Introduction : cf cours Et dire que le poème est un poème en 14 vers comme le sonnet mais en 1 seul paragraphe, en alexandrin avec des rimes suivies donc Verlaine se joue de la forme fixe du sonnet. I/ le portrait classique d’une déesse A/ naissance de la déesse * Les 2 termes à la rime : coquillages + rivages à la mer d’où nait Vénus * Elle est débout * Présence de personnages mythologiques : nymphe, Zéphire et Borée B/portrait de la déesse * Déesse

crescendo dramatique et tragique : 1°) Bruit inquiétant qui entraine des interrogations (Réponse négative, puis affirmative) => mise en scène d’une attente. 1 2°) Violence suggérée. 3°) Crescendo de l’horizontale au vertical, vers le fond de la mer. III°- Le thème de l’enfermement : 1°) Illustré par un poème clos = forme ; lexique ; anaphores. 2°) Poème symbolique : dénonciation du poète. I°- La présence de l’Orient est marquée dès le début par le titre du recueil qui est : « Les Orientales »

de la Douleur, peut d'ailleurs se rattacher à ce mouvement, tandis que celui d'Aragon, daté de 1941, appartient plutôt à ce que l'on a appelé le "grand chant national", marqué par le retour à des formes poétiques traditionnelles (le quatrain en alexandrins). Tous deux célèbrent les yeux de la femme aimée, Gala pour Eluard, Elsa pour Aragon, femmes quasi divinisées à la manière de la Laure de Pétrarque, ou de la Béatrice de Dante. L'évocation des yeux Les deux poèmes sont des "blasons" : ils célèbrent

grande générosité des rimes v. 12-14 fait écho au v. 6 générosité de l'île, lieu d'expansion et de bien-être.
  le 1er quatrain met en place une image du bonheur. Les sonorités douces, les rimes riches, les enjambements (v.3 et v.4) et les alexandrins montrent et sont là pour la lenteur du poème. Le tableau exotique se substitue progressivement à la figure féminine. 2) Le but du voyage : rêve exotique Les conditions sont favorables à cette rêverie : la scène se déroule un soir d'automne

entier » cf. histoire de la farine et des oiseaux qui prédissent la prospérité de la ville. A coté de cette version mythique, Dicodome de Sicile nous propose un récit plus réaliste dans lequel Alexandre donne l’ordre d’édifier la ville entre le lac et la mer ainsi que quelques règles d’urbanisme. On apprend que la dimension de l’enceinte est édifiante et qu’il y a uniquement deux accès étroits très faciles à garder. Cela nous montre que Alexandre a tout de même eu un rôle dans le tracé urbain. Note sur

par les esprits distingués. 2. La préciosité Les allusions aux mythes antiques Les images des vers 9 et 10 : "La mère de l’amour eut la mer pour berceau, / Le feu sort de l’amour, sa mère sort de l’eau." Marbeuf fait allusion à la mythologie grecque et romaine. La mère de l’amour est Vénus ou Aphrodite. Selon la légende, elle est née, nue, de l’écume de la mer. Cette naissance est représentée par exemple dans le tableau de Sandro Botticelli, œuvre de 1485. Le dieu de l’amour est Cupidon ou Éros

promis un jour au canonnier.      Que je voudrais mourir sur la rive inconnue !      Que je voudrais mourir dans le bel Orient      Quand, Croisé, j'entrerai fier dans Constantinople.      Ton image à la main, mourir en souriant 20   Devant la douce mer d'azur et de sinople(1) !..      Ô Lou, ma grande peine, ô Lou, mon cœur brisé,      Comme un doux son de cor ta voix sonne et résonne,      Ton regard attendri dont je me suis grisé      Je le revois lointain, lointain et qui s'étonne 25   Je baise

« mats » associée au terme « perdus » renforce l’expression de son hésitation. Il semble craindre de perdre ses repères dans ce nouveau monde qui s’offre à lui. Cependant malgré les doutes le désir d’évasion l’emporte. En effet, dès le second alexandrin il réitère comme un leitmotiv sa volonté de fuir : « Fuir ! là-bas fuir ! ». Elle est réaffirmée par « Je partirai ! ». Il semble donc décidé que « rien ne retiendra ce cœur ». L’accélération du rythme aux vers 9 et 10, les exclamations et l’impératif

siècles, et se heurter à une répression féroce et cruelle : les sacs humains jetés aux flots dont parle le poème font allusion aux supplices infligés aux Grecs mutinés par le tyran turc, les noyant en les enfermant vivants dans des sacs, jetés à la mer. Ce poème nous présente donc deux visions de l’orient, l’une purement esthétique et relevant de la carte postale exotique, l’autre engagée, traitant d’un événement historique réel qui suscita l’indignation de l’Europe. Hugo y projette toute son habileté

poème : Ce poème est composé de 6 quatrains écris en alexandrins. Les rimes sont croisées tout au long du poème. La ponctuation est inexistante. Le poète s'identifie dans le poème grâce à la redondance de "Je". On remarque beaucoup d'images et de métaphores très expressives (l'oiseau=soldat) comme (v12) "abandonner son nid" = partir au front, quelques comparaisons permettent de partager les émotions du poète (v7) "comme une paume aux souffles de la mer". Le poème l'amour ( de la France) et la guerre