Alfred De Musset Se Voir Le Plus Possible

essentiels : la représentation ; et cependant Molière prévient déjà : « Le théâtre n’est fait que pour être vu » ; la tournure restrictive insiste sur l’importance fondamentale du spectacle dans le théâtre. Si à l’origine celui-ci doit en effet donner à voir, l’on peut se demander si la seule approche visuelle permet une appréhension suffisante de certains textes. Est-ce une affirmation vraie, ou seulement en partie?(problématique proposé par M.Auzanneau) “Contrairement à un préjugé fort répandu et dont

Charles – « Le balcon » (1836) tiré de Les fleurs du mal, « Spleen et idéal » – « Les bijoux » (1857) tiré de Les fleurs du mal, « Spleen et idéal » - Hugo Victor – Hernani (1830) - Mérimée Prosper – Carmen (1845) - Musset Alfred de – « Tristesse » tiré de Poésies nouvelles - Rimbaud Arthur – « ma bohème » - Stendhal – Le rouge et le noir (1830) - Verlaine Paul – « après trois ans » tiré de poèmes saturniens (1866) – « mon rêve familier »

représentation théâtrale est bien plus enrichissante qu'un texte car elle apporte la gestuelle et le visuel aux spectateurs. De plus les acteurs sont accompagnés d'un orchestre. Dans la pièce « La Commère » de Marivaux les lumières et les costumes jouaient un rôle primordial pour la représentation . Les lumières faisait en quelque sorte parties du décor car elles dévoilaient les différentes pièce de la propriété de Madame Alain . Les costumes quant à eux donne un approche plus fantastique des personnages

dans la brume. Mais le Styx vibre d’énergie comme le ciel qui les enveloppe tous. Delacroix n’a pas le loisir de s’arrêter au détail. Les draperies, la tension des muscles, les vagues, les flammes, la palette sombre, les chairs blafardes, ne sont plus les éléments d’un récit, mais des acteurs qui donnent son ton et son rythme du drame. Les poètes unis dans la tourmente de l’enfer, ce sont les artistes contaminés par le mal du siècle et unis dans le même combat. La vie paraît une traversée effroyable

Séquence 3 Lorenzaccio, Alfred de Musset Sommaire Introduction 1. Alfred de Musset, biographie 2. Lire – Écrire : la genèse d’une œuvre 3. Écrire – Publier  : un spectacle dans un fauteuil, une œuvre au genre  mal défini 4.  ublier – Lire : les interprétations des critiques et des metteurs en P scène Séquence 3 – FR01 1 © Cned - Académie en ligne I ntroduction A Édition recommandée L’édition que vous devez vous procurer est celle des éditions GF : Musset, Lorenzaccio, présentation

les limites du théâtre avec le réel. Une des questions récurrentes relatives aux caractéristiques du théâtre est de savoir si, oui ou non, l'art dramatique copie la réalité. Si cette question est propre à discussion, il est raisonnable de penser voir même d'affirmer que le théâtre s'inspire de la réalité. Tout d'abord, on observe que le théâtre s'inspire du réel par, entre autres, les costumes et les décors. A de rares exceptions près, ces artifices sont destinés à copier savamment la réalité

travers des œuvres connues, ou parfois oubliées, mais toutes vibrantes et évocatrices. Les rêves ou les jeux de l’inconscient vont être en effet le fil conducteur de cet éventail de pensées et rêveries, inscrites sous toutes les sortes de formes possible. Classés par courants, puis chronologiquement, ces poèmes prosaïques, symboliques, parnassiens et romantiques sont : Un rêve, d’Aloysius BERTRAND, Gaspard de la Nuit 1842 ; L’étranger, de Charles BAUDELAIRE, Petits poèmes en prose 1869 ; Poisson

théâtre. » écrit-il, dans sa préface de L’Amour Médecin.   Ainsi, en plus de la grande question de savoir ce que perd une pièce à être seulement lue, plusieurs questions méritent alors d’être élucidées. C’est pourquoi nous examinerons dans une première partie l’importance d’une mise-en-scène de l’œuvre. Mais nous verrons aussi, dans une deuxième partie, qu’il est possible par certains points qu’une lecture de l’œuvre soit préférable à voir la mise-en-scène. Si c’est à partir du vingtième siècle

Séquence 3 Lorenzaccio, Alfred de Musset Sommaire Introduction 1. Alfred de Musset, biographie 2. Lire – Écrire : la genèse d’une œuvre 3. Écrire – Publier  : un spectacle dans un fauteuil, une œuvre au genre mal défini 4. Publier – Lire : les interprétations des critiques et des metteurs en scène Séquence 3 – FR01 1 © Cned - Académie en ligne I ntroduction A Édition recommandée L’édition que vous devez vous procurer est celle des éditions GF : Musset, Lorenzaccio, présentation

particulier : le fait que le sens « réel » d’un texte peut, parfois, se trouver ailleurs que dans la littéralité de ce-dernier. Chaque terme possède un sens littéral, usuel, auquel on tendance à s’arrêter dans un texte non-littéraire. Il est cependant possible d’aller au-delà de ce sens littéral lors de la lecture d’une œuvre. On parle alors de « lecture entre les lignes ». Lire entre les lignes serait donc, pour le lecteur, chercher à creuser l’œuvre, à y découvrir des richesses que l’auteur aurait pu