Alien

conscience qu’il a de lui-même dans les choses et, ce faisant, se réalise pleinement. Il y a donc dans le travail une dimension formatrice, réalisatrice qui fait passer l’homme de ses potentialités à leur actualisation et même à sa liberté. 3.Le travail aliéné Marx, dans ses Manuscrits de 1844, décrit le processus par lequel l’homme se voit dépossédé de ce travail qui lui permettait de se réaliser pleinement. Cette dépossession de son propre travail, de ses fruits et de son mode d’organisation, est à

l’attente de la vie éternelle et la promesse du paradis, image parfaite d’un bonheur infini. Elle est donc une forme de compensation illusoire qui exprime nos besoins de surmonter plus facilement les difficultés de notre existence. Lorsque l’homme est aliéné socialement et économiquement, lorsqu’il souffre de sa condition, et qu’il ne peut se réaliser, s’épanouir véritablement dans « la vallée de larmes » qu’est le monde terrestre alors, il ne parvient à l’apaisement que par  l’imagination et la fiction

croyance légitime du tiers, dans les relations internes entre le pseudo représentant et le représenté les règles du mandat s’appliquent pas. Le pseudo mandataire est un véritable oppresseur du point de vu du pseudo mandat puisque c’est quelqu’un qui a aliéné sa liberté sans son accord. Veut pas dire qu’une action responsabilité pourra être engagée systématiquement si mandat apparent car il faut que la représentation ai tourné au préjudice du représenté. Dans les rapports interne il faut évidemment que

responsable juridiquement il faillez l'être moralement, Les personnes qui étaient privés de discernement (les aliénés) ou les jeunes enfants étaient civilement responsable. Problème : cette irresponsabilité qui pouvait se justifier par rapport à l'auteur du dommage était bien évidement très défavorable aux victimes. Très vite, cette solution a été critiqué et spécialement l'irresponsabilité des aliénés. 2) La suppression de la condition d'imputabilité. Supprimée par les fait de la Loi du 3 janvier

simultanément. Il doit se mettre dans un état inconscient dont il est entièrment responsable. Le résultat est un tout, indivisible, mais l'émtion est continuellement éclairée par l'intélligence intuitive, si bien que le spectateur sollicité, assailli, aliéné et forcé de réévaluer ses jugements, finit par faire l'expérience d'une chose également indivisible. La catharsis ne peut être simplement une purge émotionelle : elle doit concerner l'homme tout entier.

autres pour savoir qui je suis. * La personne que je suis n’est jamais complète. On ne peut se saisir mais se ressaisir (mettre le personnage à l’écart). La personne que nous sommes reste une énigme parce qu’on est insaisissable. Etre aliéné, c’est croire qu’on est quelque chose de définitif, et on n’arrive pas à admettre qu’on n’est pas définitif. SOCRATE dit : « connaît toi toi-même ». Il faut que le rapport avec l’autre soit un rapport de découverte (faut que l’autre nous étonne)

définition d'une bonne règle de vie. C'est grâce à elle que l'on peut trier nos désirs afin de ne pas être aliéné par eux tout en se gardant la possibilité de progresser par la dynamique impulsée par le désir. Ainsi on voit que tous les désirs ne sont pas à réprimer et à bannir. Pour autant tous les désirs ne doivent pas être réalisés dans la mesure où on s'enferme dans une logique du caprice qui nous aliène et nous empêche d'adopter une bonne règle de vie, c'est-à-dire une vie sage, vertueuse et heureuse

que les objets sacrés, les plus précieux, ne rentraient jamais dans la compétition des dons, dans le Potlatch. Maurice Godelier a démontré alors qu’on avait affaire à trois catégories d’objets. Ceux qui sont aliénables et aliénés sous forme de marchandises, ceux qui sont aliénés, mais restent en partie inaliénables, les objets que l’on donne, où quelque chose du donateur reste à l’intérieur de l’objet donné, et les choses qu’il ne faut ni vendre, ni donner, comme par exemple les objets sacrés ou,

publicité, à désirer de façon déraisonnable ? L’Homme peut alors apprendre à reconnaître qu’il est aliéné à ses désirs (et à la société) et par la suite apprendre à dévier la souffrance. Pour éviter la souffrance il faudrait alors savoir trier parmi ses désirs. Cependant cela implique d’éviter ses pulsions et donc d’effectuer un effort raisonnable et temporairement douloureux. Savoir que l’on est aliéné à nos désirs nous amène-t-il au bonheur ? Si le désir fait le malheur des Hommes, c’est

les « aliénés » comme des malades ordinaires. Il voulait leur proposer un traitement et par ailleurs comprendre leur maladie. Il créa le traitement moral de la folie : avoir une vie comme les êtres humains (sortie, vie sociale,..) pour redevenir des sujets à part entière. Jusqu’à présent les « fous » étaient considérés comme des possédés mais à partir du 19ème, on les considère comme des gens malades et on décide de les soigner. Emile Kraepelin : essaye de comprendre les maladies des aliénés, il s’est