Allégorie

initiale de la deuxième partie annonce la transition du descriptif à l’argumentatif : « Je demeurai pensif » (l.20). La suite du texte sera donc consacrée aux réflexions du narrateur. Il nous invite d’abord à voir dans chacun des deux personnages une allégorie : c’est à dire la représentation concrète d’une abstraction. L’homme représente « la misère », la classe des pauvres. Le texte décrit très précisément le moment où le personnage cesse d’être pour l’auteur un être réel, de chair et de sang, un individu

Dans la continuité de l’image de l’inspiration poétique, le deuxième quatrain met en avant le tableau allégorique des Muses elles-mêmes métonymie de l’inspiration et qui n’est pas sans évoquer le célèbre tableau d’Andrea Mantegna Le Parnasse. Cette allégorie est mise en valeur par la musicalité d’une longue phrase dont les enjambements rendent compte de la grâce et de l’élan des Muses dansant. A cela s’ajoute des allitérations de sifflantes et de liquides qui renforcent la fluidité.   Mais, comme

et nue, personnification de la vérité et du mensonge. Aussi on pourra se demander comment Florian utilise le genre de la fable pour en faire l'éloge , Nous verrons tout d’abord caractéristiques de la fable dans ce texte, en quoi on a une double allégorie plaisante avant de finir sur le fonctionnement du dialogue argumentatif, I- Monter les caractéristiques de la fable, 1-1 Une personnification méliorative A partir du 7ème vers entre en scène la fable. la fable est dite « richement vêtue

|recherches sur l’auteur : vie et |Dessiner ou décrire avec des mots |Contrôle de lecture sur la | | | | | | |œuvres : 1h |une allégorie moderne de la peste ( |peste : 1h | | | | | | |étude du début du roman + |sida, terrorisme…) |

A la gloire des enfants d’Angers et de l’Anjou, combattants des guerres 14-18 et 39-45 ». Ici il s’agit plutôt d’un monument aux morts de type patriotique car cette statue est placée sur une place publique (Place Leclerc) et cette statue a des allégories représentant des soldats et la Marianne. Contrairement à d’autres monuments aux morts situés dans d’autres villes, celui-ci n’a pas de plaque où les noms des soldats tués apparaissent, car certainement comme Angers est une grande ville, il n’y avait

La première strophe est essentiellement narrative. Le loup est un symbole lorsqu’il est traqué, il symbolise, en fait, un être humain qui est persécuté. Vigny recourt en réalité à une allégorie : Figure de rhétorique qui consiste à développer longuement un symbole pour exprimer d’une manière concrète une idée abstraite. La troisième partie est la plus importante du poème. En effet, elle contient une morale, une leçon philosophique. Cette leçon est exprimée dans une prosopopée qui commence quand

Élisabeth, vierge souveraine, est la prêtresse maudite. Longtemps nié, repoussé par la magie de l'art ou du langage (la mort de la mère s'est inscrite dans la fable; celle de Michaël, transposition de la mort d'Isadora Duncan, semble n'être qu'une allégorie), le poids du destin demeure omniprésent et donne au récit la structure classique d'une tragédie antique. Malgré les lazzis, une préciosité certaine dans les mots d'auteur («Cessant d'être une fille, et devenant une jeune fille, Élisabeth

laquelle la maladie et toutes ses conséquences cachent quelque chose d’autre. En effet la peste symbolise le fascisme de l’époque contre lequel il faut lutter même s’il n’y a aucune chance de le vaincre ; c’est là tout l’absurde de l’œuvre. Cette allégorie est pertinente car : touche touslié à un déséquilibre politique/ peste=guerre=enfermement contraire de la liberté. Les personnes rassemblées autour du fils du juge ont essayé un sérum, qui non seulement ne marche pas mais en plus il aggrave l’agonie

(cf. d’autres poèmes du Spleen de Paris, Le Joujou du pauvre, Les Veuves...) 2- Comment expliquer la fréquence de l'allégorie dans le recueil ? Baudelaire a écrit dans Le Cygne (Tableaux parisiens – Les Fleurs du mal) "Tout pour moi devient allégorie". L'allégorie est à la fois: - Prose par son aspect concret, descriptif et narratif (rencontre, aventure ...) - Poésie par son aspect abstrait, son sens symbolique, l'interprétation du monde. 3- Le thème de la rencontre : les doubles du promeneur-poète

en traversant et en dynamisent l’écriture : métaphores gracieuses « une magnifique coupe d’émeraude », « les dentelles … amour », comparaison suggestives « la nature… fiancée », « je l’aime cô un artiste aime l’art », personnifications et allégorie florales « la fleur de son sexe », « elle était LE LYS DE CETTE VALLEE ». Musicalité de son style : allitérations en « t »et assonances pr conforter les effets d’harmonie imitative du tempo : « Tout y était mélodie ». Plasticité