Allitération De Nerval

se fait jamais tout seul. La lecture se fait à deux. Il y a des lecteurs, comme Cicéron par exemple. La lecture est faite donc à haute voix. D’où l’importance de la sonorité, du rythme de la phrase. Il faut faire attention aux assonances, aux allitérations, au rythme. Langue très concrète, avec un goût pour les images, même en Grèce où l’on pense que c’est surtout une littérature philosophique. Cela vient aussi du fait que les textes sont entendus et non lus. L’épopée antique : Qu’est ce qu’une

politique L’exil : Les Châtiments, Les Misérables… Vous souvenez-vous ?... Le triomphal retour Chapitre 16 - Poésie : le chaud et le froid Les fortunes de la rime romantique Alphonse, comte de Lamartine Alfred, comte de Vigny Musset, prince de la Muse Nerval, le ténébreux La cage aux mots frivoles : le Parnasse Théophile Gautier : Émaux et camées « Le Roman de la momie » « Le Capitaine Fracasse » Leconte de Lisle de la Réunion Heredia : Les Conquérants Sully Prudhomme : Le Vase brisé Chapitre 17 - Les

L’exil : Les Châtiments, Les Misérables… Vous souvenez-vous ?... Le triomphal retour Chapitre 16 - Poésie : le chaud et le froid Les fortunes de la rime romantique Alphonse, comte de Lamartine Alfred, comte de Vigny Musset, prince de la Muse Nerval, le ténébreux La cage aux mots frivoles : le Parnasse Théophile Gautier : Émaux et camées « Le Roman de la momie » « Le Capitaine Fracasse » Leconte de Lisle de la Réunion Heredia : Les Conquérants Sully Prudhomme : Le Vase brisé Chapitre

personnification Elle attribue des capacités, des caractéristiques humaines à des animaux ou à des choses. Elle utilise pour cela des mots réservés aux humains et les associe à des animaux ou à des objets. Exemple : Les arbres sur ma route fuyaient. G. de Nerval -L'allégorie Elle représente une idée abstraite, une notion, un concept, sous la forme d'une personne qui l'incarne ; on parle de personnification d'une abstraction Exemple : L'espoir vaincu pleure. C. Baudelaire II° Les figures de substitution

6 7 8 9 10 11 12 Pierre CORNEILLE – le décasyllabe : vers de dix syllabes. Frè 1 ree 2 hu 3 mains qui a 4 5 6 près 7 nous vi vez 8 9 10 François VILLON – L’octosyllabe : vers de huit syllabes Elle 1 a 2 pa 3 ssé 4 la 5 jeu 6 ne 7 fille 8 Gérard de NERVAL – Les vers impairs (trois, cinq, sept, neuf et onze syllabes) sont plus rares. A 1 vril, 2 l’ho 3 nneur 4 et 5 des 6 bois 7 Rémy BELLEAU Et 1 des 2 mois 3 Le rythme Le rythme est le résultat de la combinaison des accents toniques et des

construction globale : parataxe, style coupé , période, clausule, énumération, gradation, chiasme, asyndète, polysyndète, enjambement : dans un poème, un groupe grammatical s’organise sur deux vers… Figure de répétition: parallélisme , anaphore, allitération : répétition de sons consonantiques, assonance : répétition de sons vocaliques … Figures de l’analogie  (« images ») p°338 : Les figures de l’analogie se différencient selon le statut du comparé et du comparant et de leur relation. Figure d’intensité :

ne voulait se mesurer qu’aux plus grands dont il rechercha très tôt la compagnie, avant même d’avoir rien publié. À Hugo, dont il venait de voir ‘’Marion Delorme’’ en 1840, il osa demander une audience. Il rechercha aussi l’attention des écrivains Nerval, Balzac, Banville, Gautier, Sainte-Beuve, des peintres Boissard de Bois-Denier et Deroy (qui peignit de lui une effigie vigoureuse et séduisante). Devenant ultra-romantique, il affirma qu'il ne voulait qu’être poète, et, tandis qu’il promit à sa mère

ce sera moi » ; Jean-Jacques Rousseau. * « Homme, libre penseur ! Te crois-tu seul pensant Dans ce monde où la vie éclate en toute chose ? Des forces que tu tiens ta liberté dispose, Mais de tous tes conseils l’univers est absent » ; Gérard De Nerval. * « Il y a cent ans aujourd’hui un homme mourait. Il mourait immortel. Il s’en allait chargé d’années, chargé d’œuvres, chargé de la plus illustre et de la plus redoutable des responsabilités. La responsabilité de la conscience humaine avertie et

présent et non se projeter dans l'avenir. Des images violentes traduisent l'exubérance de la vie : «galop soudain», amours sauvages au sein de la nature entre les «centaures» et la végétation. Le mouvement est intense, les sonorités significatives (allitérations en nasales du vers 8 ; assonances en «a» et «é» qui ont des sons traînants). La troisième strophe introduit une tonalité nouvelle, celle du regret, à la manière de Villon («Mais où sont les neiges d'antan?») : malgré sa volonté, le coeur garde

présent et non se projeter dans l'avenir. Des images violentes traduisent l'exubérance de la vie : «galop soudain», amours sauvages au sein de la nature entre les «centaures» et la végétation. Le mouvement est intense, les sonorités significatives (allitérations en nasales du vers 8 ; assonances en «a» et «é» qui ont des sons traînants). La troisième strophe introduit une tonalité nouvelle, celle du regret, à la manière de Villon («Mais où sont les neiges d'antan?») : malgré sa volonté, le coeur garde