Allocation de solidarité aux personnes âgées

seuil de pauvreté se situe aux alentours de 645E par personne et par mois. Il y a environ 4 millions de personnes qui vivent en dessous de ce seuil de pauvreté . Il existe des allocations de solidarités (AS) et des allocations d'insertion ( aI ) La quart monde représente un état de pauvreté absolue qui ne permet plus à l'individu d'assurer ses besoins vitaux Le RMA est le revenu minimum de d'activité. En France , plus de 2 millions de personnes sont au Chomage ( hausse de 15,5% en dans l'année

du revenu de solidarité active (RSA). Vingt années nous séparent de l'adoption unanime par le Parlement de la loi du 1er décembre 1988 instaurant le revenu minimum d'insertion (RMI). Celui-ci, qui a consacré le principe d'universalité de l'aide sociale, a permis de répondre à l'apparition d'une pauvreté d'un genre nouveau et s'est rapidement imposé comme l'un des piliers du système de protection sociale français. Si le RMI a offert un ultime « filet de sécurité » aux personnes les plus pauvres

financer des prestations sociales (allocations familiales) et aider à financer certains risques sociaux (maladie, invalidité, chômage, etc.). L’Etat lutte contre les inégalités grâce aux transferts sociaux : la sécurité sociale constitue l'organisme de transfert principal. Elle prélève sous forme d’allocations, de remboursement de soin ou de retraite, mais ce n'est pas le seul organisme. Les pouvoirs publics ont aussi un rôle : Pôle Emploi pour les allocations chômage, les conseils départementaux

aux individus, selon un principe de solidarité nationale,    de faire face à des risques sociaux pouvant entraîner une diminution de ressources ou une augmentation de dépenses, tels que le risque santé, le risque vieillesse-survie, le risque famille-maternité, le risque emploi. I – Définition  mécanismes de prévoyance collective  3 logiques :   Assurance sociale (couvrir une perte de revenus liée à un risque) Assistance (solidarité)  Protection universelle (pour

2.4. L’observation publique du coût de la vie et des inégalités entre les ménages doit encore s’affiner 34 CHAPITRE 3 « RESTE À VIVRE » : VERS UNE DÉFINITION PARTAGÉE 3.1. LE « RESTE À VIVRE SURENDETTÉES » COMME MINIMUM INSAISISSABLE POUR LES PERSONNES 3.2. LE « RESTE À VIVRE » COMME SOLDE DISPONIBLE APRÈS AVOIR RÉGLÉ LES 5 37 37 37 DÉPENSES CONTRAINTES 3.3. AUTOUR DE CETTE NOTION, DES PRATIQUES MULTIPLES ET PEU HARMONISÉES CHAPITRE 4 « RESTE POUR VIVRE » : L’IMPOSSIBLE ÉQUATION BUDGÉTAIRE

PrÉparation de la synthÈse Question 1 Question 2 Document 1 L’inexorable privilège du vieillissement Vieillissement = accroissement de la part des personnes âgées dans une population. ONU et Insee estime que d’ici 2050 part des plus de 65 ans devrait croître de 80 % tandis que la part des actifs reste stable. Rapport de soutien : devrait devenir de 2 personnes actives pour une inactive, était de 4 en 2000 et de 8 en 1900. En 2050, + de 30 % de la population aura + de 60 ans. Document 2 Un fort vieillissement

2010 I-Préambule : Le système algérien de sécurité sociale se caractérise par : • L’Unification des régimes basée sur les principes de la solidarité et de la répartition ; • L’affiliation obligatoire de tous les travailleurs, salariés, non salariés, assimilés à des salariés. L’affiliation est également obligatoire pour d’autres catégories de personnes dites catégories particulières; • L’Unification des règles relatives aux droits et aux obligations des bénéficiaires; • L’Unicité du financement;

d'assurance prenant en charge les retraites et les soins des seuls salariés [et des personnes à leur charge], qui sont en même temps des cotisants (modèle bismarckien) ;  un système de droits sociaux qui repose sur la solidarité, puisqu'il prend en charge des personnes dans le besoin qui ne sont pas forcément cotisantes : minimum vieillesse(1) etCMU (2) (Couverture Maladie Universelle créée en 2000). Ce dispositif de solidarité collective opère une déconnexion avec le principe de l'assurance (qui ne protège

2°) Protection sociale et solidarités collectives. Les risques sociaux sont définis comme des évènements incontrôlables provoquant soit des dépenses importantes pour l’individu (la maladie ou l’accident, par exemple, mais aussi la famille), soit une diminution sensible de ses revenus habituels (chômage, cessation d’activité, par exemple). Les individus, se différenciant de plus en plus, revendiquent une autonomie personnelle grandissante : ils préfèrent pouvoir s’adresser à une entité abstraite

. . Activité professionnelle : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Situation matrimoniale actuelle :  marié  vie maritale  célibataire Enfants* et autres personnes au domicile de l’élève concerné Noms et prénoms Date de naissance Scolarité ou autre Lien de parenté avec l’élève * frère – sœur – demi-frère – demi-sœur –cousin(e) – grands-parents