Allocation de solidarité aux personnes âgées

L’accompagnement d’une personne en fin de vie est un processus dynamique qui engage différents partenaires dans un projet cohérent. Il relève de la démarche globale de soins relatifs aux approches de la fin de vie et de la mort en société. La prise en charge des soins palliatifs en fin de vie peut être réalisée dans différents lieux dans un service hospitalier sans lits identifiés, ou au sein d’un service disposant de lits identifiés (LISP), également dans les Unités d’hospitalisation (USP) qui

logées ainsi que des militants associatifs de quartiers et qui a pour but l’amélioration de la législation sur le logement (droit au logement), 1,6 millions de personnes vivent dans des logements sans douche, WC ou les deux. Et en 1999, on comptait 1 989 758 logements vacants, donc inoccupés soit 7% du parc de logement. Cependant, les personnes ayant un faible revenu ou qui ont un propriétaire abusif ou non coopératif, acceptent un logement qui ne respecte pas les différentes réglementations et qui

temporaire….…….………………………………………………..page5 Contrat de volontariat associatif……………………………………………………..page6 Contrat de volontariat d’insertion…………………………………………………….page7 Contrat d’accompagnement dans l’emploi…………………………………………...page8 Contrat d’emploi solidarité……………………………………………………………page9 Contrat d’avenir……………………………………………………………………….page10 Contrat de transition professionnelle…………………………………………………page11 Contrat de travail intermittent………………………………………………………..page12 Contrat de professionnalisation………………………………………………………

Comment les politiques d’insertion permettent-elles aux personnes en situation de grande précarité de pouvoir se reconstruire à travers un projet professionnel ? Au commencement des années 80, de nouvelles formes de pauvreté apparaissent. Les jeunes non diplômés, les chômeurs de longue durée et certaines familles ne voient eloignés des normes sociales en matière d’éducation, de logement ou d’accès aux soins. Ces derniers ne semblent pas pouvoir s’en sortir avec la protection sociale en place de

 LES COLLECTIVITES TERRITORIALES I- Les collectivités territoriales. Les collectivités territoriales sont des personnes morales de droit public distinctes de l’État et bénéficient à ce titre d’une autonomie juridique et patrimoniale. Les collectivités territoriales s’administrent librement dans les conditions prévues par la loi. Elles ne possèdent que des compétences administratives. Leur gestion est assurée par des conseils ou assemblées délibérantes élus au suffrage universel direct et par

travaillant dans le secteur d’aide à domicile auprès des personnes âgées, il m’a donc apporté une première approche de la vieillesse. Sensibilisée et intéressée par les difficultés des personnes âgées et par l’augmentation de l’âge de vie, j’ai décidé d’en faire le thème de mon mémoire.  Aujourd’hui plus que jamais le problème du maintien à domicile se pose à la fois comme étant un problème éthique car il s’agit de reconsidérer la place de la personne âgée dans la société et un problème sociétal car

politiques pour l’enrayer, concerne par exemple des personnes mises en stage alors qu’elles sont au chômage, ou en préretraite, ou non inscrite à l’ANPE (agence nationale pour l’emploi – aujourd’hui Pôle Emploi ), ou découragées, ou DRE - dispensées de recherche d’emploi car trop âgées .Ou bien encore en CTP, contrat de transition professionnelle, créé en 2008 pour éviter de mettre des personnes licenciées a chômage (voir infra) °Compter les personnes privées d’emploi est un exercice difficile car

d’organisation sociale et médico-sociale (dans les domaines de la protection de l’enfance, de l’hébergement, des personnes en situation d’handicap et de personnes âgées). Les principales compétences du Conseil Général sont les suivantes : * L’Action Sociale, consiste en la protection de l’enfance, l’insertion des personnes en difficultés, l’aide aux personnes en situation d’handicap et personnes âgées, prévention sanitaire… * L’aménagement de l’espace et équipement, consiste en l’entretien et l’investissement

institué, au début de l’année 2000, la Couverture maladie universelle (CMU). Destinée à permettre aux plus démunis d’avoir accès aux soins, la CMU comprend deux volets. Le premier s’analyse comme une extension du régime général de soins en faveur des personnes démunies de couverture sociale, car inactives ou en situation d’exclusion. Le second institue un régime complémentaire gratuit accordé sous condition de ressources bénéficiant à tout assujetti percevant moins de 3 500 francs mensuels. Ce seuil est

en recomposition par Robert LAFORE | Caisse nationale des Allocations familiales | Informations sociales 2009/2 - N° 152 ISSN 0046-9459 | pages 14 à 22 Pour citer cet article : — Lafore R., Le travail social à l’épreuve d’un environnement institutionnel en recomposition, Informations sociales 2009/2, N° 152, p. 14-22. Distribution électronique Cairn pour Caisse nationale des Allocations familiales. © Caisse nationale des Allocations familiales. Tous droits réservés pour tous pays. La reproduction