Alternative économie Comment Sauver La Protection Sociale

solidaire, plus écologique. Nous analysons et combattons la pensée unique de l'idéologie néolibérale et ses armes économiques (fonds de pension, paradis fiscaux, institutions financières internationales, dette du tiersmonde...). Nous soutenons les alternatives concrètes d'une société plus juste : fiscalité et taxes globales, système de solidarité nationale, services publics efficaces, respect du bien commun et de l'écosystème, institutions plus démocratiques. Avec nos groupes dans 50 pays et nos 200

complémentaires : Sans entrer dans le détail des évolutions historiques, on rappellera qu’en se dotant d’un grand marché intérieur et d’une monnaie unique, les pays européens mènent une expérience originale d’intégration plus étroite de leurs économies. On montrera que l’union monétaire revêt une importance particulière dans le contexte monétaire et financier international, et qu’elle renforce les interdépendances entre les politiques macroéconomiques des Etats membres. On s’interrogera sur les

s’installe par Sarkozy en 2007. Les trois priorités étaient la lutte contre le réchauffement climatique, la protection de la biodiversité et la réduction de pollution. Le Grenelle compte 268 engagements. Cette dissertation couvrira des champs d’actions qui concentrent sur les sujets du transport, des bâtiments et des énergies renouvelables. L’analyse discutera l’efficacité des mesures du point de vue social, écologique et économique. Le domaine des transports et déplacements est le premier

Comment parler d'un cinéma marqué idéologiquement? L'exemple de la DEFA INTRODUCTION: A l'heure où toutes les archives de la RDA sont ouvertes, que des films sur la partition allemande et le régime du SED, ont un franc succès, on constate un boycott des films de la DEFA dans la reste de l'Europe, tant dans les rétrospectives, quoi qu’il commence à émerger, que dans les éditions DVD en d'autres langues que l'allemand.

est avant tout un symbole américain. Sa réussite a transmis au cours des époques l’image de l’Amérique telle qu’elle était idéalisée. General Motors est même qualifiée de pupille de la Nations Américaine et elle représente donc un enjeu économique, social et politique considérable pour ce pays. Son statut de multinationale la rend très influente sur le monde entier, tant avec sa force qu’avec ses difficultés. Ses récentes faiblesses dues à la crise économique ont entraîné des répercussions mondiales

Introduction 2 Transformation des relations industrielles aux Etats-Unis : la montée du Néolibéralisme 3 La conception néolibéral du travail 4 L’exemple de l’industrie automobile américaine 5 Passage à une économie néolibérale : l’exemple de la Russie Postsoviétique 7 Les effets de la mondialisation des capitaux et de la finance sur le marché du Travail : contraction des politiques américaines 8 Conclusion 10 Bibliographie 11 Introduction Le rapport annuel de la

aggravants/résorbant le déficit 6 II. Approche pays : comparaisons et implications 9 A. La France, un modèle interventionniste miséricordieux ? 9 B. Le Royaume-Uni, un colosse au pied d’argile 12 C. De la gestion de la dette 13 III. Gestion de crise, comment le déficit public agit sur les actions des pays 14 Conclusion 19 Annexe 20 Bibliographie 22 Introduction Au début des années 2000 apparaît une bulle immobilière, qui ne fait que grossir jusqu’en 2006. A ce moment, c’est l’éclatement de

profit et/ou de la taille de l’entreprise. Enfin, selon le point de vue de la société, se serait de répondre aux attentes de celle-ci. On parle de « Responsabilité Sociale de l’Entreprise » (RSE) ; en parallèle d’objectifs économiques, elle aurait des objectifs sociétaux : une politique sociale généreuse pour ses salariés, la protection de l’environnement, la réduction des inégalités… Le paradoxe de la situation actuelle est qu’aujourd’hui la compétitivité « fait la loi » dans le monde. Elle n’est

aujourd’hui le résultat : une marche généralisée à la régression, tant économique que sociale, qui frappe d’abord les pays dits « riches » mais qui n’épargne pas ceux que l’on désigne comme des pays « émergents ». Elle a conduit à une surexploitation des ressources naturelles plongeant plus d’un milliard et demie d’êtres humains dans des crises écologiques qui vont chaque jour empirant. Elle a provoqué la destruction du lien social dans un grand nombre de pays et confronté là aussi des masses innombrables au

de tous les grands problèmes du monde et de chacun. Ce livre défend une thèse opposée : la croissance est un concept attaché à un monde en dépérissement, et sa poursuite obsessionnelle nous prépare des lendemains qui déchantent. Mais des voies alternatives crédibles sont à portée de la main. Jusqu'à présent, le capitalisme a su, en y mettant d'énormes moyens de persuasion, utiliser la croissance comme argument de vente les preuves de sa supériorité. Mais pour le GIEC, « les pays riches vont devoir