Altitudes et vitesses

meilleures dispositions pour s’imposer. À environ 300 mètres de l'arrivée, le poisson pilote s'écarte et le sprinteur se met en danseuse pour aller le plus vite possible. Grâce à leur puissance, les meilleurs sprinters mondiaux peuvent atteindre une vitesse allant jusqu’à 80km/h. c) Les méthodes illégales pour optimiser les capacités Le dopage est la pratique consistant à absorber des substances ou à utiliser des actes médicaux définis par des organismes ad hoc afin d'augmenter les performances

analogues. Quelques questions  Quels sont les paramètres météorologiques qui régissent l’état atmosphérique ? Thermosphère L’atmosphère (du grec atmos, vapeur) est l’enveloppe gazeuse ceinturant en couches concentriques la Terre, jusqu’à une altitude voisine de 800 km. C’est au sein de l’atmosphère que prennent naissance les phénomènes météorologiques conditionnant le climat. 85 km Étoile filante Trois grands paramètres permettent de caractériser l’état de l’atmosphère et de prévoir, par

freins peut entraîner la surchauffe des plaquettes et des disques, avec risque de blocage ou même de combustion des plaquettes ; sur l'aire de stationnement, la vitesse de l'avion doit être très faible de manière à permettre l'arrêt pratiquement sur place en cas de danger (circulation des personnes et des autres • • • avions) ; la vitesse de roulage au taxi se règle essentiellement en faisant varier la puissance ; s'il faut ralentir, il faut d'abord réduire la puissance avant d'utiliser les freins

aux théorèmes relatifs à l’énergie mécanique. EXERCICE 1 : ENERGIE POTENTIELLE ET ETAT DE REFERENCE Un objet de masse m est initialement à l’altitude Z0 repéré sur un axe vertical orienté vers le haut. On le fait passer successivement aux altitudes Z1, Z2, Z3. 1°) Calculer l’énergie potentielle du système terre-objet à ces différents états. L’état de référence étant successivement : a- le plan d’altitude Z0 b- le plan d’altitude Z2 On donne m = 10 kg ; g = 9,8 N/kg ; Z0 = 0 ; Z1 = 10 m

a. 3 CHUTE AVEC FROTTEMENTS À partir d’une même position de l’espace, on réalise dans deux fluides différents, la chute verticale sans vitesse initiale de solides de petites dimensions, de même forme, de même volume, mais de masses différentes. On filme la chute et un dispositif informatique permet de tracer la courbe donnant l’évolution de la vitesse v du centre d’inertie du solide en fonction du temps. À chaque nouvelle expérience, on ne change qu’une seule des conditions expérimentales

suivantes. a) Trouvez la variation en fonction du temps de la vitesse et l’´equation horaire. b) Tracez les graphes de a, de v et de x en fonction du temps. 2. Mouvement en deux dimensions Une particule quitte l’origine avec une vitesse initiale de v = (3, 00ˆı) m/s avec une acc´el´eration constante de a = (− 1, 00ˆı − 0, 50ˆ) m/s2 . a) Montrez que la composante selon x de la position de la particule atteint un maximum. b) Quelle est la vitesse de la particule `a l’instant o` u la composante selon x

-Un cyclone se déclenche dans une région où l'air est instable, au-dessus des océans où la température de l'eau est au minimum de 26 oC sur quelques dizaines de mètres d'épaisseur. L'air chaud et humide, plus léger, s'élève et s'accumule en altitude bloqué par un vent d'ouest rapide circulant entre 10 000 m et 15 000 m d'altitude. Un énorme système nuageux de cumulonimbus (les nuages d'orage), alimenté par le bas, s'établit ainsi sur une hauteur de 10 à 15 km. Le mouvement de giration du cyclone

de la fusée, ce qui permet alors d'obtenir des altitudes plus élevées. 2. Stabilité à basse vitesse La condition de stabilité que nous avons étudiée ne s'applique qu'à partir d'une vitesse minimale. Il est d'usage de considérer que cette vitesse minimale est de 10 m/s (soit 36 km/h). Il est donc préférable que le guidage de la fusée lors de son lancement se fasse sur une durée suffisamment importante pour que, une fois le guidage terminé, la vitesse de la fusée soit d'au moins 10 m/s. 3. Remarques

degrès, le cyclone y va puiser son énergie. Cette air chaud de surface va aller en altitude où il sera refroidi et se videra de sa chaleur en créant de la vapeur et de la condensation. Le cyclone se forme à partir de 5° de lattitude. La préexistence d'une zone depressionnaire est necessaire, où la convergence des vents se forment au niveau de l'équateur, dans la zone de convergence inter-tropical. En montant en altitude l'air chaud se décharge de son humidité et va donc redescendre sous forme de vapeur

l’appareil. On croit souvent que l’incidence est celle de l’avion par rapport au sol. Il s’agit plutôt de l’angle de l’aile par rapport à l’écoulement d’air, et cet angle peut varier substantiellement d’un avion à l’autre. Un avion filant à 300 mi/h à altitude fixe aura normalement une incidence nulle (en fait, d’environ 5o), puisque la position de ses ailes correspond à la direction de vol de sa masse. Par contre, l’incidence d’un avion en vol plané dont le nez serait maintenu relevé afin de ralentir