Ambiguïté

ouvertes.. » du point de vue externe du personnage on croirait que Mme de Clèves préparait une fête, mais « Il vit qu’elle était toute seule » donc une fête solitaire en l’honneur de M. de Nemours. 2.b.Un aveu clair : Mais, là où l’aveu est sans ambiguïté, c’est quand Mme de Clèves se lèves pour aller contempler le portrait de M. de Nemours « Elle s’assit et se mit à regarder ce portrait avec une attention et une rêverie que la passion seule peut donner » L’auteur utilise une contradiction entre les

suite : Chinois, Nankin, Céleste empire II/ Confidence personnelle => Victoire sur le temps => Explicitement à travers une liaison comparative : tenant dans ses bras , le regardant Pour moi si je me penche ... => Accentuation, mais ambiguïté du second élément : Féline = Chat ou Femme ??? un fort gros chat, blanc des yeux => vers la belle Féline, la si bien nommée, l'honneur de son sexe, la gloire de mon coeur, le parfum de mon esprit.  (Le chat ne s'apprivoise pas complètement

toute époque la poésie se reconnaît à une série d’écarts par rapport à la norme du langage ordinaire : aller à la ligne alors qu’on n’est pas au bout de la phrase (c’est le vers, avec l’enjambement), répéter des sonorités au risque d’introduire une ambiguïté à l’écoute (c’est la rime), répéter des rythmes au risque de lasser ou troubler l’oreille (c’est la métrique), etc (3) . Selon Cohen, cette déstructuration vise non seulement à produire un effet distinctif (« faire poème » comme on « ferait punk

situés dans un cadre réaliste, ils se rencontrent place de Clichy et parlent de personnages réels tel que Poicaré. Le personnage principal qui est aussi le narrateur, n’est absolument pas présenté dans l’incipit, bien que l’on puisse distinguer son ambiguïté langagière, son ironie, sa dérision et ses opinions politiques. A l’inverse, Céline présente son ami Ganate, qui au travers du débat, entre nationalisme et universalisme, qu’il tient avec le narrateur, permet, permet de présenter le point de vue

son propre metteur en scène, et le lieu d’une diversité de points de vues. D’abord extérieurs, dans la mesure où le lecteur perçoit certains aspects contradictoires de Lorenzo, présenté de manière fragmentaire à travers plusieurs opinions. Cette ambiguïté voulue par l’auteur est illustrée par les différents noms que reçoit le personnage tout au long de la pièce, et qu’il porte comme autant de masques sur le visage. Dans la scène 4 de l’acte I, le duc l’appelle du nom prestigieux de « Lorenzo de Médicis

contourné depuis longtemps, mais à quand même voulu protéger le patient, qui d’une part est peut être considéré comme un bien dans le patrimonial et transmissible et de l’autre un bien qui doit être protéger. B D’une évolution à une certaine ambiguïté La Cour de cassation déclare « la cession de clientèle médicale n’est pas illicite. ». C’est donc un Revirement de jurisprudence et sa confirmation avec cet arrêt. L’art 1128 dispose « la chose doit être dans le commerce. » La Cour de cassation

ce « je » qui assiste au passage est certes celui qui parle, mais « mon âme » englobe la notion de sujet en général. C’est donc une injonction qu’on peut prendre, en temps que lecteur, à son propre compte. Le « je dis » final s’imprègne de cette ambiguïté : « je » poète, mais aussi « je » du lecteur, amené, par la description à laquelle il vient d’assister, à se poser la même question. Le fait que la question « que cherchent-ils... » soit posée au discours direct tend à faire de cet énoncé un énoncé

la bienveillance (« appuyé », « soutenaient »). Le fauteuil remplit au sens propre le rôle que tient Mme Forestier au sens figuré quand elle met à l’aise son invité. Simultanément 13. Du latin, for, faris, parler, avec un préfixe privatif. une ambiguïté est introduite par les termes « étreint », « caressant », « bras » : il y a dans ce fauteuil quelque chose de sensuel et d’érotique comme chez sa propriétaire. Mais cela est dissimulé sous des allures très convenables. b) Le double portrait

toujours d'une vastitude. On constate, au vers 2, qu’il la personnifie ; qu’à son «regard, infernal et divin» (ces deux mots étant rapprochés par le son «in») sont attribués deux qualités fondamentalement antithétiques, cette ambivalence et cette ambiguïté («confusément») étant confirmée au vers 3 par les conduites contraires qu’elle inspire («le bienfait et le crime»). Il apparaît quelque peu étonnant qu’ensuite il puisse, d’une façon quelque peu didactique, la «comparer au vin», la considérer donc

Qu’entend-il ? Que voit-il que certains des personnages ne savent ? n’entendent ? ne voient pas ? Avec quel personnage s’établit sa complicité (involontaire) ? Par quel moyen s’établit cette complicité (aparté, monologue, obscurité, vision « panoramique », ambiguïté des mots…) ? • Vous avez intérêt à prendre chaque scène l’une après l’autre ; faire une synthèse serait difficile. CORRIGÉ DES QUESTIONS m Question 1 • Les trois scènes ont des points communs tant du point de vue des personnages que de la situation