Ambigüité De La Morale Dans Les Fables De La Fontaine

qui cabalent, et qui font brûler les gens qui ne sont pas de leur avis ? 3.2. Mais ce monde rêvé ne peut exister. * Tout ce qui décrit l’utopie en Eldorado est forcé, sur joué. Les hyperboles, les jeux de langage (ironie des « ne…que ») créent une ambigüité en atténuant et renforçant à la fois le propos. D’où une sorte de déséquilibre, d’instabilité du texte. Il s’y ajoute des paradoxes (dédain de l’or malgré les richesses, inaccessibilité du pays)… Les invraisemblances charment le lecteur, mais le

efficace : le plaisir de lecture. Effectivement, quoi de plus entraînant qu’un récit qui vous engage à être actif, bien que lecteur ? Cela est notamment remarquable en ce qui concerne les Fables de La Fontaine. Par la mise en scène d’animaux qui représentent des caractères humains ou des rangs sociaux, la morale ou la leçon à en tirer est acceptée car l’illustration est attrayante. Par exemple, dans « les Animaux malades de la Peste », le fabuliste met en scène un lion, figure du roi qui rassemble

comportement de son maître : (lignes 1, 2) > Les interrogatives + conjonction de coordination > expriment l’opposition entre le cynisme du personnage et sa condition d’aristocrate qui ne respecte pas les valeurs de sa caste : politesse, honnêteté, morale, honneur. Dom Juan répond vivement à ce dernier en soulignant que son cas particulier n’est en rien excentrique, marginal puisque l’hypocrisie est générale. Il semble importuné par la remarque fâcheuse mais pertinente de Sganarelle et réagit vivement

antiques, par-delà ces « ténèbres gothiques » qui caractérisent selon lui le Moyen Âge. Rabelais s'en prend aux abus des princes et des hommes d'Église, et leur oppose la culture populaire, paillarde, « rigolarde », faite de vin et de jeux, pétrie d'une morale chrétienne légère, loin des lourdeurs ecclésiastiques. Ses critiques à l'encontre des théologiens de la Sorbonne et ses expressions crues, parfois obscènes, lui valent la mise à l'Index Librorum Prohibitorum[3], quoique cette censure n'intervienne

Le Loup et l’agneau, La Fontaine, Fables, I,10 Eléments d’introduction □ Rappeler ce qu’est une fable en présentant l’œuvre de La F □ Premier recueil- inspiration ésopique plus marquée- finalité didactique plus évidente- et moralité de nature pragmatique (comment agir tous les jours) □ c’est le cas ici- moralité de cette fable plus pragmatique que juste et morale ! □ penser à présenter le contenu de la fable : agneau paisible qui finit par se faire dévorer par un loup au terme d’une

résumé, dans le burlesque, l’écrivain exagère les défauts de celui qu’il veut critiquer pour les faire ressortir et pour choquer son public. Ensuite, l’humour permet de critiquer des cibles bien définies en jouant sur les mots et en créant des ambiguïtés. Molière brosse, par exemple, le portrait des religieux et l’hypocrisie de ces derniers dans sa pièce de théâtre Tartuffe. Dans cette œuvre, Tartuffe, un faux dévot, va multiplier les coups-bas pour essayer de s’emparer de la femme et de la fortune

modèles antiques pour créer leurs propres œuvres. Pour autant, elles ne relèvent pas de l'imitation pure. Les grands auteurs ne réutilisent ces modèles que pour en faire des œuvres modernes. Ainsi, si La Fontaine reprend les fables d'Esope et de Phèdre, c'est pour en donner une version moderne dont la morale sociale et politique ne peut être comprise que dans le contexte du xviie siècle. Caractéristiques[modifier | modifier le code] Boileau par Hyacinthe Rigaud Le classicisme du xviie siècle est

agissant comme des humains sous la loupe grandissante du grotesque de la bouffonnerie ne cessera de divertir, d’amuser voire d’être perpétuée dans les œuvres de Boccace, Corbaccio, Rabelais, Gargantua et Pantagruel, Molière, Tartuffe et La Fontaine, Les Fables. Le Roman de Renart a également inspiré des auteurs contemporains comme Carl Gustav Jung dans la création du concept d’Enfant intérieur (la part enfantine de l’homme et de la femme) et Paul Radin dans son étude du Trickster (divinité chaotique)

Les règles et la morale dans l’art au 17ème siècle: Le Classicisme Sommaire : Introduction Quelque définition Frise chronologique Présentation du 17ème Les moralistes Versailles et les jardins à la française L’académie française La querelle des anciens et des modernes Le genre romanesque Le théâtre classique La comédie classique Le triomphe de Lully La colonnade du Louvre Les Bergers d’Arcadie Conclusion Introduction : Le passage de l’âge baroque au classicisme, qui concorde avec l’établissement

réalisme est un mouvement artistique qui apparaît en France au xixe siècle et dont le projet est de contraindre l'art à représenter la réalité. Quelles sont les caractéristiques de ce mouvement ? En quoi la notion de « réalisme » n'est-elle pas sans ambiguïté ? Quelles idées nouvelles sont à l'origine du réalisme ? Ce courant littéraire apparaît en réaction contre le romantisme qui a marqué le début du xixe siècle. En peinture comme en littérature, il part en guerre contre le double idéalisme du