Ambition Rastignac

on entend derrière la voix du narrateur qui sous-entend le peu de scrupules de Rastignac. Le narrateur dénonce également à travers le personnage de Rastignac, l’immoralité de la jeunesse et sa dégradation. Il critique une jeunesse désoeuvrée de la Restauration qui perd de sa morale.. Il y a également une métaphore qui associe ces nobles parisiens à des animaux affamés lorsque la narrateur affirme que « Rastignac donnait le branle à ce rire parisien qui portait chaque jour sur une nouvelle

sommet, il s’imagine avoir le monde entier a ses pieds ,,Il voyait a ses pieds vingt lieues de pays’’, ce qui est sa plus grande ambition. Deuxièment, sans utilise une transition entre les mots ,,âme’’ et ,,maire’’, le temps déclenche une focalisation interne. Les adverbes ,,bien’’, ,,toujours’’, souligne le caractère frivole de ce extrême jugement ,,de la terre’’. Son ambition est mise en évidence par ,,l’haine’’ et ,,la violence des sentiments’’. L’ironie douce est aussi présente ,,le plus grand sacrifice’’

résume en lui-même les traits caractéristiques de tous ceux qui lui ressemblent plus ou moins, il est le modèle du genre.» Le père Goriot, «Christ de la paternité», Rastignac, « l'ambitieux », en sont des exemples. 6. La mise en œuvre de forces puissantes qui touchent au mythe: recherche de l'absolu, énergie, argent, passion, ambition sont les moteurs de l'action humaine, mais la cause aussi de sa destruction. 7. La construction d'un système : l'organisation méthodique de La Comédie humaine en fait

prendre que le dîner . Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui se fait passer pour un ancien commerçant; Eugène de Rastignac, fils d'une famille noble et désargentée de Charente venu faire son droit à Paris.  Il y a également le père Goriot, pitoyable rentier de soixante

du mépris inné des hommes de familleSes illusions d'enfance, ses idées de province avaient disparu. Son intelligence modifiée, son ambition exaltée lui firent voir juste au milieu du manoir paternel, au sein de la famille. Son père, sa mère, ses deux frères, ses deux soeurs, et une tante dont la fortune consistait en pensions, vivaient sur la petite terre de Rastignac. Ce domaine d'un revenu d'environ trois mille francs était soumis à l'incertitude qui régit le produit tout industriel de la vigne

désirs. L'espoir renaît, et la première partie (Le talisman) se conclut par une agape, un banquet fastueux, lieu de profusion même d'excès. Le héros, Raphaël de Valentin, emporté par le vin dans une orgie de paroles, raconte ses jeunes années, son ambition et surtout ses amours déchirantes pour la comtesse Foedora, La femme sans coeur, tandis qu'il se refuse à aimer Pauline, jeune fille sans beaucoup de moyens à qui il donne des leçons. La seconde partie est ce monologue romantique, achevée par l'accomplissement

comme « une reine » qui gouverne la société en plaçant ses sujets là où elle le souhaite, en ouvrant ou non sa porte à ses sujets, comme s’ils étaient admis ou non à la cour d’un monarque. Mme de Beauséant est donc la clé du succès pour le jeune Rastignac. 2. Comment sa situation sentimentale influe-t-elle sur son discours et en fait-elle une initiatrice de choix ? Mme de Beauséant vient d’apprendre par la duchesse de Langeais que son amant, le marquis d’Ajuda Pinto vient de se fiancer à une demoiselle

retard. Étant d'un naturel perfectionniste, son écriture fut pour lui longue et laborieuse. Le roman fait partie de La Comédie Humaine, un ensemble d'ouvrages de Balzac contenant cent trente-trois œuvres pour la plupart reliées entre elles. Son ambition était de décrire d'une façon presque exhaustive la société qui l'entourait. En 1831, au moment où paraît cette Peau de chagrin, Balzac commence à peine à être connu dans les salons parisiens grâce au scandale de son livre précédent La Physiologie

pour celui qui s’y engage. Dans la pension sordide de Mme. Vauquer, au Quartier Latin, logent toutes sortes d’individus : un étudiant provincial, Rastignac, un ancien fabricant de pâtes, le Père Goriot, et Vautrin, un mystérieux personnage qui semble vouloir dominer tous les autres, nous intéressent de manière particulière. L’évolution morale de Rastignac, qui ouvre peu à peu les yeux sur la véritable nature d’une société sans scrupules, croise le destin des autres pensionnaires, du Père Goriot en

ses filles ? pourquoi l’a-t-on appelé le « Christ de la paternité » ? * montre sa déchéance en commentant les différentes chambres qu’il a occupées dans la pension Vauquer. 5) Rastignac : * à quelle classe sociale appartient-il ? * quelles études fait-il ? Pourquoi ? * quelles sont ses ambitions ? * comment décide-t-il de faire fortune ? quels différents moyens s’offrent à lui ? * réfléchis à la dernière phrase du roman. Que signifie-t-elle ? 6) Quel est le rôle de