Âme sœur

nommé, je ne vous connais pl us. » vers 502 Pour Horace , son peuple est plus important que tout. C'est une marque de loyauté envers Rome  . Il est courageux car il est prêt a mourir sans hésiter pour sa cité. Même si il meurt , il demande à sa sœur de ne pas en vouloir à Curiace( vers 519-520) . pour lui, si Curiace le tue c'est qu'il n'a fait que son devoir  cela prouve que Horace est un bon homme qui accepte la défaite , Horace veut protéger sa femme en demandant à son père qu'il fasse quelque

risquerais-je à vous les confier? Vous brûlerez cet écrit, et je vous promets de brûler vos réponses. Comme nous étions venues au monde à peu de distance les unes des autres, nous devînmes grandes toutes les trois ensemble. Il se pré- senta des partis. Ma sœur aînée fut recherchée par un jeune homme charmant; bientôt je m'aperçus qu'il me distinguait, et je devinai qu'elle ne serait incessamment que le prétexte de ses assiduités. Je pressentis tout ce que cette préférence pouvait m'attirer de chagrins et

Amérique. De retour en France il se marie et se met au service de la monarchie menacée. Blessé dans une bataille il se réfugie en Angleterre, où il vit misérablement des leçons et des traductions. En 1798, bouleversé par la mort de sa mère et sœur, il revient à la religion et écrit Le Génie du christianisme. Il rentre à Paris et, au service de Napoléon, est nommé secrétaire de l’ambassade à Rome, puis il se distance de Napoléon, reprend une » vie privée « et se remet à l’écriture. C’est

perdre la vie à cause de la bêtise de ta sœur! Ton air doit être (articule) G-R-A-V-E ! Puis petit à petit il faut que tu explose (il fait de grands gestes). Comme (cherche dans le texte) « Tu es folle », il fait montrer au public l'absurdité d'Antigone et sa folie! Le personne ne veut pas mourir non ? Alors montre-le! Et quand tu dis ta 6ème réplique abaisse un peu le ton et prends plutôt des airs de méprise. Mais Ismène est tout de même attaché à sa sœur donc dans la suite du texte soit presque

septembre 1767. Trois ans après, on vit paraître L' Ingénue, ou l'Encensoir des dames, par la nièce à mon oncle, Genève et Paris, chez Desventes, 1770, in−12. L'INGÉNU. CHAPITRE I. Comment le prieur de Notre−Dame de la Montagne et mademoiselle sa soeur rencontrèrent un Huron. Un jour saint Dunstan, Irlandais de nation et saint de profession, partit d'Irlande sur une petite montagne qui vogua vers les côtes de France, et arriva par cette voiture à la baie de Saint−Malo. Quand il fut à bord, il

il se ressaisit très vite. Le lendemain Basil passa le voir pour savoir comment il allait et il voulut voir son tableau. Dorian se jeta sur le tableau caché par le tissus. Basil insista sans succès. Le soir il alla au théâtre avec Lord Henry et sa sœur pour se changer les idées. Dorian Gray fit venir des encadreurs et leurs fit monter le tableau dans une vieille bibliothèque qui n’avait pas servi depuis longtemps. Puis un soir Basil passa le voir mais Dorian n’était pas là et il l’attendit. Puis

rencontre chez le joailler avec Monsieur de Clèves (elle rougit du désir qu’elle suscite). Ce dernier loue sa beauté à la Cour sans connaître son identité le soir même chez Madame, sœur du roi ; Madame de Dampierre reconnaît alors Mlle de Chartres et la nomme enfin pour le prince de Clèves. Le jour suivant, Madame sœur du roi raconte à Mlle de Chartres l’étonnement de Monsieur de Clèves, et les fait se rencontrer chez elle. Mlle de Chartres suscite aussi l’admiration du chevalier de Guise. Elle devient

vivre la misère à leurs enfants que j’arrive à imaginer ce que tu as pu voir et entendre pendant les quelques années que tu as passé au sein de ce foyer sordide ou tout ce qui est interdit en présence d'un enfant vous a été imposé à toi et à ta petite sœur… Nombre d’enfants ont vécu ou vivent encore ce genre de calvaire… seulement voilà, pour toi, on a poussé l’ignominie à son extrême ! J'arrive à imaginer la violence, la brutalité et la souffrance qu’on t’a fait endurer avant que tu ne lâche ton

I. La folie d’une héroïne a. Des paroles incohérentes b. Des propos entre rêve et réalité c. Les cadeaux floraux d’Ophélia II. Ophélia face aux autres personnages a. Un dialogue inexistant b. Laertes, un frère désemparé par l’attitude de sa sœur c. Une vision tragique William Shakespeare, grand poète, dramaturge et écrivain, est réputé pour sa capacité à représenter les différents aspects de la nature humaine dans toutes circonstances. C’est notamment dans ce registre

php#ixzz1kIRbrYP2 "Elle porte au hasard ses pas irrésolusSon œil tout égaré ne nous reconnaît plus".Lire la suite sur : http://www.etudes-litteraires.com/racine-personnage-phedre.php#ixzz1kIRbrYP2 Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vueUn trouble s’éleva dans mon âme éperdueMes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parlerJe sentis tout mon corps et transir et brûler.Lire la suite sur : http://www.etudes-litteraires.com/racine-personnage-phedre.php#ixzz1kZMEHDut Le tragique dans Phèdre. Les personnages de Phèdre