Amende honorable

l’empereur doit lui tenir compte alors que l’empereur soutient la thèse inverse => conflit entre l’empereur et le pape Il s’en est suivi une longue lutte marquée par la soumission d’Henri IV empereur germanique à Canossa ; l’empereur fit amende honorable devant le pape Grégoire VII durant la querelle des investitures du 28 janvier 1077 Entre les princes par ailleurs les guerres furent nombreuses mais l’autorité du pape était toujours suffisante pour imposer un minimum d’ordre dans les rapports

au public, le prix qu'ils attachent à son appréciation. Mais, on l'a dit maintes fois, il n'est pas toujours louable de vouloir persuader quelqu'un : les conditions dans lesquelles le contact des esprits s'effectue peuvent, en effet, paraître peu honorables. On connaît la célèbre anecdote concernant Aristippe à qui l'on reprochait de s'être abaissé devant le tyran Dionysios au point de se mettre à ses pieds pour être entendu. Aristippe se défendit en disant que ce n'était pas sa faute, mais celle de

d’évêques qui prononce la déposition de Grégoire VII, qui, à son tour, excommunie et dépose l’empereur. Ce dernier essaye alors de revenir dans la communauté chrétienne car l’excommunication est la pire punition qui soit pour un chrétien. Il fait amende honorable devant le pape, c-à-d qu’il demande pardon dans des conditions symboliques humiliantes et le pape accepte de lever l’excommunication. Cela s’avère prématuré car dès qu’Henri IV a rétabli son autorité, il reprend la lutte et parvient à chasser

→ affable, aimable, attentif, décent, discret, honnête, poli, respectueux. Antonymes → discourtois, impoli, irrespectueux, malappris, rustre. 15) S’amender : devenir meilleur, s’améliorer sur le plan moral. Ex. : un délinquant qui s’est amendé. Synonymes → améliorer, corriger, réformer. Antonymes → 16) Stoïque : qualifie une personne capable de souffrir sans se plaindre. Ex. : cet enfant grièvement blessé est resté stoïque ; il a fait l’admiration de tous. Synonymes → impassible

d'user mais pas de disposer. Il pense que l'état est le seul propriétaire universel donc peut concéder à chacun la possession des biens. Il réalise que sa solution ressemble trop au communisme et à l'autoritarisme donc au fil de ses écrits, il amende sa notion de possession qui va se rapprocher de la propriété capitaliste. 1865 Théorie de la propriété « La propriété, c'est la liberté » car c'est la seule institution qui va rendre les individus capables de résister à l'Etat. Liberté individuelle:

à l'objet de ma candidature, vous l'accueillîtes favorablement ; et, par la distinction précieuse dont il vous plut de m'honorer, vous me fîtes de cet engagement solennel une obligation inviolable et sacrée. je connus dès lors à quelle digne et honorable compagnie j'avais affaire : mon estime pour ses lumières, ma reconnaissance pour ses bienfaits, mon zèle pour sa gloire, furent sans bornes. Convaincu d'abord que, pour sortir de la route battue des opinions et des systèmes, il fallait porter dans

ces trois idées ? → La loi fiscale frapperait des situations de fait, et non des situations de droit. Le réalisme s'oppose donc au juridisme. → Le droit fiscal est réaliste car il ne s’embarrasse pas de morale (d'où provient le revenu ? Activité honorable ?) : tout le monde est imposable. Le réalisme s'oppose donc au moralisme. → Le réalisme du droit fiscal s'opposerait à l'apparence, au sens de fiction, notamment celle créée par les contribuables (le droit fiscal ne s'arrête pas à l'apparence d'avoir

d’évêques qui prononce la déposition de Grégoire VII, qui, à son tour, excommunie et dépose l’empereur. Ce dernier essaye alors de revenir dans la communauté chrétienne car l’excommunication est la pire punition qui soit pour un chrétien. Il fait amende honorable devant le pape, c-à-d qu’il demande pardon dans des conditions symboliques humiliantes et le pape accepte de lever l’excommunication. Cela s’avère prématuré car dès qu’Henri IV a rétabli son autorité, il reprend la lutte et parvient à chasser

Néanmoins, il nous en dit assez pour répondre à notre curiosité, et on peut deviner d’après lui le régime de travail qu’il avait sous les yeux. Le travail, dans cette société, était fort estimé. La question ne se posait même pas de savoir s’il était honorable ou non ; la chose allait de soi. Les plus hauts personnages faisaient œuvre de leurs mains et s’en vantaient. S’il y avait entre nous, dit Ulysse à Eurymachos, une lutte d’ouvrage, au printemps, quand les jours sont longs, j’aurais ma faucille, toi

germaniques prédisposaient à se faire justice à soi-même. La puissance publique n'est pas toujours assez forte pour imposer sa justice. Les nobles par exemple, considèrent que la voie de fait - la justice que l'on se rend à soi-même - est bien plus honorable que la voie de droit. C'est donc déjà une performance d'attirer les justiciables devant les juges. Et ces juges parent au plus pressé. Il faut par tous les moyens apaiser le conflit pour que la vengeance ne se rallume pas. Et dans une société où