Américanisation

au bonheur humain ? Le relevé des arguments permet de construire aisément le plan de la synthèse : un plan analytique réduit aux causes et aux conséquences du phénomène observé. CAUSES : - la fatuité, l'orgueil humain (doc. 1) - américanisation et industrialisation (doc. 2) - la productivité, l'esprit mercantile (doc. 2 et 3) - la victoire de l'outil sur la main (doc. 2) - l'homme a besoin de beauté et de confort spirituel (doc. 2 et 3). CONSÉQUENCES : - la course sans fin à

unique qui deviendrait du même coup « dominant ». Pour beaucoup, la mondialisation des échanges ne conduirait pas à un « échange » culturel puisqu’elle serait à sens unique. Il faudrait plutôt parler d'une « occidentalisation », voire d'une « américanisation » provenant de l’attrait que suscite la technique industrielle occidentale et de l’expansion dont elle fait l’objet. Cet attrait est en quelque sorte « créé de toute pièce » : pour vendre des produits dans le monde entier, les firmes multinationales

aux États unis les enfants n’ont pas école l’après midi , ils se retrouvent donc souvent seuls chez eux, devant la télé ce qui les incitent à grignoter . 2)Diffusion en France : Cela touche quelles -catégories sociale -classe d’age Américanisation , ( mondialisation culturelle) En 1944 , à la fin de la seconde guerre mondiale, quand les États unis viennent « libérer » la France des nazis, ils font connaître aux Français leur mode de vie et leurs emmènent du coca, du chocolat, des chewing-gums

dans l’œuvre. Le phénomène peut s’avérer être un facteur d’appauvrissement culturel malgré l’incroyable potentiel d’échange qu’il offre grâce à l’évolution des systèmes de communications. Cependant, la mondialisation est souvent perçue comme une américanisation, ainsi nous nous tournons de plus en plus vers une culture commune, même film, même lecture, même nourriture. Cette uniformité serait alors d’avantage source de paupérisme de la culture. Précisons, de plus, que l’appauvrissement culturel au sein

années 80, de l'UE dans les années 90.- Société de consommation : expression qui s'impose dans les années 60 pour qualifier une société dont l'économie s'efforce de créer sans cesse de nouveaux besoins pour pousser les individus à acheter. - Américanisation / occidentalisation : uniformisation des valeurs et des normes de consommation inspirées du modèle américain ou plus généralement occidental.- SMIG / SMIC : Salaire minimum interprofessionnel garanti (1950) puis salaire minimum interprofessionnel

capitalisme libéral triomphant. Propriété privée. Principe : liberté d’entreprendre. Etat intervient peu. Acteur clé : Entreprises et individus. Pays le + riche au monde (50% de P°) société de C° de masse + banlieue avec maison individuelle ® Américanisation. · modèle attractif : les E-U font rêver le monde. Au sortir de la G i y a tjrs de l’immigration. Le ciné et la culture véhicule le modèle américain. Il ya des bases américaines partout. 2) Crises et réformes. a) limites dès les années 50

des pôles de la Triade ( Etats-Unis, Union Européenne et Japon), les médias appartiennent à des grandes compagnies du Nord , les films et séries diffusées au grand public sont très souvent d’origine étasunienne… Ce qui tend à faire craindre une Américanisation du monde, c’est-à-dire la diffusion de « l’American Way of Life » (document 1), ou tout du moins une occidentalisation. Cela signifie que certains modèles culturels dominent d’autres cultures. Il est dès à présent nécessaire de voir ce qui caractérise

spécificités, actuelles ou passées, de la France par rapport aux autres pays d’Europe, voire du monde, dans le secteur de la culture. Il existe donc, dans le monde, des modèles qui ne sont pas américains. La mondialisation n’est pas forcément une américanisation sans limite. Conclusion Nous avons donc pu observer, décrire, et expliquer les différents moyens et influences dont disposent les USA pour dominer et s’imposer en tant que superpuissance dans la mondialisation. Et cela, par deux aspects : le

identité, un déchirement, non sans une certaine amertume. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant de voir certains brandir les symboles de l’archaïsme pour affirmer leur différence. En France, on s’offusque de la mondialisation, perçue comme une américanisation et donc comme une uniformisation de la culture. A fortiori, cette modernisation est perçue par les pays en développement comme une « capitulation, une négation de soi »6. Pourtant, Muhammad Ali, prenant l’exemple européen au XIXème siècle, était

hiérarchie, attachement à l’Empereur et patriotisme. Cette mentalité entretenue par le shintoïsme, est tout de même moins développée chez les nouvelles générations. B) UN PAYS A LA POINTE DE LA MODERNITE : ● Le japon a connu une rapide américanisation. Son PIB a été multiplié par 4. Cela lui a permis de mettre en place un système scolaire performant. Les méthodes commerciales n’ont plus rien à envier au marketing américain. Les japonais sont parmi les touristes les plus nombreux au niveau international