Amorce Zola

l’état-major. Les nationalistes et les conservateurs appuieront cependant l’état-major et une véritable déchirure sociale s’ensuivra au cours de laquelle Émile Zola exposera au grand jour son article «J’accuse !» qui bouleversera la France entière. Au cours notre texte, dans la première partie, nous répondrons aux questions sur l’auteur. Qui est Émile Zola? Quelles étaient les circonstances qui entouraient la publication du texte et quels étaient les objectifs de l’auteur? Dans la deuxième partie, nous prouverons

trois documents de genres et d’époques variés qui abordent la question de la place de la jeunesse dans la société. Le document 1 est un extrait de la tragi-comédie Le Cid de Corneille créée en 1637. Le second est une lettre ouverte publiée par Emile Zola en 1897 au cœur de l’affaire Dreyfus et intitulée « Lettre à la jeunesse ». Le troisième document est un extrait d’un pamphlet de Georges Bernanos, Les grands Cimetières sous la Lune (1938). Tous ces documents font dialoguer deux générations : les

du cran. Auguste rodin a voulu prendre l’aspect combattif de l’écrivain qui avait durant sa vie dénoncer la dégradation des valeurs morales et religieuses. Il menait un combat, c’était un forçat de l’écriture. 4)Jean Aicard qui a pris la suite Zola, à la présidence la Société des gens de Lettre, démissionne (suivi par sept membres de la Société), incapable de maîtriser la polémique et les dissensions induites par le projet. Il faut noter que la polémique se déroule en parallèle de l’affaire Dreyfus

Rouge et le Noir par la phrase suivante : « La petite ville de Verrières peut passer pour l’une des plus jolies de la Franche-Comté. » Il présente donc d’abord le lieu de son récit, qui semble idyllique, retardant la mention du personnage principal. Zola, au contraire, dans La Joie de vivre, qui commence par la phrase : « Comme six heures sonnaient au coucou de la salle à manger, Chanteau perdit tout espoir », introduit le nom du personnage, comme si le lecteur le connaissait déjà. On peut parler

Lecture analytique : Nana d’Emile Zola Emile Zola est un écrivain et journaliste français engagé né à Paris en 1940 et mort en 1902 dans la même ville. C’était un écrivain très populaire et considéré comme le père du naturalisme. C’était une personne très engagée politiquement ; on le connaît notamment pour son article de journal "J’accuse…" dénonçant la face cachée de l’affaire Dreyfus. Son œuvre la plus célèbre est la série des " Rougon-Macquart (contes et nouvelles)", Nana étant le neuvième

au corps humain, malgré le fait que Mme Chanteau refuse de lui dire certaines choses, notamment l'existence de la menstruation. Zola montre alors son côté favorable à l'éducation, à travers le personnage de Pauline qui tient grief à sa tante de ces cachotteries. Zola écrivait d'ailleurs, dans La Tribune, le 29 novembre 1868 : "La vérité purifie tout comme le feu." Zola avait aussi pour but, dans son œuvre naturaliste de déceler et de dévoiler la vérité; il dit ainsi dans sa Lettre à la jeunesse de

Bonheur des dames : Emile Zola Né à Paris le 2 avril 1840, mort dans la nuit du 28 au 29 septembre 1902 à Paris, Emile Zola est le fils de Francesco Zola et d’Émilie Aubert. D’origine italienne, son père Francesco Zola après avoir été officier d’artillerie devient ingénieur civil. A l’âge de quarante ans, il conçoit un projet de canal à Aix-en-Provence qui pourra ravitailler la ville en eau potable. C’est pendant ce chantier qu’il trouve la mort le 27 mars 1847. Zola passe son enfance et

Rougon-Macquart Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire Titre général sous lequel Zola à réuni 20 romans (de1871 à 1893), qui sont une vaste étude de la société française contemporaine de Napoléon III. Il s'inspire de la Comédie Humaine d'Honoré de Balzac pour écrire cette série. Les Rougon-Macquart est l'oeuvre principale du mouvement naturaliste fondé par Zola lui même. Le naturalisme : Théorie suivant laquelle l'art, la littérature se doivent de dépeindre la nature

Et, pieds nus, sans songer à remettre ses savates tombées, elle retourna s'accouder à la fenêtre, elle reprit son attente de la nuit, interrogeant les trottoirs au loin. Emile ZOLA, L’Assommoir, 1877. 1 une brunisseuse : ouvrière qui polit (fait briller) le métal. – 2 reconnaissances du mont-de-piété : reçus d’un établissement qui prête de l’argent en échange d’objets qu’on laisse en dépôt. 1-Comprendre la situation d’énonciation

FRANÇAIS ENTRAINEMENT AU COMMENTAIRE à partir d’extraits de Nana d’Emile ZOLA  Dans ce texte, l’auteur, Emile Zola nous offre un regard critique sur l’héroïne de son roman « Nana » et lasociété de l’époque dans laquelle elle vit : D’abord au travers du rapport qui existe entre le personnage et son lieu d’habitation puis dans le regard contradictoire que Zola porte sur Nana. I-Rapports entre Nana et son hôtel : Les expressions de la richesse, de l’ascension sociale et de la corruption