Amour Jalousie Monologue Interieur

II. L’aspect tragique de l’amour dans Andromaque. a. La fatalité de l’amour impossible Dans Andromaque, le lecteur assiste à la représentation d’un amour typiquement racinien, appelé aussi « amour cruel ». Dans la chaine amoureuse qui constitue l’intrigue, chaque protagoniste se retrouve en effet face à un amour impossible . Les personnages sont tour à tour confrontés au destin et à la fatalité qui empêche l’union avec leur bien-aimé. Oreste par exemple souffre face à une Hermione qui ne l’aime

reflète le mal du siècle. - La fin du roman est inspiré d'un fait divers, l'affaire Berthet. Berthet qui travaillait chez M. Michoud en tant qu'instituteur de ses enfants, a fini par tenter de tuer Mme Michoud par jalousie. Berthet s'est justifié par son amour, son affreuse jalousie qui troubla sa raison. En 1849, Balzac rédige un article élogieux sur La Chartreuse de Parme, roman publié par Stendhal en 1839, dans lequel il affirme " je trouve cette œuvre extraordinaire". Résumé de l'œuvre :

ami infidèle) et la sottise de Claudio. Péripétie : Marianne dénonce Octave à Claudio, qui prend des mesures de défense. Deuxième démarche et deuxième échec d'Octave. Octave plaide plus longuement la cause de Coelio et il essaie d'éveiller la jalousie de Marianne : l'artifice échoue ; l'orgueil de Marianne se révolte ; elle s'indigne qu'on en use ainsi avec elle et elle renvoie le négociateur décontenancé. Octave croit la partie perdue et va conseiller à Cœlio de renoncer. La première fois, il

moyens dramaturgiques : à la base, est le texte. Les « ressources » de l’auteur Le conflit est une « base » intéressante pour un dramaturge parce qu’il présente des cas de figures multiples : parfois il oppose plusieurs individus, parfois il est intérieur et déchire un être ; parfois il dresse un être contre un groupe ou une société, ou encore contre une puissance mystérieuse. Par ailleurs, les sources du conflit offrent une variété presque inépuisable. 1. Le conflit entre individus : jouer sur le

cessez de m'offenser. PHEDRE O haine de Vénus ! O fatale colère ! Dans quels égarements l'amour jeta ma mère ! OENONE Oublions−les Madame, et qu'à tout l'avenir Un silence éternel cache ce souvenir. PHEDRE Ariane, ma soeur, de quel amour blessée Vous mourûtes aux bords où vous fûtes laissée ! OENONE Que faites−vous, Madame ? et quel mortel ennui Contre tout votre sang vous anime aujourd'hui ? PHEDRE Puisque Vénus le veut, de ce sang déplorable Je péris la dernière et la

le vice le plus profond. Pourtant son amour est impossible parce que, d’un côté, sa relation avec Manon est basée, dès le début, sur des mensonges ; elle le présente à son conducteur, lors de leur première rencontre, comme son cousin, et de d’autre côté parce qu’il y a une grande différence de rang social entre les deux amants, comme l’on peut remarquer de part de leur noms. Or, Des Grieux en est conscient, il se rend parfaitement compte des péris que son amour lui a fait courir, il sait qu’il se laisse

aussi de lui donner de la vertu et de la rendre aimable. Mme de Chartres la ramène à la Cour pour y trouver quelqu’un qui soit digne de l’épouser. C’est ici que M. de Clèves tombe éperdument amoureux de Mlle de Chartres. Comme il lui déclare son amour et son désir de l’épouser, le mariage se conclut. Peu après, le duc de Nemours arrive à la Cour. C’est le coup-de-foudre entre M. de Nemours et Mme de Clèves dès leur premier rencontre. 46 Lafayette, Madame de. op. cit. p. 8 Lafayette, Madame

princesses, reines... mi réels-mi fictifs.. beaux et pourvus de toutes les qualités. intrigue simple autour de la passion amoureuse et dont l'intérêt réside dans les analyses psychologiques qu'on avait l'habitude d'entendre au théâtre. (monologues, dialogues). L'oeuvre reflète une transposition de l'écriture dramatique, et joue en cela sur le visuel dans le récit. Conclusion : La Princesse de Clèves ouvre à la longue postérité du roman d'analyse psychologique, poursuivi par Laclos, Constant

mais à l'« aventure » que constitue l'écriture elle-même. Le voyageur de la Modification (1957) de Butor n'est pas un héros décrit à la troisième personne, mais un personnage auquel on s'adresse directement. De même, la narration impersonnelle de la Jalousie (1957) permet à Robbe-Grillet d'évoquer la présence d'objets, rendus à leur nature énigmatique sans qu'aucun regard humain vienne leur conférer un statut particulier. Dans le Planétarium, (1959) de Nathalie Sarraute, des scènes identiques sont présentées

Mais il ne peut l’alléger en se confiant à une personne vivante. Donc il utilise les statues pour se libérer un peu, sans devoir se confier à une personne vivante qui le jugerai et qui pourrait le punir. « car il ne sait à qui il puisse confier son amour » (l.29). Ceci rappelle la légende du roi Midas. Comme Tristan se confit aux statues, l’esclave qui connait le secret du roi se confit à un trou qu‘il a creusé dans la terre, car il ne peut répéter le secret à une personne vivante. Le mot en ancien