Amour libre

« Il se trouvait à plaindre de vivre dans ce village [...] car il sentait entre elle et lui comme de vagues abîmes. »[11] Léon est amoureux d’Emma mais ne sait que faire, il hésite. Comme le prouve ce passage dans lequel il est déchiré entre son amour “impossible” pour Emma et sa timidité : « Léon ne savait pas comment s’y prendre [...] impossible. »[12] Léon perçoit Emma avec les yeux de l’amour, tout est beau chez elle mais il reste, malgré tout, gêné à chaque rapprochement “physique” : « Debout

personnages mais aussi leurs pouvoirs: Le vrai amour entre Junie et Britannicus(II, 6), déjà si amoureux l'un de l'autre. En effet,bien que le mariage entre Britannicus et Junie soit un arrangement, un amour sincère les anime. Mais Néron aime aussi Junie par jalousie envers Britannicus: c'est le faux amour envers Junie et la rivalité avec Britannicus. Le faux amour entre Junie et Néron(II, 3), qui est un amour de jalousie de la part de Néron envers l'amour que porte Junie

entretient des relations complexes avec le langage. Phèdre ou le poème des passionsLa passion amoureuse est une fureur aliénante, elle prive un être du libre exercice de sa volonté par les tourments qu’elle fait naitre. Phèdre cautionne une passion interdite pour Hyppolyte .Elle subit la fatalité et est impuissante .L’amour de Phèdre pour Hyppolyte est un amour défendu, Phèdre a essayé de lui faire céder la place à une passion complémentaire : la haine. Elle nomme des responsables « à peine du fils d’Egée

Grieux et Manon s'installent à la Nouvelle-Orléans comme couple légitime. Le gouverneur fait preuve à leur égard de bienveillance, et, encouragés dans la vertu par la simplicité de leur vie, ils projettent de se marier. Mais, apprenant que Manon est libre, le neveu du gouverneur, Synnelet,  la demande en mariage à son oncle qui la lui accorde. Les deux rivaux s'affrontent : Des Grieux, blessé, laisse Synnelet pour mort. Il fuit, épuisé Manon meurt dans le désert. Des Grieux mène une vie lamentable

posée. Son aveu est complet. Elle avoue d'une part son crime, elle a tué les eunuques qui ont assassinés son amant "Je viens d'envoyer devant moi ces gardiens sacrilèges qui ont répandu le plus beau sang du monde" l 5-6. D'autre part, elle avoue son amour inconditionnelle pour ce dernier "le seul homme qui me retenait à la vie" l4 et également à travers, la periphrase "le plus beau sang du monde" l6 qui utilise superlatif et métonymie. Roxanne révèle de façon cynique qu'elle a trompé Usbek "Oui, je

vivante et adorée. En atteste l’image largement développée dans «Plus belle que les larmes», où l’admiration pour la patrie s’exprime par l’exaltation du corps féminin. L’amour occupe donc lui aussi une double fonction: il est à la fois amour humain et amour de la patrie – patrie dont même le drapeau est défini à travers des images féminines. Voici résumée la démarche d’un poète-écrivain engagé qui joue un rôle primordial dans la poésie de résistance, en s’exprimant au travers d’une «modalité

uniquement un statut c'est la soumission a ces desirs etre libre c'est se liberer de ces desirs . on a des besoins suplémentaire il y a un rafinement des besoins. hegel -> on crée des besoin culturels. il y aune conception culturel du bonheur . le désir amoureux -idéalisation de l'etre aimé -soumission au désir en manque de l'autre -> liberté -> passion amoureuse - on n'arrive plus a juger , a utiliser notre raison - désir / amour pascal le coeur a ses raisons que la raison ne connait pas

même et pour l’objet de son amour. L’amour en tant que sentiment ambivalent peut alors soit conduire au respect soit au contraire à la violence . Ainsi, il est plus facile d’aimer quelque chose de concret, et d’immuable car s’il change, l’objet de notre amour peut modifier notre plaisir et donc modifier notre comportement. Alors faut-il aimer pour respecter ? Dans quelle mesure peut on respecter quelqu’un si on ne l’aime pas ? Entre un amour bienveillant et un amour destructeur, existe t-il

paroles rapportées. De quelle manière l'exploration romanesque choisit ces jeux sur les instances narratives pour renouveler, expérimenter la forme romanesque. Belle du Seigneur – Cohen I- discours accès sur les sentiments du personnages II – amour partagé paradoxe entre spontanéité et sentiments artificiels. I - étape dans le processus de la passion amoureuse. Passion poussée à son comble. Discours élogieux. Ton emphatique. « ô », porté sur les attentes. Répétition du mot merveille :

lendemain. Ils se contemplent l’un l’autre et se complimente chacun sur la beauté de l'autre, communient dans un délire du cœur et des sens. Marie, non plus, n'avait pas jusqu'à ce moment connu l'amour. Elle l'avait cherché désespérément, donnant libre cours à une sexualité ou elle n'avait jamais trouvé ce qu’elle cherchait. Elle a été «grande dame », elle a connu le «luxe », des hommes se sont tués pour elle. Rien ne l'a satisfaite. Ce qu'elle cherchait, c'était un être «plus grand, plus noble,