Amour libre

entre Mme de Clèves, mariée sans amour au Prince de Clèves, éperdument amoureux d'elle et le Duc de Nemours, un magnifique jeune noble promis à un bel avenir. Tout au long du roman, l’auteur décrit avec finesse les étapes du sentiment amoureux chez les trois personnages, ses effets sur leur comportement et la lutte de la princesse pour ne pas trahir les préceptes maternels et la promesse faite à sa mère sur son lit de mort de ne jamais succomber à ce coupable amour. Le renoncement au duc : - L’extrait

questions que nous tenterons de répondre, en envisageant tout d'abord dans quelle mesure on est plus "soi-même" lorsqu'on aime. Nous analyserons ensuite comment l'amour peut être une entrave à l'authenticité de notre identité, et faire obstacle au libre arbitre. Nous verrons enfin qu'être soi-même c'est toujours devenir soi-même, et que dans ce mouvement, l'amour est nécessaire. Être soi-même, c'est avoir une identité propre. L'expression même montre une redondance de deux termes : soi et même

classiques + Oppositions baroques - "Don Juan" de Tirso de Molina (16eS) Classicisme 1685: Révolution de l'Edit de Nantes Classicisme Dom Juan, Molière : Libertin: - Libre penseur : Remet en cause les dogmes établies - Libre de mœurs : Plaisirs charnels sans souci moral Don Juan = les deux Ordre classique ou Désordre baroque ? Don Juan: - Libre d'esprit -

d’une hyperbole que la fidélité lui fait ressentir l’effet d’être emprisonné: « d’être mort dès sa jeunesse à toutes les beautés qui nous peuvent frapper les yeux ». Selon lui, avoir un seul amour signifie l’emprisonnement puisqu’il n’est plus libre de conquérir d’autres femmes. Il exagère le fait qu’un seul amour t’emprisonne et rend votre vie ennuyante et misérable jusqu’au point de la mort. Ensuite, Don Juan compare non seulement la fidélité à la mort, mais il l’a décrit étant absurde. Il s'appuie

déchire: elle est amoureuse d'Hippolyte, son beau-fils, qui la rejette. Mais cet amour résulte de la fatalité, car si elle meurt de cet amour c'est parce que les Dieux ont voulu ainsi. Son destin était déjà écrit et à présent elle subit le poids de la fatalité. 2. Situation Phèdre, amoureuse d'Hippolyte, avoue cet amour à Oenone. Hippolyte de son côté avoue son amour pour Aricie. Puis Phèdre déclare son amour à Hippolyte mais celui-ci la rejette. Thésée que l'on croyait mort revient, et Hippolyte

également l'affection l'amour, à travers ce double sens on peut penser que Mm Bovary matérialise son amour par des objets. Ne pouvant faire les dépenses voulu Emma commande tout sans y réfléchir à une ouvrière de village. L'hyperbole « renonça au trousseau dans un accès d'amertume » amplifie l'idée que l'héroïne du récit est excentrique et capricieuse. A la fin du paragraphe le récit est au discourt indirect libre, on a donc accès aux pensées d'Emma. Celle ci ne possède absolument pas l'amour maternel qui

« qualités empruntées » et que le véritable amour n’existe donc pas… 2. La cristallisation. Cf. Cours 3. On en vient à se demander si un véritable amour existe. Ne serait-ce pas toujours profondément égoiste ? Aimer l’autre, c’est toujours aimer l’amour qu’il nous porte. L’amour de l’autre nous valorise, nous rend plus beau que nous sommes, nous rassure. Puisque cet amour que nous aimons vient de l’autre, on pourrait se demander si le véritable amour n’est pas celui que cet autre éprouve ? Mais

AIMER EN VERITE Conférence du Père François POTEZ – 11 février 2005 Cathédrale Saint Louis de Versailles Mes petits enfants, dit Saint Jean, voyez quel grand amour nous a été donné pour que nous soyons appelés enfants de Dieu, et nous le sommes ! Non pas, nous le serons, mais nous le sommes déjà ! J’essaye de penser tous les jours, et quand on accompagne des mourant, ça nous y aide, j’essaye de penser tous les jours, en tout cas, tous les soirs, au moment où à la charnière de ma vie, je

L’Homme et la Mer Charles Baudelaire Texte : Homme libre, toujours tu chériras la mer! La mer est ton miroir, tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais a plonger au sein de ton image; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets; Homme, nul n'a sondé le fond de

contemporaine. Ses écrivains nous présentent tous deux une image négative de l’amour dans chacune de leurs œuvres. L’amour est présenté par une infidélité de certains personnages, par des obstacles pour le couple, ainsi que par l’impossibilité d’un amour éternel. Premièrement, les auteurs traitent dans chacune de leurs œuvres de l’infidélité de certains personnages présentant ainsi une image négative de l’amour. Tout d’abord, dans Huis Clos , l’auteur met en évidence le fait qu’Estelle fait preuve