Amour platonique

premier livre des amours en 1552 Ronsard célèbre Cassandre Salviati fille d’un banquier italien lors d’une fête donné a la cour de Blois il a 20ans elle en a 13, deux jours après elle quitte Blois et Ronsard n’arrêtera jamais de proclamé son amour platonique pour celle qui ne reverra pas mais vont les traits se confondants avec ceux d’autres jeunes filles désignées par le prénom générique de Cassandre. Dans le deuxième livre des Amours c’est Marie Dupin qui est au centre en 1555 Ronsard tombe amoureux

Madame de Mortsauf vivait dans un domaine de la vallée de l’Indre, avec son mari, vieil aristocrate, ancien émigré aigri et presque dément, et ses deux enfants à la santé fragile. Elle agréa son amour, mais s’interdit d’y céder par scrupules sociaux et religieux, et s’employa à l’épurer en une passion platonique et presque mystique, prétendant, elle qui était de sept ans son aînée, l’aimer comme un fils. Il devint son confident et lui apporta le réconfort dont elle avait tant besoin. Doté des sages conseils

étalon. « Encore des mots, toujours des mots les mêmes mots et rien que des mots... » -à part- « ma beauté les fait tous chavirer jusqu'au cieux, les hommes sont tous semblable, hahaha je m'en réjouis. J'hume l'exaltation à pleins nez ! Son amour pour moi est un roc, un pic, un cap. Que dis-je un cap ? C'est une péninsule. » « Que dites-vous ? Ai-je entendu le mot « cieux » ? Je n'oserai m'approcher de vous, de m'avancer pour de vrai, je guetterai vos pas jusqu'au dernier. Je ne vous

le frère de Golaud. L'interdit dans cette pièce est l'adultère entre les deux amants, tous deux liés à Golaud que ce soit par les liens du sang ou du mariage. Le fait qu'ils soient amoureux donne une limite à leur amour, ils ne peuvent donc pas le vivre pleinement. Lorsque leur amour est dévoilé, c'est-à-dire, au moment où l'interdit est transgressé, le couple tombe dans le déclin. D'ailleurs, dans Mélusine de Jean d'Arras, lorsque le mari transgresse l'interdit, la femme disparaît. Par exemple

(vers1189 à 1234) provient d'un registre lyrique: en effet, nous constatons une forte présence du « je ». Il parle de la conception du mariage qu'ont Armande et Clitandre. Avant, Clitandre était amoureuxd'Armande mais Armande rêvait d'un amour courtois et platonique alors il l'a laissée pour Henriette, la sœur d'Armande. Armande en est très jalouse et essaie de dissuader Henriette de se marier et plustard, elle explique à Clitandre avec les mêmes arguments pourquoi elle n'est pas favorable au mariage

avec l’état d’âme du poète.   Conclusion : Suggestion par des émotions visuelles ou auditives plutôt que par un récit ou une description du souvenir d’une idylle entre le poète et une jeune fille. Confession de la douceur du souvenir d’un premier amour. Deux souvenirs imprégnés d’une nostalgie qui s’exprime dans la musicalité et l’écart par rapport aux règles classiques su sonnet. La subtile atmosphère poétique que dégage la fusion d’une évocation picturale et de quelques éléments affectifs et musicaux

|[pic]Arum : Représente l'Âme | |Phrase Type : Puisez au fond de vous même les sentiments existants. | | | |[pic]Aster : Amour confiant | |Phrase Type : L'amour que je ressens pour vous est plus important que celui | |que vous vous portez | |

fréquentés à la fois par des hommes et par des femmes. Sur celles-ci, peu ont été mariées par amour. C'est pourquoi elles ont de l'amour des conceptions très idéalistes, dans lesquelles on retrouve : 1. le besoin de faire autrement que le commun des mortels, 2. le goût exclusif des choses de l'esprit. Elles veulent s'élever de l'amour grossier, charnel, vers un amour parfait (c'est-à-dire platonique et sans mariage), qui demande du temps pour s'affirmer... Elles forgent, à partir de ces conceptions

1930, Pauline de Meulien rencontre au cours d’une chasse Horace de Beuzeval, revenu des Indes avec une réputation très négative. Ils se marient, Pauline se pose des questions sur les habitudes de son mari et de ses deux compères. Elle doute de son amour, mais n’a pas de haine non plus envers lui. Le temps passe, Horace s’absente de plus en plus pour aller chasser avec ses amis en Normandie. Elle s’inquiète à cause des bandits dans la région. Un jour elle part le rejoindre, mais il n’apprécie pas

adj feminin ou masculin. - Thème amour et presence du « je » mais l’amant est absent de ce sonnnet est centre sur la relation du sujet a sa passion pas a son amant. ce n’est pas un poeme dont l’objet est la relation amoureuse mais plutot un regard lucide du « je » sur lui meme. - Rime embrassees dans les deux quatrins comme un etau = pas d’ouverture. - Vocabulaire concre pas d’idealisation ni d’intellectualisation. - Texte audacieux non platonique : amour sans « chaud » contacte. connotation