Amour Sacré Amour Profane

LE FEU Lorsqu’un profane demande l’entrée du Temple et que son admission ne rencontre pas d’opposition, il est appelé dans un premier temps à subir toutes les épreuves du Rite. Celle du Cabinet de Réflexion, le fait entrer de plain pied dans un monde étrange, véritable bain d’allégories alchimiques. Puis vient l’heure des épreuves, ponctuant une à une, les trois voyages initiatiques de l’impétrant, qui comme le précise l’instruction, sont destinés à montrer la route qui conduit à la Vérité

celle-ci n’est, en fait, qu’évanouie. Cette méprise le poussera à s’enlever la vie. Écriture et littérature / Professeure : Marie Téolis 1 EXTRAIT 1 : LE BAISER – ACTE I, SCÈNE 5 ROMÉO, prenant la main de Juliette. – Si j’ai profané mon indigne mains cette châsse sacrée, je suis prêt à une douce pénitence : permettez à mes lèvres, comme à deux pèlerins rougissants, d’effacer ce grossier attouchement par un tendre baiser. JULIETTE – Bon pèlerin, vous êtes trop sévère pour votre main qui n’a fait

ABNER Oui, je viens dans son temple adorer l’Eternel ; Je viens, selon l’usage antique et solennel, Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée. Que les temps sont changés ! Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques, Le peuple saint en foule inondait les portiques ; Et tous, devant l’autel avec ordre introduits, De leurs champs dans leurs mains portant les nouveaux fruits, Au Dieu de l’univers

sont acquises. Fin de sa vie: Des suites d'une chute il décède le 22 Mars 1687. œuvres: Titre Date de création Catégories Style de musique Première marche des mousquetaires 1658 Musique profane ou instrumental Lyrique La pastorale comique 1667 Musique religieuses Lyrique Amour malade 1657 Musique vocale Lyrique http://www.musicologie.org/Biographies/vivaldi_antonio.html Nom de l'artiste: Marc-Antoine Charpentier Nationalité: Français

finale, étrange amalgame entre le profane et le sacré, un sacré énoncé dans le langage familier de Gervaise.Conclusion La forge, un ouvrier, la fabrication d'un boulon , tout cela est trés prosaïque mais les évocations littéraires , mythologiques et religieuses transforment cette scène et lui donne une dimension épique.L'amour qui idéalise mais aussi la volonté du narrateur de présenter un être entièrement positif,l'opposé de Lantier l'incarnation du Mal et l'autre amour de Gervaise . 

‘’Hymne’’). Se mêlent, dans ce qu’on peut imaginer comme le demi-jour d’une cathédrale, les parfums des fleurs et l’odeur de l’encens répandue par le balancement solennel de l’encensoir. Mais cet objet sacré est mis en correspondance avec toute une série de choses et d’idées appartenant au monde profane et naturel : «fleur», «sons», «parfums», «valse». Le mot «encensoir», étant à la rime, répond pour ainsi dire au mot «soir» du titre. Il est le premier de ces mots du poème se trouvant à la rime, comptant

comme d'un idéal. Pour Des Grieux, la passion amoureuse est un sentiment absolu, qui suppose un dévouement total. Cependant, à la différence des classiques, Des Grieux ne conclut pas que l'idéal signifie l'inaccessibilité et l'impossibilité ; son amour idéal, il veut le vivre. Tout comme les personnages des Illustres Françaises, le chevalier cherche à conquérir son bonheur sur terre. La vertu ne représente donc plus un frein pour l'élan amoureux ; ce n'est plus une limite infranchissable qui conduit

conquête. - hyperbole : Perversité C - Valmont blasphème. - Oxymore : l.22, se moque des préjugés religieux - répétition du verble " adoré" : Critique religion - métaphore : l.36, Valmont joue sur 2 sens de adoré + blasphème III - Les indices d'un amour véritable. A - Eloge morale de Mme de Tourvel. - Champs lexical de la sincérité : éloge - comparaison : l.8, Mme de Tourvel opposé aux autres femmes. - répétition de "toujours" : l.9-17, montre la capacité d'aimé de Mme de Tourvel. B - Plaidoirie

qui s’y engagent. Mais étroites et resserrées sont la porte et la voie qui mènent à la vie et à la lumière et rares sont ceux qui veulent la franchir ». Cela souligne la difficulté que rencontre l’homme, le futur initié, à passer du monde profane au monde sacré, des ténèbres à la lumière, du secret au révélé, du dénuement à l’abondance. Alors quelle ne fut pas ma peur, lorsque je me décidais d’approcher la porte du temple. Quand bien même, je contactais l’obédience pour une première rencontre, je

obstacle enlevé, la jeune femme se dessina dans la chaste nudité de ses belles formes » (p.88, le Roman de la momie). La momie nous ouvre les portes de la mort dans l’éternité. Cette jeune égyptienne retrouvée des siècles après sa mort, nous délivre son amour secret pour un hébreux à l’époque où le peuple opprimé par le Pharaon se soulève. Gautier nous invite à remonter le temps en mêlant histoire romanesque et romantique et épisodes de l’Ancien Testament. Notre passage se situe dans le prologue