Amphitryon Dénouement

les servantes, le vieillard, le pédant, le matamore, etc. Or, à la même époque, la tragédie, au contraire, repose sur un jeu complexe de sentiments humains, plus ou moins subtilement analysés, dont le heurt crée la crise dramatique et amène le dénouement : amour, haine, jalousie, amour maternel, sentiment de l’honneur, passion de la gloire, désir de vengeance, patriotisme, volonté de puissance. Dans son cadre historique ou légendaire, la tragédie est à base de psychologie et repose sur l’étude

s’étaler sur tout un acte, sa nous donne aussi des indications sur le registre de la pièce. 2. Le nœud de l’action : C’est la partie centrale de la pièce avec des rebondissements, des obstacles que les personnages doivent surmonter. 3. Le dénouement : C’est la fin de la pièce, l’intrigue est résolue et le sort de tous les personnages est fixé. Exemple de respect de cette structure : Andromaque de Racine C) Le théâtre classique * Les genres théâtraux au XVIIème siècle Au XVIIème

destinée ; mais aussi «état, condition où l’on est». Scène 3 : - « Cléanthis » : Ce nom grec, qui signifie «fleur glorieuse», avait déjà été employé par Molière pour la servante effrontée d’’’ Amphitryon ’’. - « Euphrosine » : Ce nom grec, qui signifie «pleine de joie», était celui d’une des trois Grâces. - « J’irai le grand chemin » : J’irai

» : Peut-on avoir de la santé? - «fortune» : Sort, destinée ; mais aussi «état, condition où l’on est». Scène 3 : - «Cléanthis» : Ce nom grec, qui signifie «fleur glorieuse», avait déjà été employé par Molière pour la servante effrontée d’’’Amphitryon’’. - «Euphrosine» : Ce nom grec, qui signifie «pleine de joie», était celui d’une des trois Grâces. - «J’irai le grand chemin» : J’irai sans détour. - «Vaine» : Vaniteuse. - «vous sentez» : Vous éprouvez des sentiments. - «sur les armes» :

déposer dans sa chambre pour rassurer ses parents. avant de revenir pour suivre le ravisseur. Mais. dans l'intervalle, Phylis, inquiète de son amie, sort aussi sur la place et c'est elle que Cléandre, impatient et trompé par l'obscurité, enlève ! Au dénouement, ils acceptent tous deux de profiter de la rencontre et s'épousent. Cependant, la pauvre Angélique découvre que la promesse de mariage était signée de Cléandre et qu'elle a été jouée par Alidor, qui l'aime encore et voudrait le lui dire ; elle le

déposer dans sa chambre pour rassurer ses parents. avant de revenir pour suivre le ravisseur. Mais. dans l'intervalle, Phylis, inquiète de son amie, sort aussi sur la place et c'est elle que Cléandre, impatient et trompé par l'obscurité, enlève ! Au dénouement, ils acceptent tous deux de profiter de la rencontre et s'épousent. Cependant, la pauvre Angélique découvre que la promesse de mariage était signée de Cléandre et qu'elle a été jouée par Alidor, qui l'aime encore et voudrait le lui dire ; elle le

très aimé du public. Vingt pièces sur cent trente cinq nous sont parvenues. Parmi elles : Amphitryon (-214) : Sans imiter personne, semble-t-il, Plaute a créé là un grand thème théâtral repris sans cesse jusqu’à l’Amphitryon 38 de Giraudoux qui en a décompté 37 avant le sien ! D’où le titre de sa pièce. Le sujet est mythologique. Alcmène, femme très fidèle au général thébain Amphitryon, est remarquée par Jupiter qui, prenant l’apparence de son mari, passe une nuit avec elle en faisant

craint pas de mettre « les accidents même sur scène ». Le Cid de Corneille est d’abord qualifié de tragi-comédie. - La Pastorale est une idylle entre bergers et bergères, dans un cadre champêtre. Leurs amours sont longtemps contrariées, mais le dénouement est heureux. C’est en Italie que les auteurs français cherchent des modèles tels que l’Aminta du Tasse ou le Pastor Fido de Guarini ; ou encore en Espagne, avec le roman pastoral de Montemayor, La Diana. L’atmosphère devient féerique, avec l’apparition

..................................................  38   PAUL  CLAUDEL,  LE  SOULIER  DE  SATIN  (1924)  .........................................................................................  39   JEAN  GIRAUDOUX,  AMPHITRYON  38  (1929)  .............................................................................................  41   JEAN  GIRAUDOUX,  ELECTRE  (1937)  ..............................................................................

parvient néanmoins à écrire deux pièces, le Médecin malgré lui et le Misanthrope. Il tente de relancer Tartuffe sous un autre nom mais la pièce est de nouveau interdite. Il faut attendre 1669 pour qu’elle soit jouée et acclamée par le public. Après Amphitryon et l’Avare. Molière signe sa dernière pièce, Le Malade imaginaire. Au cours de sa quatrième représentation, il tombe sur scène et meurt quelques heures plus tard le 17 février 1673. N’ayant pas abjuré sa profession de comédien (jugée immorale par