Amphitryon Plaute

s'assigne la comédie, qui prétend « châtier les mœurs en riant ». La comédie se veut en effet une stigmatisation des vices et des ridicules des hommes. Elle naît en Grèce avec Aristophane (env. 445-380 av. J.-C.), puis gagne les terres latines avec Plaute (env. 254-184 av. J.-C.) et Térence (e […]

reprenant quelques de ses caractéristiques. Ses acteurs ont des comportements et des gestes à peu-près du même style que ceux des comédiens de l'époque. Dans sa comédie l'Avare, on voit tout de suite beaucoup de ressemblances avec la comédie la Marmite de Plaute, écrivain de l'Antiquité qui a notamment influencé Shakespeare et d'autres grands écrivains de littérature. Molière doit aussi aux talentueux italiens les personnes types de ses comédies d'intrigues qu'il réutilise dans pratiquement toutes ses pièces

est un loup pour l'Homme » autrement dit : « l'Homme est le pire ennemi de son semblable, ou de sa propre espèce. » Homo est un mot de la troisième déclinaison et le cas de « homini » est le datif. La première occurrence de cette locution est chez Plaute dans sa comédie Asinaria (La Comédie des Ânes,vers 195 av. JC : « Quand on ne le connaît pas, l'homme est un loup pour l'homme »). Elle fut reprise, parfois modifiée, par Érasme dans Adagiorum Collectanea, par Rabelais dans le Tiers livre (chapitre

médieSujet : Pensez-vous qu'une comédie ne sert qu'à faire rire? Depuis ses débuts, la comédie est une pièce de théâtre qui a pour rôle de divertir ou encore de susciter le rire. Pour cela les auteurs utilisent des quiproquos ou encore l'amour (valet qui aime une reine par exemple). Ils n'hésitent pas non plus à utiliser les différents comiques (geste, situation…) et à insister sur l'importance des acteurs qui pensent faire rire en jouant bien. Mais à quoi sert la comédie au-delà de provoquer

Scaenici (jeux scéniques) et lui demandent de traduire en latin des pièces de théâtre grecques, faisant ainsi naître officiellement le théâtre romain. Pour cela, il traduit en latin des pièces du théâtre grec. Ensuite seulement, différents auteurs comme Plaute, Térence et Sénèque écriront des pièces originales mais fortement inspirées des mythes et des pièces grecques. II - Le lieu Au début, les nobles romains ne veulent pas d'un théâtre dans Rome car ils pensent que le peuple utilisera les édifices pour

La comédie puise ses origines en Grèce au Vème siècle av. JC. Elle a toujours suscité le rire de la part d’un public avenant de grands auteurs de Plaute à Molière en passant par Marivaux. La comédie est aussi très critiquée comme le philosophe Aristote qui l’explique comme "l'imitation des hommes de qualité morale inférieure, non en toute espèce de vice, mais dans le domaine du risible, lequel est une partie du laid". Mais la comédie n’a-t-elle pas une autre visée que le rire ? On peut dans un première

was particularly fertile material in the hands of the Roman playwrights Plautus and Terence. La nouvelle comédie de-siècle, des poètes comme quatrième Ménandre et Diphilus a été particulièrement fertile en matière entre les mains des auteurs romains Plaute et Térence. The Romans, with their love of spectacle, soon took over the existing theatres in Greece and began renovating and rebuilding them for their own spectacles, which included everything from pantomime (closer to ballet than to the children's

Biographie de Térence Né à Carthage, en 190 avant JC, et mort en Grèce en 159 avant JC, Térence fut un esclave affranchi. Il prit le nom de Publicus Terentius Afer. Il vécut et fut formé dans un milieu d‘aristocrates lettrés, notamment la famille des nobles Scipion. Il écrivit six pièces de théâtre entre les années 166 et 160 av JC : L’Adrienne, L’Eunuque, L’Hécyre, Heautontimoroumenos (ce qui signifie : Le bourreau de soi-même) qui comprends cette fameuse phrase qui est considérée comme l’une

moyenne », qui dure jusque vers 330, cherche ses thèmes dans la mythologie et dans l’observation des mœurs en attendant que Ménandre (vers 342-292 av. J.C.), principal auteur de la « comédie nouvelle », connu surtout par les imitations qu’en feront Plaute et Térence, oriente cet art vers la peinture de l’amour contrarié, des caractères et des conditions, en évitant toutes les outrances du langage ; l’intrigue s’émonde et la psychologie s’affine. On voit ainsi le chemin parcouru : du comique au plaisant

du « Malade Imaginaire ». Il appartient à la génération d’écrivains et d’artistes contemporains du règne de Louis XIV, qu’on a désigné « après coup » comme classiciste. Molière s’inspirera des œuvres antiques (comme par exemple « La Marmite » de Plaute), et respectera dans ses « grandes comédies » la règle de la vraisemblance, la règle des bienséances, et la règle des trois unités. Une autre source d’inspiration pour Molière sont les farces médiévales. Cette tradition populaire du théâtre de la