Amplitude

basse Entre les deux : medium, divisés en bas et haut medium Amplitude du son : niveau sonore, mesurés en décibel. L’air qui sort de la bouche perturbe la pression atmosphérique, et crée le son. Le son bouge les molécules dans l’air, l’air vibre, créant une pression sonore, ou pression acoustique. C’est la propagation des ondes. Le tympan est un capteur de pression. En fonction de la vibration du temps (vitesse et amplitude), le cerveau analyse les informations et crée la perception du son

On a donc C = λ / T. Pour une même période, plus la longueur d'onde sera grande, plus la vague sera rapide. Aussi, pour une même longueur d'onde, plus la période T sera courte, plus la vitesse sera grande. On l'exprime en mètres par seconde. ➢ Amplitude: l'amplitude d'une vague est notée A. Elle correspond à la hauteur verticale entre le sommet de la vague et le niveau de la mer au repos. L'amplitude varie donc en fonction de la profondeur du fond et du fetch. En eau peu profonde (lorsque la vague

Récepteur (PR). Ce PR correspond à une dépolarisation, d'amplitude correspondante au stimulus appliqué (codage en amplitude). Ce PR est ensuite traduit (par cette même cellule sensorielle, ou par une autre cellule nerveuse, en fonction des cas) en une salve de Potentiels d'Actions (PA). Le nombre de PA émis est directement relié à l'amplitude du PR : on passe d'un codage en amplitude (au niveau du PR) à un codage en fréquence, au niveau du train de Potentiels d'Actions. Par ce mécanisme, un seul

    a  a  a   1  2  3 2 2 2 a1 (100) cristal cubique d hkl  a 2 2 h k l 2 Amplitude diffusée du cristal F (Q)  r0  f j (Q)e cr j  iQr j eiQR n  n somme sur les atomes de la maille conventionnelle F (Q)   f j (Q)e s j    iQr j n somme sur les mailles Facteur de structure / de forme Amplitude diffusée F cr (Q)  r0 F s (Q) e iQR n Comportements des facteurs de phase : Q·Rn F cr (Q)   r0 F s (Q)

400 MHz 0,1 W 0,01 V-m-1a 1m Téléphone portable 900 - 1 800 - 2 100 MHz 2W 30 V-m-1 a 30 em lors d'un appel Téléphone sans fil 1 980 MHz 10 mW 2V-m-!a30cm Amplitude Fréquence ” : wins e ae seconde du champ Bassani. D P électrique [\ - _ Vitesse de propagation a {— / delalumiére c Amplitude is YW Direction du champ de propagation magnétique Longueur d’onde Ce sont des vibrations d’un champ électrique et d’un champ magné- tique perpendiculaires entre eux, et

Rapport Signal/Bruit ou RSB (SNR en Anglais) Pour x(t)=s(t)+n(t) Ws SNR = Wn SNR dB = 10 log 10 SNR 12 Rapport signal/bruit On peut aussi faire une approximation du RSB en estimant un rapport entre l ’amplitude du signal et l ’amplitude du bruit SNR dB = 20 log 10 Amplitude Amplitude s n 13 Rapport signal/bruit Si E(signal)=E(bruit) Si E(signal)=2E(bruit) Si E(signal)=10E(bruit) Si E(signal)=100E(bruit) Si E(signal)=1000E(bruit) N SNR=0dB SNR=3dB SNR=10dB SNR=20dB SNR=30dB

l’oscillateur simple . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Oscillations libres des systèmes amortis à un degré de liberté 2.2.1 Equation de Lagrange pour les systèmes dissipatifs . 2.2.2 Cas particulier des oscillations de faible amplitude . . 2.2.3 Résolution de l’équation différentielle . . . . . . . . . 2.2.4 Exemples . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Oscillations forcées des systèmes à un degré 3.1 Equation différentielle . . . . . . . . . . . . 3.2 Système masse-ressort-amortisseur

X X X X Angle Moyennes 0.30 X largeur des épaules ou + Grosses 0.50 X Très grosses 1.00 ou + Bras fléchis ou jambes fléchies Jambes ou genoux écartés Jambes croisées dans les éléments avec vrille Hauteur insuffisante des éléments (amplitude) Manque de précision : dans les positions groupées, carpées X Angle bassin >90°135° Ch.fois bassin 90° Ch.fois Ch.fois Ch.fois Ch.fois Ch.fois Ch.fois Ch.fois X dans la position tendue Manque de maintien de la position corps tendu (barres

force, endurance de vitesse (++). Vitesse gestuelle (fréquence du bas et du haut du corps, par du pied jusqu’au plan de frappe pour être efficace dans les déplacements et dans les frappes) : composantes : coordination musculaire (++), souplesse-amplitude, force explosive de l’épaule+vitesse de bras. Coordination : composantes : habiletés de la main, dissociation-association haut-bras, relâchement. Fiabilité-robustesse (posture, qualité de gainage) : composantes : force du tronc, équilibre musculaire

d’Einstein jou`rent un rˆle crucial dans l’invention (par Heisenberg) e e e o des “relations d’incertitude”, (2) le rˆle important de l’id´e propos´e par Einstein d’un “champ o e e fantˆme” ou “champ pilote” pour l’interpr´tation (par Born) de l’“amplitude de probabilit´”, (3) la o e e collaboration avec Boris Podolsky et Nathan Rosen, (4) les discussions entre Einstein et Schr¨dino ger qui men`rent au fameux “chat de Schr¨dinger”, (5) l’influence qu’Einstein eut sur Everett, e o lequel fut sans doute