Analepse

apprend le lien qu’entretenaient Figaro et Almaviva. D’ailleurs, par « je suis heureux », Figaro nous apprend qu’ils entretenaient une relation presque amicale, pour le moins agréable et qu’il a de la sympathie pour lui. Le personnage débute une analepse par « Voyant à Madrid », nous apprenant qu’il vivait à Madrid. La ville est ici pour le spectateur un espace virtuel puisqu’il n’est qu’évoqué par un des personnages, en opposition avec l’espace scénique dans lequel ils évoluent. On en apprend aussi

sifflent sur vos têtes ? » (Racine, Andromaque) | Une amplification ou gradation | Ascendante ou descendante dans une accumulation | « C'en est fait ; je n'en puis plus ; je me meurs ; je suis mort ; je suis enterré. » (L'Avare, Molière) | Une analepse | Dans un récit, c’est un retour sur des événements antérieurs au moment de la narration. | | Une anaphore | Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers | « Rome, l’unique objet de mon ressentiment ! / Rome

outils différents pour analyser le texte : Roman : narrateur et focalisation, alternance entre description et narration, fonctions de la description, types de discours (direct ou indirect), marqueurs temporels et traitement du temps (par exemple analepses et prolepses) etc. Poème : types et agencement des vers, jeux rythmiques et sonores, images etc. Théâtre : longueur et nombre des répliques, didascalies, jeux de scène, nombre et identité des personnages etc. Texte argumentatif : thèse, arguments

des effets différents sur le lecteur 1. Narration hétérodiégétique passant par le narrateur Cas de figure où le narrateur maitrise le savoir et en particulier il en sait plus que les personnages, sur le temps (permet des retour en arrière ou analepse et des prolepses, anticipations qui sont données comme certaines) → focalisation omnisciente (omni : tout + cio : science), le narrateur fonctionne un peu comme un dieu qui saurait absolument tout. Ex : Giono, Le hussard sur le toit En réalité

directe : le lecteur se sent concerné (emploi du « je ») • Références sensorielles : ouïe (Armstrong), odorat (fumée du crématoire), vue (regards) • Répétitions, insistance, développement de ses idées • Figures de style : métaphores, paraphrases, analepses, ellipses • Citations de beaucoup d'écrivains et de poètes : Aragon, Primo Levi, Malraux, Vallejo, … 4. Image du camp Semprún nous donne une image de Buchenwald très paradoxale. Il est très traumatisé par son expérience au camp : les souvenirs

répétition de sons de voyelle. Amplification (f) : L’amplification se fonde sur une gradationsuccession d’idées ou de mots de plus en plus forts entre les termes d’une énumération ou dans la construction d’un paragraphe. Analepse (f): C'est un retour en arrière ≠ Prolepse : C'est une projection dans le futur. Catachrèse (f) : C’est une figure qui consiste à employer un mot par métaphoreune métaphore consiste à désigner un objet ou une idée par un mot qui convient pour

» qui définit implicitement la scène par la périphrase « large bouche » / ce n’est pas le lieu principal de l’action • Temps : nuit « obscure » (irrespect de l’unité jour) qui semble être créée par le mage lui-même  • Action : retour en arrière (analepse) avec le récit de Pridamant au passé simple, on se rend compte que c’est une pièce qui sure plus de dix ans • Intrigue : repentir d’un vieillard à la recherche de son fils (Clindor) = réconciliation du père avec son fils qui doit passer par une réconciliation

Allitération : répétition de consonnes / Assonance : répétition de voyelles Amplification : augmentation des thèrmes ex : malade,mort,enterée Anacoluthe : rupture de construction Anadiplose : reprise du mot de fin au début ex : tu es bête.Bête Analepse : rétour à l’arrière ex : toujours souffrir, toujours mourir Anaphore : les répétitions au debut de la phrase ex : Anna est belle.Anna Antanaclase : sens propre + sens figuré Antépiphore : répétition d’une phrase au début et à la fin d’une

1) -> évènement inhabituel va se passer-> «mais, ce matin-là» Agitation dans les couloirs : comparaison (l.8-9) (l.11) , évènement attendu de tous : « des caravanes… plus éloignés » (l.12-13) Temps utilisé : plus que parfait -> fait antérieur, analepse. Transition : dans une première partie, nous avons montré que cet incipit est in medias res par le personnage symbolique de K., par l’annonce d’une journée exceptionnelle et par des indices de réalités. Cependant, la fin de l’incipit nous annonce

de mémoire ». j'ai pu supposer vrai ce que je savais avoir pu l'être, jamais ce que je savais être faux : il dit SA vérité, mais il n’y a pas de parti pris. Je me suis montré tel que je fus : il montre sa sincérité. Utilisation du passé > analepse. méprisable et vil quand je l'ai été, généreux, sublime, quand je l'ai été : antithèse. Hyperbole. Chiasme. j'ai dévoilé mon intérieur tel que tu l'as vu toi-même : il s’adresse toujours à Dieu et le prend à témoin en quelque sorte. Etre