Analepse

cadre spatio-temporel cherche à s’éloigner du merveilleux, le conte est tout de même présent dans le texte étudié de par les coïncidences assez frappantes. Ainsi lorsque Mlle Kerkabon parle avec son frère d’un événement antérieur à l’histoire : analepse, de leur frère et leur belle sœur qui aurait embarqué à cet endroit précis (la sœur dis « ici ») vers l’Amérique mais qui ont fini par être apparemment dévoré par les Iroquois. Il apparaît au même endroit « un jeune très bien fait » et qui plus est

du portrait de l'héroïne vers la figure maternelle. La métaphore « cultiver son esprit et sa beauté » renforce le fait que sa mère est passé beaucoup de temps et d’énergie sur l'éducation de sa fille. Ceci est introduit par l'utilisation d'une analepse (retour dans le passé) . Le caractère omniscient de la narratrice distingue Mme de Chartres de la plupart des mères, car cette dernière prépare sa fille aux réalités de la vie. Elle met toute les chances de son côté afin d'en faire prendre conscience

strophe renforce la continuité entre le « pain » et l’impression quasi panoramique » sur les « Alpes ». II- La cuisson du pain : paragraphe 2 Le poète raconte alors la cuisson du pain comme s’il s’agissait de la création du monde. Il propose donc une analepse (terme français pour flash back) et une cosmogonie (terme littéraire pour désigner un récit de création du monde). • le passé simple nous fait entrer dans un récit.• Notez que la voie passive « fut glissée » crée un effet de mystère autour du créateur

Je meurs quelques mois plus tard, une année tout au plus » - peur et pitié : les différentes étapes, de la révolte à l’acceptation, en passant par le déni, la fuite - une histoire déjà écrite : les bouleversements de la chronologie : prolepses, analepses, fin annoncée dès le prologue, qui renvoie au prologue des tragédies antiques II. Pourtant, il s’agit d’une simple histoire de famille - la banalité du quotidien : les dimanche… - les sempiternelles disputes familiales - faiblesse de Louis :

pathétique tragique est rendu possible par l’analepse, mais sans recourir au registre pathétique. La scène est banale et le personnage d’Angèle évoqué sur un ton neutre. On retrouve là l’une des marques du style naturaliste. L’intérêt de cette analepse réside aussi dans son caractère causal. Le comportement de Saccard dans cette scène explique la suite de sa carrière. Ici, Saccard contemple son futur champ d’activité d’un œil professionnel. On devine un Saccard plein de projets : « Un beau quartier

lignée royale ainsi qu’aux divertissements en vogue à la cour des Valois complètent ces « mémoires » de cour * « Mémoires » de la cour des Valois (2) - Narrateur fait allusion aux événements qui ont placé Henri II à la tête du royaume - Brève analepse (l.12-14) : l’emploi du plus-que –parfait (« avait épousée ») rappelle circonstances du mariage d’Henri II et de Catherine de Médicis (alliance scellée alors qu’il n’était pas encore destiné à gouverner) - Mention de son frère aîné « qui mourut

rapides : la tempête qui a lieu en 17 jours de navigation est résumée en 2 vers (270-278) et on a des ralentissement très marqués par exemple le massacre des prétendants est raconté en 3 chants. Ensuite on a une dilation de la durée grâce aux analepses et prolepses (Chant 6 V162-167) : On a une allusion au passé d’Ulysse avant son départ pour Troie, épisode du Cheval de Troie (raconté par Démodocos) et enfin on a le récit rétrospectif d’Ulysse lui-même. On a des prolepses suffisamment importantes :

sorte de spectateurs,que ce soit à un public lettré qu'a un public populaire. Ce théâtre vise donc à être apprécié de tous. Pas d'unité de lieu. Chaque scène peut se dérouler dans un lieu différent (tel le cinéma). Pas d'unité d'action. Des analepses ou des détours vers des situations parallèles à l'action principale sont fréquents. Pas d'unité de ton. Le mélange du vers et de la prose est autorisé et les personnages parlent selon leur rang, leur caractère et la situation. Pas d'unité de genre

construit. On s'appuie sur la structure du roman, les cinq premiers chapitres suivent un fil conducteur: la colonne des Insurgés. À la fin du cinquième chapitre, Miette est tuée, Silvère emprisonné. La mort de Silvère nous est toujours racontée en analepse. Le roman commence par leur amour et se termine par la mort de Silvère, au même endroit, l'aire St Mittre. Tante Dide annonce le dénouement tragique, accuse, dévoile les passions = jalousie, cupidité... b)Scène révélatrice des autres personnages

impuissant à retourner seul la situation, c’est la raison pour laquelle il exhorte la Nature à prendre sa défense. Comme tout amoureux blessé, il ne peut s’empêcher de se remémorer les circonstances de sa rupture avec sa bien-aimée : le vers 10 est une analepse qui revient sur le déroulement de cette séparation avant d’en envisager les douloureuses conséquences. Le présent du vers 11 peut donc se lire comme un présent de vérité générale : le mal d’aimer consume le poète à petit feu. Le registre élégiaque