Analepse

peut ne pas respecter l'ordre chronologique. Les temps dominants du récit au passé sont l'imparfait et le passé simple. Le récit peut commencer au coeur de l'action (incipit in medias res) Le narrateur peut effectuer des retours en arrière (analepse, ou flash-back) Temps utilisé: passé antérieur Il peut aussi faire des anticipations (prolepse), en évoquant le futur dans un contexte au passé. Temps utilisé: conditionnel V. Le rythme de la narration Le rythme de la narration est le rapport

Personnification Métonymie / synecdoque Périphrase Suspension Romanesque Focalisation interne Focalisation externe Discours direct Discours indirect Discours indirect libre Discours narrativisé Sommaire Ralenti Pause Ellipse Scène Analepse Prolepse Mode répétitif Mode itératif Fonction symbolique de la description Fonction narrative de la description Fonction esthétique de la description Fonction référentielle de la description Portrait physique/moral/social/en action Théâtre

étudier ensuite l’évocation d’un univers antique. I) La mise en place de l’intrigue / Une journée exceptionnelle a) Un grand événement [Narration : narrateur externe, focalisation omnisciente ; temps : l’imparfait et le plus-queparfait pour les analepses] La présentation du jour qui commence annonce son caractère extraordinaire. Les deux premiers paragraphes s’opposent : « D’ordinaire » (l.1) s’oppose à « ce matin-là » (deux fois l.9) ; « premier à se lever » (l.1) s’oppose à « il n’y avait pas eu

Cours de L1, littérature comparée, « la préhistoire en littérature », Catherine GrallAvant Adam : qqs notes pour l’analyse de l’extrait p. 13- p.15 (« le trait d’union entre ces deux vies »)Ces pages ne correspondent pas exactement à une réponse aux questions posées, mais vous donnent toutes les réponses, et qqs éléments de cours en plus. Carte de la p. 12 : le dessin qui prétend cartographier les territoires de peuples inconnus du lecteur est accompagné d’une légende

plus d’informations que ce que l’on peut penser. D’abord, comme le philosophe Confucius le dit « une image vaut 1000 mots ». Effectivement, dans la bande dessinée, les images peuvent représenter l’action des personnages, le lieu de l’action, une analepse, un sentiment et elles peuvent également faire travailler notre imagination. Puis, les dialogues donnent une vie à ces images et nous permettent de mieux comprendre le point de vue des personnages. La forme des bulles permet également de mieux suivre

Christine accepte de poser pour Claude, il peint sa tête " " Midi Départ rapide de Christine en refusant l’offre de déjeuner avec Claude Chapitre 2 Claude et Sandoz " Un peu plus tard Sandoz pose pour Claude Claude, Sandoz et Dubuche Plassans Analepse à leur 22ans, un après-midi de pose Révélations sur la vie des trois garçons Claude et Sandoz Paris – Dans l’appartement de Claude Retour au présent, plus tard dans l’après-midi Critique sur l’impressionnisme et doutes de Claude / nom de l’œuvre

(Quelle est la situation d’énonciation : qui parle ? à qui ? où ? quand ? de quoi ? Qui est le narrateur ? S’agit-il d’un point de vue interne, externe ou omniscient ? (focalisation) (Y a-t-il des ruptures chronologiques : ellipse, retour en arrière (analepse), anticipation (prolepse) ? Que concernent ces ruptures ? (Le durée du passage : a-t-on un récit où le temps de l’histoire est le même que le temps de la narration (c’est le cas en général des dialogues qui forment alors des scènes) ? le temps s’arrête-t-il

pathétique tragique est rendu possible par l’analepse, mais sans recourir au registre pathétique. La scène est banale et le personnage d’Angèle évoqué sur un ton neutre. On retrouve là l’une des marques du style naturaliste. L’intérêt de cette analepse réside aussi dans son caractère causal. Le comportement de Saccard dans cette scène explique la suite de sa carrière. Ici, Saccard contemple son futur champ d’activité d’un œil professionnel. On devine un Saccard plein de projets : « Un beau quartier

du statut de « confident » à celui d’amant probable « elle me fait la cour ». -Le retour sur un passé récent (celui du séminaire de Besançon l16 à 18 ) dévoile la fierté du personnage, d’avoir gravi les marches de la société ( récit rétrospectif  analepse) -La vanité du personnage est également suggérée par le verbe « triompher » : Julien triomphe du marquis de Croisenois, triomphe qu’il faut sans doute lire comme une revanche sociale, celle du paysan contre le noble.  dans sa comparaison, il jubile

femme. Ses enfants, deux jumeaux, y apprennent que cette femme leur demande comme dernière volonté qu'ils retrouvent leur père et leur frère et qu'il donnent à ce dernier une lettre scellée. Les recherches des personnages donneronnt lieu à une analepse qui retracera la vie de cette femme au Liban. En attendant, le fils, Simon, réagit très violemment à ce testament énigmatique et autoritaire qui lui vient d'une mère distante et souvent absente. Problématique : Comment Simon crie-t-il une véritable