Analyse Composante Principale Sous Matlab

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 108 3.3 Micromélangeur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 115 3.4 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 124 4 Analyse des fonctions d’usage 97 127 4.1 Topologie des capsules . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 129 4.2 Propriétés de la membrane des capsules . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 133 4.3 Produits encapsulés . . .

accordables ou reconfigurables, capables de s’adapter aux différentes normes en vigueur. Ces circuits agiles permettent de poursuivre les efforts de modularité des terminaux mobiles sans faire de concessions sur la taille, le coût ou la consommation. Les principales solutions techniques en concurrence pour la réalisation de ces circuits reconfigurables peuvent être séparées en deux familles : les éléments localisés accordables et les matériaux agiles. Parmi les premiers, on peut citer les diodes PIN ou varactors

. . . . . . . 1.4 Tension de surface . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Similitude 2.1 2.2 2.3 2.4 Analyse dimensionnelle et théorie de la similitude . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Unités de mesure . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Principaux nombres adimensionnels 2.4.1 2.4.2 2.4.3 2.4.4 2.4.5 2.5 2.6 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

institutionnels) et un produit structuré ou un fonds de fonds (pour les investisseurs privés) car ils permettent de développer un nombre important de sous-stratégies générant un profil risque/rendement qui surpasse toutes les autres catégories d‘investissement à l‘image des actions. Afin d‘apporter quelques précisions, la figure 1 montre une analyse risque/rendement de plusieurs marchés et stratégies avec des hedge funds. Les meilleurs dans leur domaine Il faut savoir que les hedge funds investissent

réglementaires (en France et en Europe) et techniques (problématique HSE, performance énergétique, nouveaux matériaux, écoconstruction…) constituent des défis à relever. Ce référentiel métier répond à une triple vocation : • présenter une cartographie des principaux acteurs intervenant dans une opération de construction : la maîtrise d’ouvrage (publique et privée), la maîtrise d’œuvre (architectes, économistes de la construction, sociétés d’ingénierie et bureaux d’études techniques), les entreprises de construction

ou en SI-d´riv´e (longueur : m, masse : kg, e e e e temps : s, courant : A, puissance : W, tension : V, charge : C, fr´quence : Hz . . . ). e • – Les vecteurs sont identifi´s par l’identificateur en caract`re gras (e.g. E). e e – Les composantes d’un vecteur sont sp´cifi´es par l’entremise de leur coordonn´e e e e mise en indice inf´rieur (e.g. Ex ou Eθ ). e – Les phaseurs et les quantit´s complexes qui en d´coulent, avec un module et e e une phase, sont plutˆt repr´sent´s par leur

méthodes sur 1001 séries chronologiques. C’est l’ensemble d’information utilisé qui permet surtout de distinguer les méthodes de prévision. Nous en parlerons dans la première partie de l’exposé. Il est fondamental, à notre avis, d’envisager les modèles sous-jacents aux méthodes de prévision et d’envisager d’estimer les paramètres de ces méthodes en employant une approche statistique. La modélisation est l’objet de notre deuxième partie qui sera illustrée sur des exemples. Nous insistons surtout sur la

lin´ aires e e e e e a temps continu. Partant de proc´ d´ s physiques mod´ lis´ es par des fonctions de transfert en p (variable de Laplace) nous ` e e e e aborderons successivement la mod´ lisation de syst` mes discrets et echantillonn´ s, leur analyse et pour finir la synth` se e e ´ e e de lois de commande num´ riques. e Le premier chapitre est enti` rement d´ di´ a la mod´ lisation. Il pr´ sente dans un premier temps la mod´ lisation de sie e e` e e e gnaux a temps discret avant d’introduire la

renault.com 1 4 Document de référence Renault 2009 RENAULT ET LE GROUPE 1.1 PRÉSENTATION DE RENAULT ET DU GROUPE 1.1.1 Chiffres clés 1.1.2 Historique et faits marquants 1.1.3 Principales activités du Groupe 1.1.4 Les organes de direction au 1er mars 2010 1.1.5 Renseignements sur les principales filiales et organigramme détaillé du Groupe 1 28 28 32 35 40 41 Document de référence Renault 2009 1.2 L’ALLIANCE RENAULT-NISSAN 6 6 7 9 20 23 1.2.1 Objectifs de l’Alliance 1.2.2 Structure

passe-bas . . . . . . . . . . . B.2.3 Cryptage type Canal+ . . . . . . . . . B.2.4 Dilatation et d´ecalage . . . . . . . . . B.2.5 P´eriodogramme . . . . . . . . . . . . . B.3 Analyse des taches solaires . . . . . . . . . . . B.3.1 Suppression d’une tendance affine . . B.3.2 Estimation de la p´eriodicit´e des tˆaches B.4 Analyse et synth`ese d’une voyelle . . . . . . . 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . solaires . . . .