Analyse Du Radeau De La Méduse

parlait de réalisme, il désignait simplement la littérature du vrai, la volonté de reproduire le réel. C’est Émile Zola qui en premier utilisa le terme naturalisme; il ajoute une facette qui se prétend scientifique et qui est supposée permettre une analyse objective de problèmes ou de faits tels que l’hérédité et l’alcoolisme. Le réalisme ne se contente pas de peindre un tableau de ce qu’il voit, d’en décrire les contours. Non, il creuse plus en avant dans les êtres. Il n’est pas ce simple peintre

Femme au coucher de soleil / Tombeau d’Ulrich Von Hutten Paul HUET : Effet du soir, paysage William TURNER : Coucher de soleil sur a mer, avec des grondins Fransisco GOYA : Le Marchand de vaisselle / le parasol Théodore GERICAULT : le radeau de la meduse / A.-E. FRAGONARD : Le verrou Gustave Moreau : Arion Johan Tischbein : Goethe dans la campagne - Romantisme et fantastique sont-ils compatibles ? OUI Romantisme | Fantastique | Héros romantique n’arrive pas à exprimer

l'Allemand Gœthe, on avait écrit en France, au XVIIIe siècle, des romans, pour la plupart fort médiocres et bien vite oubliés, mais qui témoignent que vivre et peindre la vie ce n'était pas seulement comme le XVIIe siècle avait semblé le croire, analyser et raisonner ; c'était aussi « écouter la voix du cœur », « goûter les délices du sentiment », éprouver « la sensibilité d'un cœur aussi violent que tendre», chérir « le poison des passions qui dévorent », ou leurs « tristes douleurs qui ont leur

dévoyé, en quelque sorte, du rationalisme des Lumières, mais d’une façon beaucoup plus matérialiste, en réduisant la rationalité aux limites de ce que l’expérience peut vérifier. Au 19ème siècle, seul compte et ne peut vraiment compter que ce qui est analysé et vérifié par l’expérience (ce qui ne suffisait pas, au 18ème siècle, à définir le rationalisme des Lumières, par exemple). Quelles sont les conséquences de ces caractéristiques ? . Le 19ème siècle, dominé par une société bourgeoise, va chercher

alors à Paris, apprend l’événement par la presse. Horrifié par l’ampleur du massacre il peint Guernica, tableau qui devient le symbole de la violence de la répression franquiste puis le symbole de l’horreur de la guerre en général. II) Analyse de l’œuvre A) Analyse plastique Dimensions : ce tableau est une œuvre démesurée de 3,49 m x 7.77m et de 27 m2 de superficie. Tous les personnages sont d’une taille plus grande que nature pour impressionner le spectateur et l’amener à réagir face à l’horreur

du romantisme d’Iéna de 1797 à 1801. Elle s’organise notamment autour des frères Schlegel et de la revue Athenäum. Pour les auteurs d’Iéna, l’œuvre romantique mêlait la représentation naïve à la représentation réfléchie, tout art dans devait être analysé et/ou remis en question. La deuxième période est celle du romantisme d’Heidelberg (également appelé Hochromantik), « Heidelberg » du nom d’un des deux grands cercles de ce mouvement de 1804 à 1809 (le deuxième cercle d’artiste étant celui de Berlin)

l'apogée du romantisme (1820-1850): la France est le pays le plus puissant au niveau romantisme picturale, et à ce moment-là la société se sent en crise. Cela se ressent alors dans les toiles, comme par exemple celle de Théodore Guéricault, Le radeau de la méduse (1819). Et pour finir, troisièmement la tradition post-romantique (1850-1870): c'est l'affaiblissement du romantisme pour laisser place au maniérisme. Cependant, il y a une perpétuation du romantisme à une époque dominée par le réalisme dans

l'Allemand Gœthe, on avait écrit en France, au XVIIIe siècle, des romans, pour la plupart fort médiocres et bien vite oubliés, mais qui témoignent que vivre et peindre la vie ce n'était pas seulement comme le XVIIe siècle avait semblé le croire, analyser et raisonner ; c'était aussi « écouter la voix du cœur », « goûter les délices du sentiment », éprouver « la sensibilité d'un cœur aussi violent que tendre», chérir « le poison des passions qui dévorent », ou leurs « tristes douleurs qui ont leur

l'Allemand Gœthe, on avait écrit en France, au xviiie siècle, des romans, pour la plupart fort médiocres et bien vite oubliés, mais qui témoignent que vivre et peindre la vie ce n'était pas seulement comme le xviie siècle avait semblé le croire, analyser et raisonner ; c'était aussi « écouter la voix du cœur », « goûter les délices du sentiment », éprouver « la sensibilité d'un cœur aussi violent que tendre», chérir « le poison des passions qui dévorent », ou leurs « tristes douleurs qui ont leur

penser à des acteurs hollywoodiens, n’ont que deux enfants, symbole d’une natalité contrôlée propre aux classes aisées des années 30. La famille possède même un chien (blanc lui aussi) qui a le droit de voyager sur la banquette arrière de la voiture. Analyse de l’œuvre  Si Margaret Bourke-White a pris cette photographie, si le magazine Life a décidé de la publier « pleine page » et si elle a connu un si grand succès (exposée au Metropolitain Of Modern Art de New York dès 1937 et au Whitney Museum encore