Analyse Le Mort Joyeux

CeTIM – Université de Toulouse Jean Jaurès UE de : français Enseignante : C. FILLIÈRE Étudiant n°24413291 Kévin MASSIN M1 de traduction/interprétation français/anglais/LSF Sommaire Présentation de l'auteur p. 1 Analyse thématique de l'œuvre p. 2 Analyse stylistique et linguistique p. 6 Résumé de quatre pages p. 9 Arborescence lexicale autour d'un thème p. 10 Glossaire p. 11 Présentation de l'auteur Cette partie a été rédigée à l'aide des documents suivants

dessin par Alexandre. | |7 : questions d’Edouard à propos du stade de l’évolution, du feu, le plus jeune fils essaie, en vain, d’élever un chiot. | |8 : le récit des voyages de l’oncle Ian en Europe et en Asie, la mort de l’oncle Ian en voulant dresser un cheval. | |9 : Edouard emmène ses fils pour qu’ils trouvent des femmes dans une autre horde | |10 : le plan des fils pour s’emparer des filles de la horde

Je ne vois rien Analyse statique Distance faible: Le discours est polémique et engagé Modalisation forte: La connotation est grande et ceux qui parlent ,prennent clairement position dans l'énoncé Transparence forte: Bien sur, pas d'ambiguité, le message et le fait se ressemble au maximum Tension forte: Le message est pratique injonctif, c'est de la prudence que l'on demande...( On peut parler de "Abonnez -vous en bas de page mais bon c'est hors contexte) Analyse dynamique Forte

silence éternel de ces espaces infinis m’effraye ») qui évoque la fameuse « mort de Dieu ». Cette formule est attribuée à Nietzsche, mais on la trouve déjà chez Hegel : la religion de l’époque moderne, dit-il, c’est « le sentiment que Dieu est mort », et de citer Pascal justement : « la nature est telle qu’elle marque partout un Dieu perdu et dans l’homme et hors de l’homme »4. Attention : dire que Dieu est perdu ou même mort, ne consiste pas à en nier l’existence (=athéisme), tout au contraire : ce

chamboulaient l'intérieur du corps. D'un instant à l'autre, mon cœur allait se décrocher, de même mon estomac; 25 sous les os de mon crâne, les morceaux de mon cerveau se mélangeaient... Rien n'est plus contagieux que la peur. Depuis longtemps, le si joyeux steward n'avait pas souri, ni mon futur fiancé, le lieutenant blondinet, encore moins le cuisinier noir que notre appétit d'ogre d'habitude réjouissait tant. Ils sursautaient à la moindre embardée du bateau, ils fermaient les yeux, comme si les coups

xvi siecle avec par exemple les Sonnet a Hélene de Ronsard qui sont une invitation à l'amour . Mais l'amour n'est pas le seule thème possible de la poèsie lyrique. Le lecteur trouvera aussi les thèmes de la nature , de la fuite du temps ou de la mort , qui offrent la possibilité d'une méditation , comme par exemple dans "Soleils couchant " de Victor Hugo ou HUGO réflechit à la finitude de l'homme en l'opposant à l'eternite de la nature. De façon générale , les thèmes lyriques sont universels :

aussi apprenti écrivain, avec qui il nouera une forte amitié jusqu’à sa mort en 1940. Épaulé par cette amitié, Sartre commence à se construire une personnalité. Pour l’ensemble de la « classe d’élite » — « option » latin et grec — dans laquelle il étudie, Sartre devient le SO, c'est-à-dire le « satyre officiel » : il excelle en effet dans la facétie, la blague. Dernière image des années lycéennes : Sartre et Nizan, ivres, joyeux de fêter leur facile succès au baccalauréat, auraient vomi sur les pieds

de Jupiter désigne l’aigle. 3 Les figures d’atténuation et d’amplification Elles permettent d’atténuer ou d’amplifier le sens. L’euphémisme. C’est une évocation détournée d’un fait pour en atténuer la violence : il est parti au lieu de il est mort. La litote. Elle permet de dire peu pour dire beaucoup : « Va, je ne te hais point » (Corneille, Le Cid). La gradation. C’est une énumération ordonnée suivant un ordre croissant ou décroissant ; le dernier terme est souvent hyperbolique : « C’est

chamboulaient l'intérieur du corps. D'un instant à l'autre, mon cœur allait se décrocher, de même mon estomac ; sous les os de mon crâne, les morceaux de mon cerveau se mélangeaient... Rien n'est plus contagieux que la peur. Depuis longtemps, le si joyeux steward n'avait pas souri, ni mon futur fiancé, le lieutenant blondinet, encore moins le cuisinier noir que notre appétit d'ogre d'habitude réjouissait tant. Ils sursautaient à la moindre embardée du bateau, ils fermaient les yeux, comme si les coups

sujet, que tant d’angoisses l’écrasent, de la terreur de la mort et du temps jusqu’aux troubles issus des passions ? Comment assurer le salut de l’âme et échapper aux puissances de dislocation ? Comment donc avoir un pouvoir sur soi, constituer un sujet autonome, un gouvernement de soi-même permettant de se construire, de s’inscrire dans le temps, d’édifier une durée psychique résistant aux troubles passionnels comme à l’angoisse de la mort ? - Le problème est de savoir si le déploiement d’une force