Analyse lexicale

COMMENT ANALYSER UN POEME ? On peut analyser un poème de façon sommaire ou détaillée. Les deux méthodes d’analyse seront présentées ici. A. ANALYSE SOMMAIRE D'UN POEME 1. Structure du poème a. Identifie le nombre de strophes du poème. b. Identifie le nombre de vers de chaque strophe. c. Identifie le nom des vers (par rapport au nombre de pieds). d. Identifie le type du poème (sonnet, forme fixe autre que le sonnet, vers libres). e. Identifie la structure des rimes (plates, embrassées ou croisées)

alexandrin. Les rimes sont croisées (A-B-A-B) dans toutes les strophes sauf dans le troisième où les 2 premiers vers sont des suivies. Champs lexicaux: Seulement la première strophe contient un champ lexical sur la nature. Le reste contient un champ lexical sur la mort ( sauf corbeaux et vers, mais ils s'associent dans ce texte à la mort) Analyse des vers: 1ère strophe: Il veut que personne se mêle de sa mort. «Puisse» Il exprime un désir «Et dormir dans l'oubli» Il désire reposer en paix

croisées, où Victor Hugo mélange mort et amour. Nous chercherons donc à savoir en quoi ce texte est romantique. Une première approche nous amènera à porter notre analyse sur le lyrisme du poème, puis il conviendra de prendre en considération la place de l’Homme défendue dans ce texte. Dans ce texte, Victor Hugo emploie le champs lexical du sentiment amoureux « amants » au vers 6, « Aimez » répété quatre fois au vers 10, 11, 13 et 25, « couple » au vers 14, ainsi que « Vénus » répété deux fois

axes I. Composition rigoureuse II. Analyse du spleen III. Symbolisme Etude I. Composition rigoureuse : - Sonnet de 2 quatrains + 2 tercets. Vers en alexandrin + rimes croisées pour quatrains et plates pour tercets - Titre = Cloche fêlée 2 Quatrins 2 Tercets = synthèse de la construction du sonnet - Une réel cohésion par la cloche - Gradation tragique : Vie -> Dégradation -> agonie -> mort II. Analyse du spleen : - Obsession de la

- " je ne parle pas .. " présent d'énonciation - champ lexical de la persuasion 2) Titans contre géants ( V.hugo) • type : narratif • genre : roman • registre : épique • preuves du registre : - Description d'un combat - champ lexical du siege de la gurre - types de phrases exclamatives pour souligner la vigueur de l'action

c’est pour cela que l’auteur de ce spectacle veut surprendre le publique en précisant des événements inattendus, comme la fuite d’Hippolyte dès le début de la pièce, « Et quitte le séjour de l’aimable Trézène » vers 2, on relève aussi tout le champ lexical du départ, « je pars » vers 1, « fuirai ces lieux » vers 28, « exil » vers 40, une répétition du verbe fuir, «  vers 50 « je fuis », vers 56 «  je ne la fuirais pas », Hippolyte justifie son départ par une volonté de rechercher son père, « je pars

survient alors le Parnasse (Théorie du beau), dont Théophile Gauthier en est le chef de fil. D’ailleurs, on y situe le poème « premier sourire du printemps ». 1.1 Analyse de la structure du poème : 1.1.1 Le poème est en strophes de 4 vers, il possède donc 8 Quatrains. 1.1.2 Champ lexical et figures de styles Le champ lexical : Averses, printemps, pâquerette, vigne, cygne, l’amandier, désert, rose, vert, merles, cerf, muguet,… tous ses mots nous rapporte à celui de : NATURE.

glacier) est vu comme précieux et enivrant. Analyse générale : Il y a deux grands champs lexicaux dans ce poème : Le champ lexical du corps : ton corps (v.2), la peau (v.4), ta chevelure (v.5), mon âme (v.11), tes yeux (v.13), ta tête (v.22), ton corps (v.25), ta bouche (v.31), tes dents (v.32), mon cœur (v.36) Ce champ lexical donne le côté charnel du poème, le corps de la femme est vu comme un idéal. Ensuite on peut voir le champ lexical de l’eau : mer odorante (v.7), flots bleus (v

d’âme du personnage. Enfin, nous achèverons notre analyse par le thème du désir d’évasion qualifiant la génération «　mal du siècle　». Tout d’abord, nous aborderons l’analyse par l’évocation lyrique introduite via le lexique des sentiments. En effet, le champ lexical des sentiments est omniprésent comme le définit la formule　 «　J’entrai avec ravissement […]　» «　enchanté, tourmenté […]　»　　«  l’homme est triste.　» (l.5, l.26 et l.9). Ce champ lexical s’explique car le lyrisme est un des principes du

l’expression « oiseau » qui semble être un peu plus positive en proposant l’espoir pour l’âme et sa liberté. Davantage, Hugo emploie l’hyperbole pour agrandir la souffrance des mères : « les yeux des mères en ruisseaux ». Ensuite, nous y trouvons le champ lexical de la mort, de la tristesse et de la peur : « tremble », « ombre », « échafaud », « cendre », « mourir », « doigts osseux », « sombre », « frissonnant », « deuil », « nuit », etc. Cependant, par exemple, la peur n’est pas représentée non seulement