André Gide Les Faux Monnayeurs

Les Faux-Monnayeurs est le roman principal de l'oeuvre de l'auteur français André Gide. Il y raconte l'aventure d'une foule de personnages qui symbolisent tous tour à tour les différentes incarnations de l'auteur, il déclame des théories toutes philosophiques sur le roman et l'art et les relations humaines et les développe jusqu'à en convaincre le lecteur, juste avant de continuer dans un autre personnage(pris dans un nouveau contexte généralement) une idée qui a tout de contradictoire et qui nous

Introduction : Les faux-monnayeurs, publié en 1926, fut l’un des premiers romans dit  « pur », où l’auteur, André Gide refuse le système dramatique traditionnel, c’est-à-dire le point de vue omniscient du narrateur, entraînant alors un éparpillement des principales thématiques. Pourtant, le roman crée des correspondances dans les différentes intrigues à partir de thèmes comme l’adolescence, l’amour ou encore la mort. Cette dernière est en particulier bien illustrée dans le chapitre 7 de la première

Musset : théâtre : Lorenzaccio et poésie, les poètes : Victor Hugo, Lamartine, Verlaine, Rimbaud,  Baudelaire : Les fleurs du mal  et Edgar A .Poe, Oscar Wilde, Charles Dickens, Dostoïevski, Pouchkine, Tolstoï… XXème siècle André Gide : les faux Monnayeurs, au moins un extrait Marcel Proust : connaître la scène de la madeleine extraite de « A la recherche du temps perdu » Colette  François Mauriac : Thérèse Desqueyroux Blaise Cendrars : L’or Albert Camus : L’étranger Boris Vian :

amène à la trame fondamentale du livre : la pourriture et sa mise en évidence. Les faux-monnayeurs André Gide 1925 Grant intérêt pour sa construction, son écriture, stratégies d’énonciation, … Construit avec minutie, ce roman multiplie les personnages, points de vue narratifs et intrigues secondaires diverses autour d'une histoire centrale. Par la liberté de l'écriture et la multiplicité des angles de vue, Gide se détache de la tradition littéraire du roman linéaire. À travers le personnage d'Édouard

Nous disposons ici d’un corpus de trois extraits de roman du XXIe siècle. Le premier est tiré du roman Les faux-Monnayeurs écrit par André Gide en 1925. L’auteur y évoque la fuite d’un des membres de la famille de Profitendieu, après qu’il est appris qu’il était le fruit d’un amour illégitime. Le second texte figure dans le roman Le Planétarium de Nathalie Sarraute écrit en 1959. Elle y évoque un couple aimé par tous : les Guimier. Le dernier texte est extrait du roman

auparavant, dans ses Nouveaux Prétextes, conférences données sur le théâtre, André Gide notait : « L’art est toujours le résultat d’une contrainte. […] C’est sur de la résistance, […] que l’art doit pouvoir s’appuyer pour monter. […] Le grand artiste est celui qu’exalte la gêne, à qui l’obstacle sert de tremplin […]. L’art naît de contrainte, vit de lutte, meurt de liberté. » La création littéraire est-elle, comme l’affirme Gide, conditionnée par la contrainte, qui permet son déploiement ?

contrainte, vit de lutte, meurt de liberté. » André Gide, Nouveaux Prétextes En vous appuyant sur des exemples littéraires précis, vous analyserez et discuterez ces propos d’André Gide sur l’art. Dans Le Travail intellectuel, Jean Guitton écrit que «  la forme nécessite la contrainte, qui est la condition de la plénitude ». Quelques années auparavant, dans ses Nouveaux Prétextes, conférences données sur le théâtre, André Gide notait : « L’art est toujours le résultat d’une contrainte

Literatura francezĂ – Anul III – Semestrul I 1. André Gide, Les Faux-Monnayeurs 2. Marcel Proust, À la Recherche du temps perdu. I. Du côté de chez Swann 3. Louis-Ferdinand CÉline, Voyage au bout de la nuit 4. Albert Camus, L’Étranger (vezi şi : La Chute) 5. Jean-Paul Sartre, La Nausée 6. Alain Robbe-Grillet, Dans le labyrinthe (vezi şi : Les Gommes) 7. Michel Tournier, Vendredi ou les limbes du Pacifique Literatura francezĂ – Anul III – Semestrul II 1. Alfred

Problématique : Comment les nouveaux romanciers questionnent-ils le genre ? Le traitement du personnage romanesque. Le rejet des conceptions traditionnelles du roman. Lectures analytiques Groupement de textes : « Le roman éclaté » 20 – André Gide, Les Faux-Monnayeurs, 1925 21 – Michel Butor, La Modification, 1957 22 – Albert Camus, L’Etranger, 1947 (Cf : Manuel de littérature, français 1ère, toutes séries, livre unique, Dominique Rincé, Nathan) Lectures complémentaires Nathalie Sarraute, Disent

Lescaut Balzac : Le Père Goriot Dumas : Pauline Maupassant : Pierre et Jean Stendhal : Le rouge et le noir Zola : L’assommoir Calvino : Le baron perché Camus : L’étranger, la Peste Duras : Moderato cantabile Echenoz : Je m’en vais Gide : Les Faux Monnayeurs Giono : Un roi sans divertissement, le hussard sur le toit Lewis : Pourquoi j’ai mangé mon père Sartre : Les mots Vian : L’écume des jours Théâtre  Corneille : L’illusion comique Molière : Dom Juan Racine : Phèdre Beaumarchais :