Animal Farm

« Fou ? » et « Coco » la jalousie est le thème prédominant de l’histoire. Dans la première nouvelle, le personnage principal est complètement aveuglé par la jalousie, cette « jalousie haletante » (ligne 3) qu’il éprouve pour le cheval de sa femme, animal qu’il croit être son remplaçant dans le cœur de sa conjointe. C’est cette convoitise extrême qu’est née la haine farouche qui l’a mené à se venger du cheval en le tuant. Que ce soit simplement le délire d’un fou ou une réaction beaucoup trop extrême

hop actuel. Les chorégraphes se sont tous inspirés quelque part, du texte de la fable. Dans «Rien de trop», il y avait sur la scène des petits sapins un peu partout et des chapeau de fourrure. J’ai vu que les danseurs représentaient parfois des animaux par leurs gestes et c’était des mouvements très fluides et répétitifs. Le style de danse était plutôt contemporain sur une musique sans paroles, avec des chants de loups et des sons répétitifs. Dans «Contre ceux qui ont le goût difficile», il

limites bien qu’elles se perfectionnent avec le temps. Pourquoi dans ce cas l’esprit qui lui aussi est limité, et se perfectionne ne serait pas assimilable à une machine ? L'esprit humain est supérieur mais garde le même principe que celui d’un animal. L'homme n'évolue t-il pas surtout selon son environnement et non tant selon sa volonté ou une volonté céleste? N'est-il pas comme la nature, un cycle, un organisme ? Si l’on n’arrive pas tout à fait à contrôler notre esprit, qui est aussi déterminé

Le vivant :  Besoin de ressources pour vivre (respires, se nourrir)  Il se compose du règne animal et du règne végétal (pas du règne minéral)  La reproduction  La croissance  Le caractère mortel contingent Il nous est facile de distinguer les êtres vivants, de ceux qui ne le sont pas. Ils ont des caractéristiques que nous connaissons tous : ils naissent, se nourrissent, se développent, se reproduisent et sont mortels. De façon, plus technique, ils se définissent par

effondrement. Elle se voit monstre et restera monstre car elle n’a plus de volonté. Elle a faim, elle a froid : sa vie semble purement végétative. En outre, son corps est ruiné par des désordres physiologiques irréparables. Elle n’est plus qu’un animal : « il lui fallait un trop grand effort pour penser. » La déshumanisation de Gervaise atteint donc son paroxysme. De plus, par sa nature dépravée, elle semble s’être transformée en machine. La menace extérieure que constituait la monstruosité de

Robinson est vite agacé par la relation qui née entre Vendredi et le chien. « fut surpris de la tolérance du chien », « il s’irrita de l’impudeur du sauvage » (il y a en effet une proximité entre ces deux êtres), pour le sauvage, le chien est un animal qui peut s’apparenter comme la nature d’où la spontanéité de Vendredi à se montrer authentique « l’Araucan jouait tout nu avec Tenn ». La phrase « après lui avoir fait comprendre sans aménité qu’il avait à se reculotter », nous montre que

Noms en ail Les noms en « ail » font leur pluriel en « ails ». Exceptions - bail, corail, émail, soupirail, travail, vantail, vitrail, qui font leur pluriel en « aux ». Remarques - bétail n'a pas de pluriel (bestiaux désigne des gros animaux domestiques, alors que le bétail est un nom collectif), - bercail s'emploie fort peu au pluriel, - ail fait au pluriel aulx, mais en termes de botanique on dit également des ails. Noms en « al » Les noms en « al » font leur pluriel

du Bien et du Mal qui dans ces romans est visible par le fait qu’il soit bien d’être un animal, par le fait que les victimes soient des coupables et finalement par le côté négatif qui est associé au progrès. D’abord, dans La Bête et la Belle comme dans Truisme, la ligne de démarcation habituelle entre le Bien et le Mal est renversée, nous pouvons observer cela par le fait qu’il soit positif d’être un animal, et ce, puisque c’est le seul moyen d’être humain. C’est un renversement puisque habituellement

personnages. Dans « Le vieux Chat et la jeune Souris » de Jean de La Fontaine, chaque animal a une valeur symbolique. Le chat, qui refuse le dialogue et dévore la souris « Tu gagnerais autant de parler à des sourds. », incarne la force, le pouvoir arbitraire et violent. À l'inverse, la souris serait l'image d'une personne insouciante, pleine de vie et ouverte au dialogue. Par conséquent, sous le masque des animaux ou du merveilleux, s'écrit une vérité sur le monde des humains. [C. Les risques du

Le parasitisme C’est une interaction des populations : compétition entre un parasite et son hôte. C’est une association durable avantageuse pour l’un des partenaires et préjudiciable pour l’autre. Une parasite est un être vivant animal ou végétal qui vit tout une partie de sa vie aux dépens d’un autre organisme appelé « hôte ». • Comparaison des systèmes : prédateur/proie • Ressemblance : • Le prédateur tire l’énergie de ses proies • Le parasite tire l’énergie de son hôte. • Différences