Animalisation Des Soldats

Céline a pu expérimenter l’horreur de ces combats sanglants jusqu’à ce qu’il soit blessé au cours de l’année 1914. C’est alors que naît, de sa plume, le roman « Voyage au bout de la nuit » paru en 1932 et racontant l’histoire Ferdinand Bardamu, soldat dans l’armée, ayant eu à faire face aux différentes horreurs du monde aux travers de divers continents. Il relate ainsi son histoire depuis le moment ou il décide de s’engager puis de faire face à la violence, la haine et la déshumanisation au

en 1882 (pour la T.A.) et en 1892 (pour la T.T.) a des buts défensifs. Cette guerre devient mondial car les pays mis enjeux dans cet événement font appels a leurs étant donné qu’ils sont des empires coloniaux puissants. Cet événement bouleverse soldats comme civils qui les soutiennent, le consentement général se fait ressentir au moment du début de la Guerre, nous allons étudier le changement radical d’esprits durant ces longues années de souffrances. Un changement qui évolue au fil de la guerre

air... La lune plaque en métal clair Les découpures du vert sombre. ... Un chant ; comme un écho, tout vif Enterré là, sous le massif... – Ça se tait ; Viens, c’est là, dans l’ombre... – Un crapaud ! – Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans aile, Rossignol de la boue... – Horreur ! – Il chante. – Horreur ! ! – Horreur pourquoi ? Vois-tu pas son oeil de lumière... Non, il s’en va, froid, sous sa pierre. I. Un univers proche du romantisme noir

merveilleux -il imagine que la mer est remplie de pierres précieuses . -il imagine la virilité des soldats de l'empire .- il imagine le beauté , la sensualité , et la disponibilité des femmes .-il découvre le chaos du monde -il découvre les défauts de la nature -il découvre les basses classes social -il découvre les imperfections des femmes . -il découvre la fadeur des couleurs . -il découvre la vulgarité de ses soldats conclusion:- frustration de l'empereur qui a fantasmé le monde car WF lui a offert la vision

en faisait une sale grimace. Ca avait dû lui faire mal ce coup-là. », Céline utilise une comparaison pour banaliser le faite que le colonel a été éventré. On peut aussi voir que dans le dialogue entre le colonel et un simple soldat au début de l'extrait, quand ce soldat apprend au colonel que le maréchal des logis Barousse et mort, le colonel répond : « Et le pain? » (ligne 19) ce qui montre l'égoïsme du colonel, le pain symbolisant la vie, il préfère se sauver que sauver les autres. Aussi tout

» les soldats refusant de monter à l’assaut ou se mutinant (exemple des mutineries de 1917 qui furent écrasées par les états-majors et par des exécutions « pour l’exemple »). Mais la violence physique pouvait également s’exprimer auprès des civils : on recense ainsi des cas de violences allemandes envers les civils français dans les zones occupées ou de viols perpétrés à travers toute l’Europe sur les populations civiles. De nombreux témoignages rapportent la sauvagerie de certains soldats envers

I. Satire de guerre 1. Parodie de l’exploit chevaleresque - Animalisation des personnages dit « méchants », vus comme des opposants p227 « il lui cassait les reins comme à un chien », « il les culbutait comme des porcs » = Rabelais image une scène assez crue afin d’interpeler son lecteur de façon à ce que ce dernier ait la même vision que lui de ces « méchants ». - Parodie générale de la chevalerie : principal argument basé sur la satire de la chanson de Geste et sur la chanson de Roland :

soulignent l’accumulation du mal par exemple au vers 2, « ses blessures pourprées », vers 6, « les bouchers écorchent ». Un groupe d’acteur de cette violence est nommé par plusieurs noms tels que « bouchers » au vers 6, « les soldats étrangers » au vers 11. Ces mots correspondent aux soldats Allemands. Mais aussi les « usurpateurs », qui signifient le régime de Vichy sous la direction de Pétain. On remarque que dans chaque strophe la taille de l’endroit dans lequel il écrit devient de plus en plus petit

est faux. -Adj « droits et raides » Gardes font penser à des marionnettes, ou des soldats pour les petits, de plomb. → univers enfantin. -Le crochet « gros crochet brillant » sensation visuelle taille et aspect brillant. Saute aux yeux. Vient briser la féerie, il est L'INTRU. La réalité barbare du camp. Comparaison « semblable à un crochet de boucherie auquel on suspend des bœufs entiers » (l.8) → animalisation et déshumanisation des prisonniers. 2)la scène du pendu : - comparaison : « semblable

provoque le début de la guerre. A. La violence de la guerre vécue par les soldats. 1905 : 1ère crise pour avoir le Maroc entre la France et L’Allemagne 1911 : 2ème crise mais cette fois plus tendue. La France donne à l’Allemagne le Tango et le Cameroun pour avoir le Maroc LA violence de la 1ère guerre mondiale n’a jamais été égalée car les armes étaient plus modernes, plus puissantes et les protections des soldats étaient insignifiantes. C’était la 1ère fois que le peuple contribuait à la guerre