Anna Karenine

La pitié dangereuse – Zweig 10. Portrait de femme – James 11. Quatre-vingt-treize – Hugo 12. Le choix de Sophie – Styron 13. L’éducation sentimentale – Flaubert 14. Belle du seigneur – Cohen 15. L’idiot – Dostoïevski 16. Aurélien – Aragon 17. Anna Karénine – Tolstoï 18. Le rouge et le noir – Stendhal 19. Le pavillon des cancéreux – Soljenitsyne 20. Disgrâce – Coetzee 21. L’insoutenable légèreté de l’être – Kundera 22. Sous le soleil de Satan – Bernanos 23. Premier amour – Tourgueniev 24. Une vie

nous commençons à penser comme lui,   nous entrons dans le roman et toute l'intrigue se déroule alors sous nos yeux, donc nous avons une facilité de compréhension. Ainsi dans Anna Karénine de Tolstoï, les personnages foisonnent, les intrigues et les lieux aussi mais tout nous paraît simple car nous le vivons à travers Anna, à travers les relations qu'elle a avec les différents personnages... et les mille pages du roman passent ainsi beaucoup plus vite...! Pour finir, l'auteur peut cacher la complexité

passé beaucoup de mes étés à lire dans un coin de la bibliothèque au lieu d’aller à la plage ! À l’adolescence, on n’a peur de rien et on n’hésite pas à se lancer dans des marathons de lecture. Je me souviens ainsi d’avoir enchaîné Guerre et Paix, Anna Karenine, L’Éducation sentimentale,Madame Bovary… Puis la lecture a fait naître un désir d’écriture. Le déclencheur a été un concours de nouvelles organisé par un professeur de français en classe de seconde. J’avais écrit une histoire imprégnée de surnaturel

de l’aristocratie nobiliaire, les prolétaires dans la société bourgeoise, ..) .Le roman offre donc souvent l’histoire d’un ou plusieurs personnages à qui il arrive des aventures. • Personnages inventés : plusieurs personnages => Emma Bovary, Anna Karénine + nombreuses actions. B - L’évasion. Le roman fait oublier les soucis, le réel pendant le moment de la lecture. Evasion. • On rêve avec le héros. Cf. . Emma Bovary qui lit elle-même beaucoup. • Cf. les robinsonnades du XIXe : les Nouveaux

s’accomplir en société - Scènes que l’on retrouve dans les romans : scène du bal, des aveux, des remords… - Choix d’une thématique : les passions - Un traitement romanesque qui passe par des scènes récurrentes (jusqu’au XX°) - Scène du bal : TOLSTOÏ Anna Karénine, FLAUBERT

enseignement. Il se marie en 1862 et aura treize enfants de cette union. Il publie en 1869 l'un des romans majeurs de son œuvre, Guerre et paix, qu'il consacre aux conflits napoléoniens. Le succès internationale est immense et sera encore renforcé par Anna Karénine (1877). Au lendemain de cette publication, Tolstoï décide de se convertir. Il publie de nouvelles œuvres témoignant de ses considérations religieuses tardives (Résurrection, 1899). En 1901, il est excommunié. Il écrit jusqu'en 1904 (le Père Serge

Constantin Dmitriévitch Levine, l’un des protagonistes du roman de Tolstoï Anna Karénine, est l’homme inquiet de la vie. Si elle lui est une évidence chez les autres, la sienne l’étonne, le panique même. Il est agriculteur et sait tout des cycles des saisons, de la saillie des femelles ou du moment de rentrer les foins. Il projette de publier un grand ouvrage sur les techniques agricoles, afin de faire partager ses vues progressistes au plus grand nombre. Pourtant, en ce qui le concerne, « la vie

Introduction La scène de bal est une constante de la littérature amoureuse. En effet, dans nombre de romans, de La Princesse de Clèves au Ravissement de Lol V. Stein de Marguerite Duras, en passant par Madame Bovary et Anna Karénine, le bal est le lieu où les futurs amoureux se rencontrent, et succombent au coup de foudre. Ce qui est logique dans des sociétés où les femmes et les hommes n'ont que peu de commerce entre eux et où l'intimité des relations ne peut naître qu'en public. Ici, scène de

réflexions morales, philosophiques et ses analyses psychologiques lui valurent la reconnaissance de ses pairs. Il publia encore deux œuvres majeures, en sus de ses très nombreux travaux d’écriture, contes philosophiques, nouvelles et autres romans : Anna Karénine, entre 1873 et 1877, dans laquelle il critique la société aristocrate russe ; et Résurrection en 1899, qui lui valut une excommunication de l’église chrétienne. Il sera le père d’un nouveau genre littéraire, le roman fiction historique. Toute

novateur pour son temps. Hester Prynne a ainsi susciter son lot d’incompréhension tant son combat pour la liberté des femmes est anachronique. Pour poursuivre dans ce type de littérature, le roman de Léon Tolstoï, Anna Karénine, brosse le portrait de plusieurs couples dont ceux que forment Anna avec son mari mais surtout la liaison sulfureuse avec Wronski. Il y évoque les différentes facettes de l'émancipation de la femme, et dresse un tableau critique de la Russie de la fin du XIXe siècle.