Anthologie Préface Verlaine

Anthologie Poétique PRÉFACE Je vais vous présentez une anthologie poétique, elle comportera onze poèmes dans lesquelles je ferais la carte d’identité de chacun. J’ajouterai des illustrations représentatives des œuvres et le thème de ces poèmes portera sur l’amour. J’ai choisi le thème de l’amour parce que pour moi c’est le thème avec la souffrance où il y a le plus de poèmes. J’ai choisis ces poèmes en fonction de leurs auteurs qui sont connus la plus part. L'AMOUR ET LA FOLIE Tout est mystère

Le voyage: une pluralité des Mondes, entre errance et chimères Préface Le voyage c'est avant tout une volonté de s'ouvrir aux autres de découvrir d'autres terres, d'autres cultures ou d'autres modes de pensée comme l'ont beaucoup fait les romantiques. C'est aussi une entreprise qui peut être accomplie contre notre plein gré lors d'un exil. Mais le voyage ne se résume pas qu'à un déplacement physique, le voyage est aussi abstrait avec les rêves, il peut être sentimental avec la mélancolie ou

 ANTHOLOGIE Lune atique Plastrons d’astre et d’ivoire où se couche le temps, La lune et son linceul, effarouchant la nuit, D’une larme perlée, à la saveur de suie, Percent sommeils et cieux, à pas de revenants. A peine appareillé, son pur vaisseau d’argent Quitte temples et ports, puis lentement s’enfuit Vers ces sphères du soir où se glissent des pluies Dont les plumes d’onyx se tapissent de sang De vastes salles d’or qu’engouffrent les abysses Dégoulinent de feu, s’attachant au festin De rêves

Texte C - Paul Eluard : «La Dame de carreau», Les Dessous d'une vie, 1926 Texte D - Claude Roy : «Tant», Le Voyage d'Automne, 1987.   Texte A - Paul Verlaine : «Mon rêve familier», Poèmes saturniens, 1866. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un

sociale, mais Il arrive aussi que le poète nous entraîne dans l'univers de ses propres rêves. Et l'on trouve dans cette subjectivité le génie personnel de chacun. Avec Paul Verlaine par exemple, la poésie se fait musique, légèreté et suggestion. Peintre certes, mais un impressionniste des clairs-obscurs et des demi-teintes, Verlaine nous invite à des « Fêtes galantes » et des « Romances sans paroles ». Grâce aux assonances, à la douceur des rimes féminines, aux répétitions mélodieuses, le lecteur est

Texte A - Paul Verlaine : «Mon rêve familier», Poèmes saturniens, 1866. Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant. Est-elle brune, blonde ou rousse ? -

Confection d’une anthologie de poèmes illustrés : chaque élève a choisi le thème, les poèmes et les illustrations et a rédigé la préface de l’anthologie. B. Œuvre intégrale : Verlaine, Poèmes saturniens, 1863. Problématique : De la rêverie à la caricature, comment le poète exprime-t-il son refus du présent ? Lectures analytiques  1) « Mon rêve familier » 2) « Chanson d’automne » 3) « Monsieur Prud’homme » ➢ Documents complémentaires Verlaine, « Art Poétique »

l’époque, par l’éditeur Alphonse Lemerre. Leur réunion forma une anthologie poétique du même nom, qui, au cours de la décennie qui suivit, fut suivie par deux autres recueils, du même nom aussi, parus en 1871 et en 1876. Beaucoup de poètes de l'époque ont été publiés dans ces recueils ; d’autres ont accompagné le mouvement durant un certain temps, même si par la suite ceux-ci s’en sont détachés. Parmi eux, on peut noter Rimbaud, Verlaine, Mallarmé ou encore Baudelaire. La dernière édition de 1876 marqua

s'attache à « l'art pour l'art ». Le mouvement parnassien voit ses débuts en 1866, lors de la parution de 18 brochures, le Parnasse contemporain, œuvre d’une quarantaine de poètes de l’époque, par l’éditeur Alphonse Lemerre. Leur réunion forma une anthologie poétique du même nom, qui, au cours de la décennie qui suivit, fut suivie par deux autres recueils, du même nom aussi, parus en 1871 et en 1876. La dernière édition de 1876 marqua la fin du mouvement. * Ce mouvement apparaît en réaction contre

faireN'allez pas à la guerreRefusez de partirS'il faut donner son sangAllez donner le vôtreVous êtes bon apôtreMonsieur le PrésidentSi vous me poursuivezPrévenez vos gendarmesQue je n'aurai pas d'armesEt qu'ils pourront tirermonsieur prudhomme, (paul verlaine) Il est grave : il est maire et père de famille. Son faux col engloutit son oreille. Ses yeux Dans un rêve sans fin flottent insoucieux, Et le printemps en fleur sur ses pantoufles brille. Que lui fait l'astre d'or, que lui fait la charmilleOù