Anthologie Vanité

 Les natures mortes et les vanités La nature morte est un thème artistique qui se caractérise par la représentation peinte d'objets inanimés sur la toile. Ces derniers peuvent être des fleurs, des fruits, des animaux (gibiers, poissons...). Avec la nature morte, l'artiste cherche à nous faire partager la beauté et l'émotion qu'il éprouve devant la juxtaposition d'objets divers, comme l'explique Charles Sterling, spécialiste de la nature morte:  « Une authentique nature morte naît le jour où un

Le temps a duré, seul dans ce coin, j’ai fixé le crâne humain pendant longtemps et je me suis dit : « L’homme se retrouve donc ainsi après la vie, moi aussi je serais comme ça » et la phrase du roi Salomon m’est revenu en tête, « Vanité des vanités, tout est vanité ». L’homme ancien est mort dans le cabinet de réflexion et il a rédigé son testament philosophique et moral. L’homme ancien est entré par la porte de la loge de manière bandée, il n’en sortira plus jamais, seul l’homme nouveau va

II. LES VANITES OU L’IMAGE MACCABRE AU FIL DES SIECLES SOMMAIRES Introduction : les vanités Problématique : Comment les vanités ont-elles évolués du XVIème au XXIème siècle ? Plan : -Les Ambassadeurs de Hans Holbein Le Jeune du 16 eme 18eme 19 eme 20ou21 Conclusion Annexe au début cest une image maccabre au 17eme un crane fumant une clope denoncé la mort au 20 eme la tete de mort de qquechose de tres jolies avec des diamants INTRODUCTION « Vanités des vanités, tout n’est

de la nature humaine, qui lui ont valu la qualification de philosophe de l’amour-propre, c’est que le pessimisme dont il est imprégné doit beaucoup à la doctrine de Port-Royal qui a marqué la littérature de l’époque classique. La dénonciation de la vanité humaine, la réfutation du libre arbitre, la mise à nu de la faiblesse de l’être et des feintes dont il use vis-à-vis de lui-même, ou la peinture de son insignifiance, doivent être pris comme autant de témoignages de cet esprit janséniste qui traverse

dure loi de la nature (omnis l.3, unus l.5). Pour rendre sa leçon plus expressive il recours aux métaphores : le néant universel est exprimé par l’image concrète de la cendre funéraire unus exaequabit cinis . Dévalorisation des vanités humaines : Sénèque fustige la vanité des occupations humaines par une hypotypose qui est aussi une métaphore : la vie humaine est montrée comme une route, et la foule agitée qui l’emprunte veut en ignorer la destination finale huc vadit turba. Sur la route qui conduit

conséquences du péché originel. Double reprise du mot "erreurs" aux lignes 4 et 5. 2° § L'humanité est, en outre, victime de ses passions et de diverses oppressions.
1° IA : L'homme est plein de "vanités" (l. 18). Cf le "Vanitas vanitatum et omnia vanitas" de l'Ecclésiaste (Vanité des vanités, et tout est vanité) ; or, brièveté de la vie terrestre : "vie (...) passagère" (l. 7), l'homme ne vit qu'un "instant" (l. 25)
2° IA : Oppression morale et religieuse :
 "tyrannie exercée sur les âmes" (l. 20)
3°

son mode de fonctionnement. Une critique du fondement de l’homme revient sans cesse, sa vanité. Dés lors nous pouvons nous demander en quoi les liasses au programme peuvent-elles être parfaitement mises en relation avec la phrase « vanité des vanités, tout est vanité » appelée l’Ecclésiaste ? Premièrement, Pascal démontre que la vanité est la punition de l’homme par Dieu, ensuite nous verrons que cette vanité demeure la « misère de l’homme » Dans la deuxième liasse des Pensées de Pascal, celui-ci

tendances de la société du XVIIIème siècle, c'est la peinture. Elle s'humanise, devient familière, cherche moins à être imposante qu'à plaire et amuser. Les peintres exaltent l’amour. Simultanément la «vanité», genre né au siècle précédent, connait une grande vogue. «Vanité des vanités, tout est vanité », dit la Bible : l’homme baroque, tout en s’étourdissant de fetes, aime à se rappeler la mort. Tout artiste du XVIIème siècle se réclame de Rome. Rome fait partie du parcours obligé du peintre de l’époque

l'ai ouverte au Livre de l'Ecclésiaste : « Vanité des vanités, tout est vanité. Quel profit y a-t-il pour l'homme de tout le travail qu'il fait sous le soleil ? Un âge s'en va, un autre vient… » Ces phrases semblaient écrites pour moi, pour que je les entende à cette étape de ma vie. J'ai passé la nuit à répéter en boucle cette évidence qui me sautait à la figure : « Vanité des vanités… » 8. Alors, je me suis mis à la traquer autour de moi, cette vanité : dans l'angle du mur, si près de mon lit que

consommation utiles et d’une compétence qui consiste à fabriquer des objets d’après un modèle, les artistes, eux, se trouvent disqualifiés non seulement en ce qu’ils ne produisent rien d’utile, mais aussi en ce qu’ils sont nuisibles. b. « Le bûcher des vanités » L’artiste, parce qu’il affecte la sensibilité, peut être considéré comme le plus grand des sensualistes. Les images du peintre ne sont pas seulement des icônes, mais deviennent des idoles. L’icône est une image humble et sainte qui fait signe