La vanité chez pascal
Dans la deuxième liasse des Pensées de Pascal, celui-ci critique les codes et les coutumes misent en place pour gérer l’homme qui a trouvé l’indépendance vis-à-vis de Dieu en croquant dans le fruit défendu. Pascal en temps que Janséniste pense que le péché originel a totalement corrompu l’homme et qu’il a voulu rompre de Dieu pour privilégier l’amour-propre. Dés lors, la futilité des actions et des préoccupations humaines n’est pas comprise par l’auteur qui lui ne vit que dans le but d’obtenir la grâce de Dieu, bien que son sort soit déjà joué puisqu’il croit en la prédestination. Seulement Pascal classe les hommes en catégories ; il y a les habiles (qui respectent les codes mais qui possèdent la pensée de derrière), les Chrétiens Parfaits (qui respectent les codes car ils font partis de l’ordre du monde voulu par Dieu pour la punition des hommes) et le peuple (qui lui respecte les codes car il ne sait pas qu’ils sont arbitraires, il pense que c’est juste). Les codes, les coutumes, les folies, les préjugés ne sont donc que pure vanité, mais il n’est pas permis à tous de voir ce coté la de la société. Les hommes se jaugent en fonction de leur richesse extérieure comme par exemple dans le fragment 17 où la richesse est exprimée en fonction du nombre de laquais qui accompagnent un noble. Alors ces hommes, qui sont tous pourtant frère selon la Bible que respecte Pascal, en viennent à se juger supérieur non pas en pensant que